Pib Par Défaut Et Par Excés

travail des entreprises = situation d’équilibre sur le marché du travail. Ce niveau de production correspond au « niveau de production de plein emploi », il n’est pas influencé par le niveau d’intérêt, expliquant la verticalité de la droite PE. Y : PIB⬄ niveau de production de $⬄revenu national La position de PE sur l’axe des Y dépend de 2 facteurs : -la productivité du travail -l’offre de travail ( la population ) -Lorsque la productivité du travail augmente, la droite de plein emploi se décale parallèlement

gonfler leur solvabilité artificiellement. Il y a donc eu une forte hausse de l’endettement aux Etats-Unis (ménages et entreprises) entre 2002 et 2006. La dette immobilière des Américains passant de 100 à 135% de leur revenu annuel. Cet excès d’endettement a provoqué les premières défaillances des ménages/entreprises qui ne pouvaient plus rembourser leurs traites. Ceci conjugué avec la remontée du taux directeur de la Banque Centrale a précipité le ralentissement de l’économie Américaine

CAE098_Chine.pmd 5 30/05/2011, 14:39 5 cadre du G20 comme dans les relations bilatérales avec la Chine, il va falloir mettre le curseur au bon endroit entre la logique de concurrence et la logique de coopération, sans naïveté ni à l’inverse excès de méfiance. On notera, parmi les recommandations du rapport, l’idée d’aborder la délicate question du taux de change du yuan et de sa convertibilité de manière pragmatique, sans en faire la clef de nos relations avec la Chine. On relèvera également

Déterminer le PIB comme étant la somme des valeurs ajoutées. Durée indicative Chapitre I - LA PRODUCTION ET SA MESURE Identifier la valeur ajoutée. A. La valeur ajoutée Définir le PIB en tant qu’agrégat de B. Le produit intérieur brut (PIB) mesure de richesses dans un pays. Identifier le PIB marchand et le PIB non marchand. Distinguer le PIB à prix courants du PIB à prix constants. Identifier le PNB. C. Le produit national brut (PNB) Se baser sur des exemples pour distinguer le PIB à prix

provoque la dépression crainte, un accès d’optimisme et les bénéfices de la hausse engendrent une reprise. Deuxième enseignement : rien n’a été retenu de la crise. Le système économique n’a pas changé et nous sommes condamnés à subir les mêmes excès que dans le passé. À titre d’exemple, comment ne pas être découragé en constatant que Goldman Sachs s’apprête à doubler ses bonus en 2009 (20 milliards de dollars, soit plus de 700 000 dollars par personne), pour retrouver le record de… 2007. Décidemment

explicatifs de son émergence B. La Crise Asiatique, une crise de troisième génération 1. Raisons des excès financiers 2. Facteurs déclencheurs Deuxième partie : Implications et solutions d’une crise de type systémique Les implications d’une crise systémique 1. Considérations macroéconomiques - les pertes en termes de croissance du PIB - les pertes liées aux mécanismes de garantie des dépôts 2. Risque systémique, psychologie des

crise de 1929, les BC estimant nécessaire de purger les excès passés, pratiqueront dans un premier temps des politiques pro-cycliques, en maintenant des taux d'intérêts inappropriés et en rationnant le refinancement d'un système bancaire en faillite. La responsabilité de la FED dans l'aggravation de la première phase de la crise a été mise en cause notamment par M. Friedman, mais aussi par JK. Galbraith et C. Kindleberger. Face à un repli du PIB nominal de 50 % entre 1929 et 1933, et la faillite de

nombre d’emprunteurs dans une bq : si un fait défaut, c’est pas grave. Plus difficile pour les ménages de faire de la diversification sur les marchés à moins d’être une grande fortune. -Les bqs facilitent le fi à LT, contribuent à réduire l’asymétrie des préférences entre préteur et emprunteur. Faisable aussi sur les marchés, mais ils ne sont pas toujours liquides : défiance des investisseurs. -Par rapport aux bqs, les marchés peuvent souffrir d’un excès de volatilité des cours boursiers qui pénalisent

ne joue que si le choc est temporaire (ou perçu comme tel) Nota: en 1996, en Tunisie, la consommation des ménages augmente de 2,5 % (épargne: - 2 pts) et les entreprises réduisent leurs stocks (car cette augmentation est jugée transitoire), d'où le PIB ne croît que de 1,5% (la contribution des stocks est d'1 pt) 3. La spéculation (la détention de stocks a un coût) Nota: l'entrepreneur confronte : - le taux d'intérêt nominal à court terme (3,5%) ou coût d'opportunité. - les anticipations de prix

dans d’autres Etat membres via des mecanismes de fusion/acquisition. Mais conséquence : En raision d’une faute de paiement la taille de certains établissement toucherait de nombreux pays membres. Risque de contagion en cas de defaut de paiement accru. Le risque de defaut de paiement est accr dans les banques de l’UE  obligations si récession économique accélèration des faillites des entreprises et augmenation de la dette des Etats  vulnérablité. En plus la politique bancaire se base sur le droit