Pierre à encre

  Les  trésors  du  lettré  (文房四宝)     La  calligraphie,  aussi  appelé  «  la  peinture  du  lettré  »  ,  est  considéré  par  les  Chinois  comme  un  art   à  part  entière  au  même  titre  que  la  peinture,  la  musique  et  la  poésie.  Les  outils  des  calligraphes   sont   les   mêmes   depuis   près   de   deux   mille   ans  

intérêt de la décoration des mots sur le papier. La calligraphie en Occident est souvent considérée comme un art mineur et elle a tendance à refréner la spontanéité en produisant certains formes assez statiques. En Chine, toutefois, ce n’est pas le cas. Les styles les plus fréquemment pratiquées favorise la spontanéité. Le pinceau d’écriture fonctionne comme un sismographe à enregistrer les mouvements des bras, du poignet et la main. Les chinois apprécient les styles personnalisés puisqu’un style peut

Le magnésium Le magnésium est un métal alcalino-terreux (métal de terre qui résiste à la chaleur). C’est le huitième élément le plus abondant dans la croûte terrestre et c’est le septième métal sur Terre Le magnésium est très léger (un tiers plus léger que l'aluminium) de couleur blanc argenté. Histoire : Le nom magnésium provient du Grec, parce qu’une région de Grèce appelée Magnésie était riche en magnésium et ce, sous différentes formes. Propriétés chimiques : État ordinaire :

Vous répondrez a cette question en vous appuyant sur les documents proposés, ainsi que sur vos expériences de danseur, chorégraphe et spectateur. De nos jours, de nombreux choregraphes utilisent des mouvement du quotidien pour elaborer leur choregraphie. Mais ils investissent aussi des lieux comme des musées ou des rues. Le premier document est une choregraphie de Pina Bausch, Walzer. Nous pouvons voir un danseur vetu d'un costume noir, sobre. Il tient un Tshirt blanc a la main qui semble

peintre italien de la Renaissance qui a été l’élève de Verrocchio et le maître de Raphael et qui a peint principalement des tableaux religieux. George Grosz est un peintre allemand de la première moitié du XXe siècle et fut un membre important du mouvement Dada. Les deux œuvres La remise des clefs à Saint Pierre du Pérugin et La grande ville de George Grosz nous proposent une scène située en milieu urbain, par conséquent une vision de l’espace urbain propre à leur époque. En effet, la première s’inscrit

« La remise des clefs à Saint Pierre » Le Perugin , 1481-1482 Fresco, 335 x 550 cm Fresques du Perugin pour la Sixtine Cappella Sistina, Vatican Auteur : Le peintre italien, Pietro Vannucci, dit le PERUGIN/PERUGINO (1450 – 1523), a peint cette fresque vers 1481. Il fut l'élève de Verrocchio à Florence (vers 1470) en même temps que Léonard de Vinci. Puis le maître d'un autre très grand artiste de la Renaissance : Raphaël. Chargé d'établir l'ensemble de la décoration des murs de la chapelle

La grande ville, est une peinture à l'huile réalisée par George Grosz en 1916-17 et qui représente une scène assez floue mais néanmoins clairement chaotique et de même en milieu urbain. La fresque propose une composition assez simple en deux parties horizontales que l'on devine en séparant le tableau au niveau de la ligne créée par l'isocéphalie des personnages au premier plan. La partie du bas concerne la scène principale: la remise des clefs à Saint Pierre par Jésus et la partie au dessus concerne

voulut bâtir une nouvelle grande pièce à l’endroit où se trouvait la Cappella Magna, une grande salle fortifiée du Moyen Âge, destinée aux réunions de la cour papale. À l’époque, celle-ci comptait environ 200 membres et était composée d’un collège de 20 cardinaux, de représentants des ordres religieux et des grandes familles, d’un ensemble de chanteurs, d’un grand nombre de laïcs et de serviteurs. La construction de la Sixtine devait répondre par ailleurs à des exigences de défense en raison de deux

peinture faite exclusivement à l’encre de Chine : Ses origines  L’invention de l’encre remonte en 2697 avant J.C, en Chine, lors du règne de Houang-ti, mais elle n’avait pas la forme qu’elle a aujourd’hui. C’était une sorte de laque qu’on déposait sur de la soie avec un bâton de bambou. Par la suite, la laque fût remplacé par une pierre noire que l’on trempait dans de l’eau. Cette pierre elle même pouvait être transformée en poudre, par la calcination, pour en faire une encre liquide noire. En 260

Jean Moulin Les sports d’hiver  L’Atavisme 1926 encre de Chine et aquarelle sur papier, H.30,8 – L. 24 signé en bas à gauche : Romanin légende manuscrite en dessous : "Je ne sais ce qu'a ma fille à être ainsi constamment sur le dos , - C’est de l'atavisme, chère amie." legs Jean Moulin, 1975 Béziers, musée des beaux-arts L’Intoxiquée vers 1931 encre de Chine et aquarelle sur papier, H. 31,9 – L. 23, 9 signé en bas à droite : Romanin légende manuscrite en dessous :" Que voulez-vous