Piedestal

(l.24), cela explique sa solitude, sa mise à l’écart, il est privé d’amour. On voit qu’il implore encore la déesse avec « ayez pitié » (l.28). 3- L’attitude de la déesse La Vénus est représentée comme imposante « colossale Vénus » (l.16), « piédestal » (l.21). Vénus est indifférente et inaccessible, en effet elle est « implacable » (l.29), ce qui renvoie à sa froideur, elle ne se laisse pas attendrir. Le 5ème paragraphe s’ouvre et se ferme sur l’image de Vénus. Par sa structure ce paragraphe

structure repose sur un premier socle de forme carrée, lui-même posé sur un autre socle en forme d'étoile irrégulière à onze pointes. La hauteur de la statue de la Liberté est de 46,5 mètres, hauteur qui est portée à 92,9 mètres entre la base du piédestal et la torche52. La tablette tenue dans la main gauche est gravée de la date d'indépendance des États-Unis, écrite en chiffres romains. Les vingt-cinq fenêtres symbolisent quant à elles vingt-cinq pierres gemmes trouvées sur la terre et les rayons

toile, de serge, de cuir, etc…, que l’on met devant soi pour préserver ses habits en travaillant - Partie plate d’un pont sur laquelle est établie la chaussée. - Partie d’un pont-levis qui s’abaissait pour qu’on pût franchir un fossé. - Face d’un piédestal portant des ornements sculptés - Morceau de cuir attaché sur le devant d’une voiture pour garantir de la pluie et des éclaboussures - Toile dont on renforce la partie moyenne et inférieure de certaines voiles, à l’endroit où elle frotte, soit contre

États-Unis * La statue équestre de Vercingétorix, à Clermont-Ferrand en France (1903). II Interprétation/ signification de l’œuvre 1) Description rapide de l’œuvre L’œuvre est donc une statue mesurant 92,9mètres de la base du piédestal jusqu’au sommet de la torche. Le monument est vert. Il est observé et visité par de nombreux touristes chaque année et est devenu un réel symbole des USA. 2) Quelle est la symbolique de l’œuvre ? La torche que la Liberté tient dans

religion (roi de droit divin) * La couronne, symbole royal suprême Le décor : * Dais ou baldaquin brodé d’or de couleur pourpre, couleur de la puissance et de la richesse depuis l’Antiquité (Rome) * Riche tapis * Colonne sur un haut piédestal faisant référence à l’Antiquité La pose : Le roi est seul au centre du tableau il occupe presque tout l’espace. Rehaussé, debout sur l’estrade, son attitude rappelle celle d’un danseur. Ce portrait fige le roi pour l’éternité, et ne cherche pas

tout en les mettant en relief. Son rôle est de dédramatiser, de désacraliser même. Elle se tourne toujours vers l'aspect ridicule des êtres et des choses, elle en souligne le caractère insignifiant; elle cherche à faire descendre l'homme de son piédestal (la tragédie vise le but inverse). L'idée de jeu est à la base de la comédie: elle joue avec les êtres et les choses, elle se joue d'eux allègrement. Ce jeu (entendu à la fois comme amusement et comme distance prise par rapport au monde) représente

à la court, la court à la ville, ensuite la ville influence la campagne -l’effet comique l.18-20 „les coiffures montent insensiblement (…) leur hauteur immense mettait le visage d’une femme au milieu d’elle-même -l.21 „les talons faisaient un piédestal, qui les tenait en l’air“ -on se pose la question est-ce que ca pourrait être possible-la conclusion-non, c’est la fiction, une hyperbole, exagération -il y a expliqué la puissance de la mode, la mode est un pouvoir -la mode a une pouvoir sur

elle fait Tenir tout le divin dans un geste quelconque, » Toute cette scène montre les sentiments de Cyrano qui ressent à la fois de l’adoration pour Roxane et du dégoût/de la honte car il est l’opposé de Roxane. Il met Roxane sur un piédestal, Il fait son éloge et fait une divinité (= déification) de Roxane + il se rabaisse : opposition. Il se sent indigne de la personne qu’il aime C’est l’une des problématiques de Cyrano de Bergerac Roxane n’arrête pas de dire à Christian qu’il est

juin 1814 déclarait : «Chacun professe sa religion avec une égale liberté, et obtient pour son culte la même protection.» L’encens : c’est une substance produite à partir de la résine d'un groupe d'arbres appartenant au genre Boswellia. Le piédestal de la statue : socle relativement élevé supportant la statue. Ensorcelé : frappé d'un sortilège (un artifice d'un sorcier ou d'un magicien) Le sermon : discours moralisateur. Le patriarcat désigne : « une forme d’organisation sociale

robe sont « adorés ». Il est prisonnier de ce « bel être » « aux cheveux dorés » et à la « douce prunelle », la beauté est pourtant peu exprimée dans le texte, ce qui domine c’est l’impression de divinité de cette femme. Le poète la place sur un piédestal en la disant « crée pour des sphères meilleures ». Il exprime le fait qu’elle ait une « âme » faite « pour le ciel » et des « yeux » fait « pour la lumière » qui ici représente le ciel, le paradis, la voie à suivre. Ces « cheveux dorés » peuvent