Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux

présence de trois textes théâtrale. Deux des textes relèvent du 18e siècle celui de Marivaux, les fausses confidences de 1737 et celui de Beaumarchais, le Barbier de Séville de 1775. Le dernier texte Ruy Blas de Victor Hugo, a était écrit au 19 e siècle. D’abord nous allons voir quel est le rôle de la lettre dans l’histoire dans les textes de Marivaux, Beaumarchais et de Victor Hugo. Dans la pièce de Marivaux la lettre est utilisée comme outil par Araminte pour faire avouer à Dorante son

Question sur corpus C’est entre l’année 254 av JC et 1952 que Plaute, Marivaux et Samuel Beckett écrivent respectivement La Marmite, L’île des esclaves et En attendant Godot, pièces théâtrales qui mettent en scène la relation entre les maitres et les valets. On verra les similitudes entre ses trois extraits d’œuvres théâtrales et nous étudierons aussi les éléments dont ils diffèrent. En lisant ces trois extraits on peut bien se rendre compte que les rapports entre maîtres et valets est un thème

fois rétablie . C'est dans cette ligné , celle de la comedia dell arte , de l’Opéra comique ou encore le théâtre des boulevards , qu'un fameux dramaturge , auteur du jeu de l'amour et du hasard ou encore l'île des esclave apparaît . Son nom , Marivaux . Son style est simple , il associe la finesse de l'analyse amoureuse et la subtilité verbale du marivaudage(Façon de parler ou d'écrire de la légèreté du ton dans des propos qui parlent d'amour. ) avec les problèmes de société . D'ailleurs le

Séquence II, LA n° 4 Marivaux, Les Fausses Confidences, II, 12, « il n’y a pas moyen »…fin de la scène ARAMINTE Il n'y a pas moyen, Dorante ; il faut se quitter. On sait que vous m'aimez, et on croirait que je n'en suis pas fâchée. DORANTE Hélas Madame ! Que je vais être à plaindre ! ARAMINTE Ah ! Allez, Dorante, chacun a ses chagrins. DORANTE J'ai tout perdu ! J'avais un portrait, et je ne l'ai plus. ARAMINTE À quoi vous sert de l'avoir ? Vous savez peindre. DORANTE Je ne pourrai

SUJET DE BAC Ce corpus est constitué de trois textes, La vie de Marianne, Pierre de Marivaux (1631-1641), L’éducation sentimentale, Gustave Flaubert (1869) et Désert de Jean Marie Gustave LeClézio (1980). Ces textes présentent une diversité chronologique, XVIIème, XIXème, XXème siècles. Nous étudierons les statuts du narrateur et les points de vue adoptés dans les textes de ce corpus et nousnous demanderons quel thème est abordé et de quelle manière celui-ci est-il traité. Premièrement, dans

L'improvisation est le principe de la commedia dell'arte mais elle est un minimun structurée. Les canevas principalement comiques sont axés autour d'une ou plusieurs intrigues amoureuses. Au XVIIIème, les troupes s'adressent à des auteurs professionnels comme Marivaux pour renouveler leurs canevas. Néanmoins, ces nouvelles mesures n'empêchent pas cet art théâtral qui commence à se perdre au XIXème. Les particularités Leurs particularités sont sur le jeu des acteurs. Avec l'utilisation des "lazzis" qui sont

Le terme apparaît dans les années 1760, et il est à l'origine critique, puisqu'il désigne des comédies jugées trop abstraites, trop spirituelles, trop recherchées. Marivaux était en effet un adepte du langage et de ses subtilités. « J'ai guetté dans le coeur humain toutes les niches différentes où peut se cacher l'amour lorsqu'il craint de se montrer et chacune de mes comédies a pour objet de le faire sortir d'une de ces niches. C'est tantôt un amour ignoré des deux amants, tantôt

peut rapprocher ce texte de celui de Marivaux, Les Acteurs de bonne foi, qui se penche sur les mêmes problématiques en utilisant le même procédé... lecture annonce des axes A. Le jeu de l’amour et du hasard A. Introduction : Marivaux est un écrivain français du XVIIIème siècle, siècle des Lumières qui voitl'émergence de revendications de la liberté ainsi que de l'égalité des hommes entre eux. Celles-ci poussent Marivaux à traiter des thèmes tels que la liberté

l’amour-propre de son interlocutrice pour parvenir à ses fins. Exercer les pouvoirs du langage revêt l’apparence d’un jeu chez Marivaux, jeu qui n’est pas toujours dénué d’une certaine cruauté. Dubois souligne d’ailleurs précisément le lien entre amour et langage : « quand l’amour parle, il est le maître, et il parlera », En d’autres termes, conclut Maryse Laffitte, « chez Marivaux, […] c’est par le langage que l’amour parvient à la conscience du sujet qui résiste ». Son statut est donc double : s’il est

Commentaire rédigé Marivaux, Fausses Confidences, Acte II, scène 13 (1737) Un amour contrarié entre deux jeunes gens, les figures du père autoritaire et du valet rusé, des quiproquos et des stratagèmes en tous genres, tels sont les ingrédients traditionnels de la comédie et les ressorts d’une intrigue qui finit toujours bien. Au XVIIIème siècle, Marivaux ne déroge pas à cette tradition mais il lui donne un charme particulier et une profondeur psychologique en intériorisant les