Pierre de Senarclens

internationales comme les rapports et les flux sociaux de toute nature qui traversent les frontières, échappant ainsi à l’emprise d’un pouvoir étatique unique ; auxquels participent des acteurs qui se rattachent à des sociétés étatiques différends ». Pierre de Senarclens s’inscrit dans cette perspective en définissant les relations internationales comme : « l’ensemble des échanges entre sociétés nationales ayant une dimension politique » -------------------------------------------- [ 2 ]. Gounelle, Max

presse d’opinion en Suisse romande ou la bataille des idées, Genève, Journal de Genève, 1983, 235 p. Alain Clavien, Grandeurs et misères de la presse politique. Le match Gazette de Lausanne – Journal de Genève, Lausanne, Antipodes, 2010, 310 p. Jean-Pierre Chuard, Des journaux et des hommes: aspects de l’histoire et de l’évolution de la presse en Suisse romande, Morges, Cabedita, 1993, 318 p. Roger de Diesbach, Presse futile, presse inutile. Plaidoyer pour le journalisme, Genève, Slatkine, 2007, 472

1 Questions régionales, 2003 et Tome 2 Questions mondiales, 2007. - Pierre RENOUVIN et Jean-Baptiste DUROSELLE, Introduction à l'histoire des relations internationales, Paris, Pocket, 2007. - Jean-Jacques ROCHE, Relations internationales, 4ème éd., Paris, LGDJ / Montchrestien, 2009. - Jean-Jacques ROCHE, Théories des relations internationales, 7e éd., Paris, Montchrestien, 2008, coll. « Clefs politique ». - Pierre DE SENARCLENS, La mondialisation : théories, enjeux et débats, 2ème éd., Paris, Armand

principe de solidarité qui anime de manière sporadique les acteurs du paysage planétaire, lorsqu’ils décident de prendre en charge de manière commune le devenir du monde. Cette« utopie nécessaire », pour reprendre les termes de l’universitaire Pierre de Sénarclens traduit en quelque sorte une exigence morale, en ce qu’elle suppose l’existence de dispositions communes, de valeurs fortes et structurantes partagées par le plus grand nombre. Le combat pour la paix ou pour les droits de l’homme constitue

Domination des grandes entreprises multinationales (Par exemple: Firmes transnationales). - Emergence (=apparition) d'un standard culturel... Elle est également source d'inégalité, d'instabilité, de pauvreté et de sous-développement selon Pierre De Senarclens (= Alternatives économiques). De plus, la mondialisation économique et financière provoque la destruction et la délocalisation des industries et des services, une baisse des salaires, une dégradation des conditions de travail, du chômage ainsi

jours, Paris, Armand Colin, 1999, 8° édition, 425 p. Jean-Jacques Roche, Le Système International Contemporain, Paris, LGDJ, collection « Clefs », 3° édition, 1998, 156 p. Serge Sur, Relations Internationales, Paris, Montchrestien, 1995, 588 p. Pierre de Senarclens, La Politique Internationale, Paris, Armand Colin, 2000, 3° édition, 183 p. u Programme du Cours Introduction I – L’objet des relations internationales II – Les causes d’évolution A – La globalisation B – Le choc de 1989 1 – Ordre interne

5. ↑ Selon Diane S. Clemens, "Yalta Conference" World Book. 2006 ed. vol. 21. 2006, p. 549 et “Yalta Conference” Funk & Wagnells New Encyclopedia, World Almanach Education Group, 2003, Philadelphie, États-Unis; Mot-clef: Yalta Conference et Pierre de Senarclens, Yalta, que sais-je ?, PUF, 1990, p.50-52, Churchill aurait dit : "Ne nous disputons pas pour des choses qui n'en valent pas la peine" puis prit une demi-feuille de papier, griffonna ses propositions et tendit le papier à Staline, qui sortit

comme d’empire, visant à conserver, étendre ou imposer leur « supposé » supériorité sur d'autres peuples ou d'autres territoires, en un temps donné et ceci afin de garder leurs privilèges. L’empire n’est que la conséquence d’une construction pierre par pierre de procédés impérialistes. Ces constructions politico territoriales trouvent leurs origines dans l’impulsion soutenue par un Etat impérial. Les visées d'expansions d'un régime impérialiste peuvent se faire directement ou par l'intermédiaire

le chemin de l’internationalisation des droits de l’homme, pour plus d’effectivité il a été privilégié une approche contextuelle.   II-                Universalité et singularité des droits de l’homme La notion de droits de l’homme, selon Pierre de SENARCLENS, est née en Occident. D’où l’argument de la relativité des cultures pour ceux qui la critique (A). C’est dans ce contexte, que le pluralisme culturel a favorisé l’émergence de particularités régionales ou locales dans la conception des droits

académique propice à la philosophie Le champ scientifique correspond à un espace d’affrontements dont l’en- jeu est le monopole de « l’autorité scientifique » laquelle se définit à la fois comme capacité technique et comme pouvoir social9. Les propos de Pierre Bourdieu peuvent tout à fait s’appliquer aux relations internationales. Depuis la fin des années 80, son champ propre se caractérise par une vague de contes- tations de plus en plus virulentes à l’encontre des nouvelles formulations du 6. Fred I.