Pib Indicateur Parfait

coeficient de Gini. Selon l’INSEE, l’indice de GINI est un indicateur synthétique d’inégalités de salaires. Il varie entre 0et 1. Egal a 0 = situation d’égalité parfaite. Egal a 1= situation inégalitaire ( les salaires sauf 1 sont nul) Entre 0 et 1 = inégalité élevé Quels sont les effets de la mondialisation sur les inégalités ?  Les pays en développement évolutions très contrastées. Certains pays émergents sont parvenus à accroître leur PIB par habitant en mettant en place les conditions d'un décollage

involontaire entre activités de différents agents économiques, qui ne sont pas couverts par des coûts ni par des revenus, sont appelés effets externes. - Les effets externes sont analysés comme des défaillances par rapport au cadre de la concurrence parfaite. Par les gains ou les coûts supplémentaires imprévus qu’ils apportent, les effets externes faussent les calculs d’optimisation des agents économiques rationnels et sont sources de mauvaise allocation des ressources rares. B. Internalisation

l'équilibre entre offre et demande. => 3 rôles joués par les prix librement fixés : • Allocation des ressources ( dans quel secteur on concentre les ressources ) • Rôle d'information • Rôle d'exclusion => 5 conditions a la concurrence pure et parfaite : • Atomicité des offres et des demandes • Fluidité du marché • Transparence du marché • Homogénéité du produit • Mobilité des facteurs de production => Limites : • Instabilité de certains marchés • Certaines myopies des marchés • Existences

dans ce cadre ont permis de stabiliser la pression fiscale à 22 % par rapport au PIB et de concilier ainsi les exigences de financement du budget de l’Etat et celles du développement économique. En dépit des mesures de rationalisation, les dépenses au titre des traitements des fonctionnaires ont continué d’augmenter puisque leur part dans le budget de l’Etat est passé de 30% en 1994 à 36% en 2001,soit 12% par rapport au PIB. De même, la mise en œuvre d’un programme d’assainissement et de restructuration

que Bhagwati appelle de manière très imagée le « bol de spaghetti ». Ces entrelacs d’accords et surtout la construction européenne dans le cas de la France, ont permis de se rapprocher quelque peu du cadre imaginaire de la « concurrence pure et parfaite ». Cela nous donne une occasion unique de tester certaines théories classiques qui ont justement encouragé sur le plan intellectuel à la libéralisation des échanges. Ce fût Adam Smith qui posa la première pierre de l’édifice avec la théorie de l’avantage

publics excessifs - interdiction financement monétaire déficits publics - interdiction accès privilégié APU aux institutions financières à UEM 3 (protocole annexé au traité de Maastricht 1992); att ! fixés avant crise : - déficit budg < 3% PIB - dette brute APU < 60% - infl° : ne pas dépasser de + de 1,5 points le taux moyen des 3 pays les + performants - i LT : ne pas dépasser de + de 2 points le taux moyen des 3 pays les + performants - taux de change : pas de sortie de la bande

pas totale. Si le capital est de plus en plus mobile (même dans des destinations comme Cuba, par exemple), les barrières administratives et politiques limitent la mobilité du facteur travail. En conclusion, les conditions de la concurrence pure et parfaite ne sont jamais satisfaites simultanément. DOCUMENT 4 1 L’offre est celle des fournisseurs (producteurs) dans un premier temps. C’est aussi celle des négociants et des distributeurs dans un deuxième temps. La demande est d’abord celle des exportateurs

Les prix augmentent car les salaires augmentent. Les salaires augmentent car la croissance éco est forte. On peut faire appel à la formalisation mathématique pour présenter cette théorie. Soit ᴫ un indicateur de la hausse des prix ; g le taux de croissance des salaires agrégés ; et t un indicateur de la croissance éco. Le modèle économique (2 questions posées => 2 équations) : et Les 2 variables à gauche ᴫ et g sont expliquées par le modèle. Ce sont des variables endogènes (ou variables expliquées/dépendantes)

Franc de la Communauté Financière Africaine FMI : Fond Monétaire International IHPC : Indice Harmonise des Prix à la Consommation IPC : Indice des Prix à la Consommation NGP : Niveau General de Prix PAS : Programmes d’Ajustement Structurels PIB : Produit Intérieur Brut PNB : Produit National Brut PPA : Parité du Pouvoir d’Achat PSTR : Panel Smooth Treshold Regression PVD : Pays en Voie Développement TMS : Taux Marginal de Substitution UE : Union Européenne UEMOA : Union Économique Monétaire

réduire le déficit budgétaire rendent problématique la mise en œuvre de politiques de relance qui permettraient de conjurer ce risque de déflation. Le déficit public de la France en 2011 a atteint 5,7 % du PIB, par exemple. La dette publique représente, pour certains pays, entre 70 % et 190 % du PIB, rendant inopérants les instruments keynésiens de relance de l'activité économique. Les politiques conjoncturelles qui agissent sur la demande risquent de ne pas être pertinentes en réponse à un choc d’offre