Piquer

Je desserre le garrot le temps que je mette de l’alcool sur un coton. Je resserre le garrot, demande à la patiente de serrer le poing et désinfecte la zone à ponctionner en un seul passage. Je maintient la peau et prévient la patiente que je vais piquer au moment venu. Une fois l’aiguille en place dans la veine, je maintiens le corps de pompe d’une main tandis qu’avec l’autre j’introduis le tube bleu en le perforant avec l’aiguille du corps de pompe. Je retire le garrot et le tube que je retourne

poubelle DASRI. -Un garrot désinfecté. -Un adaptateur pour prélèvements , une aiguille à ailettes, une petite boule de coton, du sparadrap. -Un sachet de compresses stériles avec du désinfectant. -Une paire de gants de soins pour mettre au moment de piquer. -Le sachet contenant les tubes à prélèvements, les étiquettes du malade et la feuille de prélèvement que l'équipe de nuit à préalablement remplie. -Je vérifie la prescription médicale (nomination,date et signature). Et la concordance des tubes

j’enfile la paire de gant. Je resserre le garrot et demande à Monsieur de serrer le poing afin de faire ressortir la veine. Je désinfecte la zone ou je vais piquer avec la solution antiseptique. Je prends le cathéter et je vérifie que le cathéter coulisse bien sur le mandrin. Jordan Stremez EIDE 2ème année Promo L2 2020-2023 Je peux donc piquer le patient, je pique le patient avec un angle entre 15 et 30 degrés et le biseau vers le haut. Une fois dans la veine et que le reflux sanguin s’est fait

cutanée 22G LES INJECTIONS Respecter la procédure pour l’injection Injection sous cutanée : aiguille sous cutanée (22G) 1 - Purger la seringue 2 - Désinfecter la peau 3 - Faire un pli au niveau du point d’injection avec la main dominante 4 - Piquer franchement au centre du pli en maintenant l’aiguille à 45°( 45° morphine, vaccin ) ou à 90° (insuline) en fonction de l’épaisseur du 90° tissu sous cutané. Le biseau est orienté vers le haut 5 - Lâcher la peau pour permettre la diffusion 6 - Injecter

s’y trouve déjà matériel pour l’injection d’insuline. Je toque à la porte et lui annonce l’action que je vais réaliser. J’insère tout d’abord la languette dans l’appareil puis débouche mon stylo auto piqueur en prévenant Monsieur P que je vais le piquer sur le côté de son majeur à la main gauche. Je récolte une goutte de sang et la dépose sur la languette pour ensuite essuyer le reste de sang au coton. Je finis par jeter les déchets en annonçant au résident qu’elle est son taux de glycémie. Je termine

en faisant attention de ne pas glisser sur une algue. Puis, je plongeai mon épuisette dans l’eau afin d’attraper l’étrange poisson. Au contact de l’épuisette, celui-ci se couvrit de piques. Je déposai l’animal sur le rocher et l’observai. C’était un animal très étrange avec des plumes argentées sur le corps, des piques d’oursin qui recouvraient sa tête et sa colonne vertébrale. Il avait des pieds palmés et ses doigts étaient armés de griffes. En le regardant de plus près, je vis que son visage ressemblait

théorique sur la prise de sang et encore moins pratique, la situation est donc devenue gênante pour le patient et moi- même, car je n’étais pas capable d’effectuer ce soin comme il le fallait. Après les explications de l’IDE, je me suis préparer à piquer le patient, je n’étais pas du tout organisé dans mon soin, je ne savais pas encore comment poser un garrot j’ai donc essayer de le poser au moins 5 fois avant que l’IDE vienne le faire a ma place, je cherchais une veine tat bien que mal et une fois

l’imbibe de biseptine sans mettre en contact le flacon avec la compresse pour éviter de la contaminer. Je désinfecte ensuite le doigt de la résidente à l’endroit où je prévois de la piquer, c’est-à-dire sur le 4ème doigt. J’insère ensuite la bandelette dans le lecteur puis je prends l’auto-piqueur pour l’ouvrir et la piquer au 4ème doigt sur le côté afin de préserver la sensibilité. J’élimine l’auto piqueur dans le container pour les déchets d’activités de soins à risques infectieux puis me muni du lecteur

hôpital du Val-de-Marne. La situation que je vais décrire évoque l’acte qu’a réalisé une infirmière du service. L’infirmière m’a laissé aller voir Madame T par moi-même pour réaliser une pose de perfusion sur sa chambre implantable. J’ai essayé de piquer dans la chambre implantable, mais l’aiguille ne rentrait pas dans le boitier de la chambre implantable. J’appelle donc l’infirmière pour qu’elle vienne voir la situation. Elle me dit alors qu’effectivement, cela ne pouvait pas fonctionner, car la

retards Pourquoi ? Maintenir l’effet des neuroleptiques de façon constante et réduire le traitement quotidien. Où ? Dans le quart supero-externe du muscle fessier, le deltoïde, le muscle vaste droit externe de la cuisse. Il faut veiller à ne pas piquer dans une veine en aspirant une fois que l’on a piqué dans le muscle. Le muscle doit être détendu Comment ? * Informer le patient du soin, recueillir son consentement et prendre les constantes avant le soin : la pression artérielle car il y