Pierre Von Meiss

DE LA FORME AU LIEU Pierre VON MEISS Pierre Von Meiss a enseigné la théorie et le projet architectural et urbain à l’EPFL (Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne) pendant un très long moment. Il s’est également lancé dans la recherche de principes plus ou moins durables de l’architecture. De la forme au lieu est un ouvrage qui traite des recherches établies par Pierre Von Meiss. Il structure son approche architecturale en plusieurs points distincts qui abordent différents thèmes. * L’ouverture :

l’édition, elle contiendra un résumé du livre avec en conclusion vos commentaires concernant le contenu du livre (vos impressions seront les biens venues) :         -Von Meiss Pierre                   De la cave au toit                                Edition Presses polytechniques et universitaires romande 1991              -Von Meiss Pierre                   De la forma au lieu                              Edition Presses polytechniques et universitaires romande 1986         -Zevi Bruno                           Apprendre

architectes des alternatives d’éclairage naturel fondées essentiellement sur des caractéristiques spatiales indépendantes des courantes spécifications et recommandations chiffrées. De façon non exhaustive, on citera Pierre Von Meiss, Rafael Serra et Henri Ciriani. Pierre Von Meiss affirme que l’utilisation de la lumière naturelle dans la conception architecturale est parmi les aspects les moins enseignés en architecture à cause de la carence de moyens de leur maîtrise. Selon lui, devant cet état

DE LE FORME AU LIEU Pierre Von MEISS Résumé L’ordre inévitable, c’est-à-dire inné, se superpose à la culture et à l’environnement dans lequel nous vivons => Il n’y aura donc jamais un seul ordre idéal... Il trouve son sens grâce/par rapport au désordre, au chaos. La régularité est omniprésente (elle règle notre vie), et est nécessaire à l’homme. Celui-ci impose sa marque ; essence d’un bâtiment... La construction est un travail grossier et c’est pour cela que nous avons besoin d’ordre par

l’homme et l’industrie: « […] on peut déplorer le cours du monde ou vouloir l’infléchir. L’homme est le seul maître de ses choix. Il doit avoir le courage de sa culture et de ses artifices…» [Marcel : 1989 :221]. Le philosophe et anthropologue français Pierre Sansot abonde dans le même sens. Il voit même un intérêt à convertir ces sites pour de nouveaux usages ou de les exposer comme lieu de commémoration ; un témoignage d’une certaine époque industrielle. Cette approche porte à « rendre esthétiques les

bibliographie baudelairienne s’est vite révélée assez indigente en ce qui concerne notre perspective particulière de lecture, à quelques exceptions prés, d’ailleurs notables, à qui nous en savons infiniment gré : d’abord, Jean-Paul Sartre, ensuite Pierre Emmanuel, Marcel A. Ruff ou, plus récemment, Michel Quesnel, dont les lumières s’apparentent étrangement aux nôtres. Heureusement, l’appareil scientifique anthropologique s’est toujours révélé très utile, tout comme quelques études générales sur le