Pierre Bordage Ceux Qui Sauront

Ceux qui sauront – Pierre Bordage Ce livre intitulé ''Ceux qui sauront'', écrit par Pierre Bordage, fait partie du genre littéraire roman de science-fiction. Ce livre a été publié en 2008 par les éditions Flammarion jeunesse. Le roman est le premier tome d'une trilogie appelée ''Jean et Clara''(les deux personnages principaux), les deux autres tomes de la trilogie raconte la suite de leur histoire. ''Ceux qui sauront'' aborde le thème de l’éducation, dans le roman seulement les classes aisées ont

Mon livre s'intitule ceux qui sauront ce livre est un livre de Pierre Bordage qui est une ukronie c'est a dire un fait historique qui a été changer d'issu et nous nous retrouvons aujourd'hui avec les conséquences: l'ukronie de ce livre est si la révolution française de 1789 avait échouer cela implique des changement. Nous somme en 2008 internet et les voiture existent mais la capitale est Versailles il y a la différence entre le peuple ( appelé coup noir) et la noblesse 1882 : la révolution française

décidée par le sénat mais elle se heurte à la résistance carthaginoise qui ne peut accepter la perte de territoires vitaux. Rome doit se convertir en puissance navale pour vaincre les Carthaginois mais ces derniers, à l’exception notable d’Hannibal, ne sauront pas utiliser certains ressorts d’une puissance continentale pour survivre. Tout se passe comme si une puissance maritime était condamnée à l’hégémonie pour survivre. Après la victoire finale des Romains à Zama 202 av J.C, les Romains abandonnent quasiment

particulière. Enfin, il y a des yeux qui ne voient rien du tout. Ils ont sans doute quelque lésion, le nerf qui les relie au cerveau éprouve une paralysie que la science n’a pu encore déterminer. Ce qui est certain, ce qu’ils auront d’eux, jamais ils ne sauront en reproduire exactement une scène. » 1 Maupassant veut peindre la réalité de son temps, explorer la vie quotidienne sous tous ses formes, analyser la société, il ne s’agit pas de copier la réalité mais de la représenter de manière signifiante,

4 L’Iliade et l’Odyssee Prelude « Un aède est ici, leur dit-il. Il arrive à l'instant de Smyrne, à bord d'un vaisseau rapide. » Les sentinelles crièrent la nouvelle dans les rues grouillantes de monde. Sur le seuil de leurs cabanes de pierre, les artisans qui travaillaient le cuir et le métal sourirent en tirant leurs aiguilles et en soulevant leurs marteaux. Ils transmirent le message aux commerçants et aux fermiers de passage, rassemblés sur la place du marché au centre de la ville

sentinelles qui montaient la garde aux remparts : « Un aède est ici, leur dit-il. Il arrive à l'instant de Smyrne, à bord d'un vaisseau rapide. » Les sentinelles crièrent la nouvelle dans les rues grouillantes de monde. Sur le seuil de leurs cabanes de pierre, les artisans qui travaillaient le cuir et le métal sourirent en tirant leurs aiguilles et en soulevant leurs marteaux. Ils transmirent le message aux commerçants et aux fermiers de passage, rassemblés sur la place du marché au centre de la ville

par des trombes qui broyaient tout sur leur passage, plusieurs milliers de personnes écrasées sur terre ou englouties en mer : tels furent les témoignages de sa fureur, qui furent laissés après lui par ce formidable ouragan. Il dépassait en désastres ceux qui ravagèrent si épouvantablement la Havane et la Guadeloupe, l’un le 25 octobre 1810, l’autre le 26 juillet 1825. Or, au moment même où tant de catastrophes s’accomplissaient sur terre et sur mer, un drame, non moins saisissant, se jouait dans

une et des principales. Les Maures d’Espagne ne pouvaient se résigner à la chute de leur domination dans la péninsule. Des révoltes fréquentes et sérieuses témoignaient de leur impatience à supporter le joug des infidèles, jadis leurs tributaires. Ceux qui pouvaient émigrer se réfugiaient dans les États barbaresques(1), surtout en Algérie. ____________________ (1) Cette émigration prit, plus lard, des proportions considérables ; et, peu après la prise du Pégnon, Kheir ed-Din, profitant de la terreur

des trombes qui broyaient tout sur leur passage, plusieurs milliers de personnes écrasées sur terre ou englouties en mer : tels furent les témoignages de sa fureur, qui furent laissés après lui par ce formidable ouragan. Il dépassait en désastres ceux qui ravagèrent si épouvantablement la Havane et la Guadeloupe, l’un le 25 octobre 1810, l’autre le 26 juillet 1825. Or, au moment même où tant de catastrophes s’accomplissaient sur terre et sur mer, un drame, non moins saisissant, se jouait dans

réduit mon logement provisoire, j’ai honte de me reproduire, et, ce faisant, de perpétuer une catastrophe. Tant pis pour ma mère et mon père qui ont tant fêté mon arrivée sur Terre, je serai le dernier des Saad. Le dernier des tristes ou le dernier de ceux qui espéraient, peu importe. Le dernier. 1 Je suis né à Bagdad le jour où Saddam Hussein, furieux d’apercevoir ses premiers cheveux blancs, a hurlé dans le palais à s’en péter les veines du cou, convoqué son coiffeur, exigé qu’il les recouvrît à