Piraterie dans l'océan Indien

maritimes. On peut citer comme exemple Venise, l’Espagne et le Portugal (16e-17es) et le R-U (19es). La mer Méditerranée, les mers de Chine et des Caraïbes sont des interfaces économiques et culturelles depuis des siècles. Ajrd la fonte des glaces de l’océan Arctique fait apparaître de nouvelles routes maritimes qui devraient permettre de relier plus facilement les grands ports mondiaux.3. Certains points de passage stratégiques concentrent le trafique maritime. Un petit nombre de routes maritimes regroupe

des  populations  précises ou des États, peuvent réagir cependant rapidement et prendre des mesures  fortes,  comme  le  prouve  l’exemple  des  États­Unis  qui  envahirent  l’Irak  et  l’Afghanistan peu après les attentats de 2001.    La piraterie  La piraterie désigne une forme de ​ banditisme​  pratiquée sur ​ mer​  par des marins  appelés pirates. Cependant, les pirates ne se limitent pas seulement aux pillages de  navire, et attaquent parfois de petites villes côtières.  Au niveau mondial, l'IMB (​

au transport maritime 6 3/ Les grandes routes maritimes 7 4/ Les différents types de transporteurs 8 II- Les ports et leurs influences 10 1/ Aux USA 10 2/ En Europe 10 3/ En Asie 11 III- Zones stratégiques et piraterie 12 1/ Piraterie 12 2/ Zones stratégiques (Suez / Panama / Malacca / Ormuz / Bâb el Mandeb / Phormoz) 13 Conclusion 19 Webographie 20 I- Présentation transport maritime 1/ Présentation générale Le transport maritime

grands pays, etc.). Les navires se concentrent sur quelques routes qui font le tour du monde. L’itinéraire le plus fré- quenté relie l’Asie orientale à l’Europe de l’Ouest en passant par la mer de Chine, le détroit de Malacca au sud de Singapour, l’océan Indien via le sud de l’Inde, puis la mer Rouge en entrant par le détroit de Bab el-Mandeb, puis le canal de Suez, la Méditerranée pour en sortir par le détroit de Gibraltar et rejoindre la Manche et le détroit du Pas-de-Calais. 4. Quelles sont les

voir grâce à la carte du document 2 que les principales routes maritimes passent par ce canal stratégique. De plus, une majorité du trafic maritime mondial est sur l’axe Chine – Europe. On imagine ainsi combien le détroit de Malacca, le nord de l’Océan Indien, et la mer Rouge, qui justement mène au Canal de Suez, revêtent une importance critique. Avec le développement du commerce par porte-conteneurs et l’importance du transport maritime, les pays ont dû développer leurs façades maritimes

activités considérées comme illégales voire terroristes sont définis par Ch. Grataloup comme un Antimonde fonctionnant selon les même processus que le système monde. On y retrouve des espaces producteurs de drogues, les paradis fiscaux, les zones de piraterie, « l’arc de crise » les espaces de contrebandes ou de flux migratoires illégaux… Bien souvent, leur localisation recoupe celle des interfaces et/ou des Etats marginalisés… Exemple de l’Afghanistan : pays présent dans les logiques de la mondialisation

ports à conteneurs se concentrent sur la façade asiatique de l’Océan Pacifique. ⎝ 0,5 pt si l’élève écrit « l’Asie ». c) L’Océan Indien, l’Océan Pacifique et l’Océan Atlantique et la mer Méditerranée sont les principales routes maritimes que fréquentent les porte-conteneurs. Les principaux points de passages sont le Détroit de Malacca, le Détroit de Gibraltar, le Canal de Suez et le Canal du Panama. ⎝ 0,5 pt si l’élève cite les Océans Indien, Pacifique, Atlantique et la mer Méditerranée. Si mer Méditerranée

Avec la maritimisation de l’économie, l’importance stratégique du détroit de Malacca s’0est accrue. Reliant l’océan Pacifique à l’océan Indien, il concentre des flux maritimes majeurs à l’échelle régionale (Chine, Inde…) mais aussi mondiale. Bien que garantie par la Convention de Montego Bay, la liberté et la sécurité de circulation dans cette zone nécessitent une coopération parfois difficile. Donc, on pourrait se demander pourquoi le Détroit de Malacca est-il un espace clé de la maritimisation 

français allant de l’Atlantique à l’Océan Indien a été défini, notamment face à la menace terroriste et nucléaire. La capacité « Intervenir », particulièrement à l’extérieur du territoire national, doit permettre de garantir la sauvegarde de nos intérêts stratégiques. Il convient aussi d’assumer nos responsabilités sur le plan international. Les capacités d’action se concentreront sur les zones où la probabilité de risque majeur est la plus forte (axe Atlantique - océan Indien). Les interventions s’adapteront

« planète bleue », témoigne de la place occupée dans l’espace terrestre par les espaces maritimes. Mers et océans occupent plus de 70 % de la superficie du globe. Les océans représentent plus de 90 % de la superficie totale, et le Pacifique 50 % (l’océan atlantique « seulement » 30 %). Avec le réchauffement climatique, des océans tels que l’Arctique revêtent une importance croissante (ressources, communications). Parmi les mers, certaines constituent des interfaces de première importance : Méditerranée