Piétisme

clans se positionnant désormais autour d'une certaine idée du racisme. Le pietisme et tout comportament pouvant favoriser les juifs furent stigmatisés sans relache. La propagande avait inventé une nouvelle figure de l'ennemi, aprés le maçon, le demoliberal le communiste et le xenophile: l'ami des juifs.On menaçait de retirer la carte aux membres du parti qui etaient philojuifs et à propos un millier d'exclusions pour piétisme furent prononcées au sein du parti fasciste (citazione pag 192).

surveillance du pouvoir temporel) et l'élaboration de confessions de foi normatives, puis de nouvelles scolastiques. Des « protestations » s'élevèrent derechef contre cette codification renaissante. Elles prirent des sens divergents : non-conformisme, piétisme, sectes mystiques, revivalismes, libre pensée religieuse. Il n'est donc guère étonnant que le protestantisme actuel puisse être qualifié de « confession sans frontières » (Hromadka). Il comprend des courants théologiques très divers (libéralisme

des premières années de son enfance, il l'évoque comme idyllique. Mais dès l'âge de huit ans, il va être pensionnaire dans une école stricte et piétiste. En effet, ses parents étaient protestants (chrétiens), puis la mère de Kant s'est convertie au piétisme (forme en marge du protestantisme, très austère et rigoriste). Lorsqu'elle inscrit Kant dans une école piétiste, la discipline est très dure et laisse peu de loisirs avec six jours de cours et un jour de prières et révisions dans la semaine ; on

relation de l’homme à sa besogne (beruf). II) L’éthique de la besogne dans le protestantisme a) Les fondements religieux de l’ascétisme séculier Il apparaît donc quatre fondements de l’ascétisme religieux ; le calvinisme, le piétisme, le méthodisme et les sectes baptistes, mais tout d’abord définissons l’Ascétisme : Genre de vie religieuse des ascètes, ensembles de pratiques ascétiques : austérité, jeune, macération, mortification, pénitence, privation. C’est une doctrine de

II. L’éthique de la besogne. En utilisant de nouveau l’idéaltype afin de cerner les différentes influences, Weber définit les quatre principales sources du protestantisme ascétique que sont : le calvinisme, le piétisme, le méthodisme ainsi que les sectes baptistes. a. Les fondements de l’ascétisme religieux i. Le calvinisme. Le dogme fondamental du calvinisme est celui de la prédestination. Celui-ci marque son opposition radicale d’avec le catholicisme dans le déterminisme auquel l’homme est

soit prise comme comparaison pour développer des principes convergents ou divergents. Toutefois conséquences ascétiques analogues. B- Le piétisme. Piétisme resté à l’intérieur de l’Eglise réformée, difficile de faire la différence entre calvinistes piétistes et non piétistes. Piétisme réformé du continent = accroissement de l’ascétisme réformé. Piétisme = héraut de la tolérance. L’élection n’était pas prouvée par le savoir théologique. Méfiance à l’égard de l’Eglise des théologiens. Volonté

Weber un frein à la modernité.   B) L’éthique de la besogne. En utilisant de nouveau l’idéaltype afin de cerner les différentes influences, Weber définit les quatre principales sources du protestantisme ascétique que sont : le calvinisme, le piétisme, le méthodisme ainsi que les sectes baptistes. 1) Les fondements de l’ascétisme religieux Le calvinisme Le dogme fondamental du calvinisme est celui de la prédestination. Celui-ci marque son opposition radicale d’avec le catholicisme dans

développement de l'esprit capitaliste, comme le montrent les diasporas calvinistes en France, aux Pays-Bas et en Écosse. Des sectes comme les quakers et les mennonites unissent également une vie régulée par la religion à un sens aigu des affaires. Enfin, le piétisme est un mouvement caractérisé par une combinaison d'une piété intense et d'un profond sens des affaires 2/ Dans le chapitre "L'éthique protestante et l'esprit du capitalisme", Max Weber étudie les liens entre les croyances religieuses protestantes

religieux résulte de la Bible, elle ne reconnait pas l’autorité de la papauté. Cette doctrine parmi d’autres, apparente le « travail sans relâche dans un métier » (Page 128) au seul moyen de s’assurer la grâce de Dieu et le salut éternel. Ensuite, le piétisme s’identifie quant à lui à une entière dévotion pour sa foi. Cependant, ce n’est pas une Eglise à part entière puisqu’il existe des calvinistes piétistes et non piétistes. Il a pour point de départ la doctrine de la prédestination, qui prétend que

scientist (he invented the lightning rod = paratonnerre) then a politician (he was one of the signers of the Constitution) – he was a very eclectic man. But the impact of the Enlightenment was restricted to a specific class of people. b) Pietism in America (or Evangelicalism) The Great Awakening was a much more democratic movement and affected a more important number of people and not only the well-educated people but also the “mass”. Emotion was the key-word. People from all classes, races