Pietà

des corps et dénonce l’oppression régnante. Séance 4 : Persepolis dans l’histoire des arts Voici différentes vignettes de la bande-dessinée ainsi que les reproductions des œuvres qui les ont inspirées. Reliez chaque vignette à sa source. La Pieta de Michel-Ange (1499) Gardes perses, bas-relief de l'Adapadana de Persépolis (Ve s. av. JC) Le Cri, Edvard Munch (peint entre 1893 et 1917) Miniature persane du XVIIe Portrait de Marie-Thérèse, Pablo Picasso (1937) Hulk, personnage

douleur et les hurlements de la mère sont perceptibles au premier abord, alors que le reste du tableau peut sembler plus difficile d’accès. L’enfant mort dans les bras de sa mère se rapprochent-ils d’une autre image à portée universelle : celle d’une piéta ? [pic]    [pic] • Les bras levés au ciel, en croix, Picasso fait assurément ici une référence au Tres de Mayo de Goya. La comparaison entre ces deux tableaux nés d’une tragédie historique doit être menée avec prudence : Goya peint 6 ans

d’Arc (béatifiée en 1909, canonisée en 1920), Thérèse de Lisieux (sans doute déjà une référence, béatifiée en 1923, canonisée en 1925). Les monuments aux morts rappellent souvent cette dimension religieuse, par exemple les représentations de type pietà. Les soldats ont été considérés victimes de la propagande, comme dans le cadre des régimes totalitaires d’après la guerre. En fait beaucoup d’objets de propagande sont fabriqués, échangés, vendus. On peut parler d’un double processus vertical (censure

profil, basculé vers le haut, ses yeux et ses narines en forme de larmes traduisant sa douleur. Elle hurle au ciel sa détresse. L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras pendants. La position de la mère et de son enfant rappelle « La pieta » de Michel Ange. Le soldat git par terre dans le bas du tableau, un de ses bras at sa tête coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée, ce qui montre qu’il s’agit de la figure du combattant. Il tient aussi entre ses doigts une fleur

reprises la parution d’un recueil de nouvelles dont il n’avait en fait que le titre, D’Oultremer à Indigo, et qu’il a écrit vingt ans après l’avoir annoncé. En bande dessinée, Marjane Satrapi nous montre l’exemple du détournement d’une oeuvre, la Pietà de Michel-Ange, pour en créer une nouvelle toute différente. Le plaisir du spectateur ou de l’auditeur tient dans ce jeu entre l’originale et l’oeuvre nouvelle qui s’enrichissent l’une l’autre car la plus récente aide souvent à mieux percevoir,

continue vers la lumière, la liberté. Elle représente les républicains et le peuple qui ne se résigne pas. À gauche, une mère avec son enfant décédé dans les bras, elle implore le ciel symbolise la souffrance de la guerre. Elle fait penser à une Piéta. Comme le cheval, elle à la langue pointue qui traduit la douleur et l’horreur de toutes les guerres. Elle incarne le peuple qui souffre et symbolise l’innocence assassinée. Un visage ressemblant à un fantôme venant de la fenêtre ouverte au plafond

les flammes du coté droit du tableau cette femme est représentée sous le model de la toile «  tres de Mayo » de Goya. De plus, sur la partie gauche du tableau une mère pleurant la mort de son enfant est représentée elle est semblable au tableau « Pietà » réalisé par Michel-Ange. Le ‘’Taureau’’ lui est un symbole de la puissance, contrairement au Cheval au milieu de la débâcle il parait impassible, le taureau ferait-il allusion au Nationaliste ? Enfin ont peu remarquer au plafond une lumière électrique

bouche ouverte, sa langue pointue comme celle du cheval traduisent la douleur, l’horreur de toutes les guerres. Elle a le regard tourné vers le ciel, d’où sont venues les bombes. Comme pour le cheval, elle rappelle une image traditionnelle : une « Pieta », c’est-à-dire la Vierge à l’enfant. Elle incarne le peuple qui souffre. L’enfant a les yeux vides et la tête pendante. Il symbolise l’innocence assassinée. Le taureau La figure mythique du Minotaure est un motif central de l’œuvre de Picasso.Au

impassible. L’iconographie tauromachique est une composante fréquente de l’œuvre de Picasso. La mère portant son enfant mort a sa langue aiguisée comme un couteau et ses yeux en forme de larmes. Les deux personnages se rapprochent de l’image de la « pietà », une représentation habituelle dans l’art chrétien de la vierge Marie soutenant dans ses bras le Christ. La colombe symbolise la paix brisée avec son aile tombée. Le guerrier mort peut être interpréter comme un rayon d’espérance. La fleur est

douleur et les hurlements de la mère sont perceptibles au premier abord, alors que le reste du tableau peut sembler plus difficile d'accès. L'enfant mort dans les bras de sa mère se rapprochent d'une autre image à portée universelle : celle d'une piéta (vierge à l’enfant). Cette figure exprime une douleur universellement compréhensible, et traduit l'horreur de toutes les guerres. Ses yeux en forme de larme, sa langue en forme de couteau, son visage tourné vers le ciel (d'où est venu le drame), tout