Place de la Bastille

représentants élus. BASTILLE -14 JUILLET 1789- (PRISE DE LA) (Toma de la Bastilla): La Bastille était une ancienne prison ou l'on détenait les prisonnier politiques. Pratiquement inoccupée en 1789, elle était devenue le symbole de la monarchie absolue. Elle était prise d’assaut par les parisiens le 14 juillet 1789, journée considérée comme la fin de l’Ancien Régime et le début de la Révolution française. En 1790, le peuple a fêté l'anniversaire de la prise de la Bastille, et depuis, le 14 juillet

donnée mon avis, puisque j’étais une femme. Et puis, je n’avais pas non plus de doléances à faire. -14 Juillet 1789 : C’est a ce moment la que la révolution a vraiment était déclaré puisque la place de la bastille a étais saisie par des centaines d’émeutiers. Moi, j’étais a ce moment précis, dans la place, je discutais tranquillement avec ma mère je n’avais 16 ans que depuis 2mois a peine et pourtant, je comprenais déjà la cause de leurs révolte. Nous étions venus rendre visite à mon père qui était

Observation des quartiers : La place Armand Carrel fait face à l'une des entrées du parc de Buttes Chaumont le plus grand et le plus pittoresque des parcs parisiens hérités du XIX siècle elle est au centre d'un quartier d'immeuble cossus qui est L'avenue laumière qui longe la mairie et constitue le plus important centre des quartiers du sud de l'arrondissement, les transports en commun qui desservent vers la gare du nord , la place de la république et la Bastille. le quartier manin est une rue

définitivement fin à l’Ancien Régime ? I. La naissance d’une France nouvelle (1789-1792) 1. Comment la Révolution française inaugure-t-elle une nouvelle ère politique ? A) La Révolution du 14 Juillet 1789 ? 1. Contextualiser le prise de la Bastille, en identifiant les acteurs qui y participent. Le 14 juillet 1789, le contexte politique et social est tendu dans le royaume de France: l’échec des états généraux*, qui a pour conséquence la formation de la première Assemblée nationale constituante

convoque les états généraux, assemblée des trois ordres - noblesse, clergé, tiers état - pour faire face à la crise économique et politique. Le 14 juillet, la Bastille, prison royale quasi désaffectée, tombe aux mains des révolutionnaires. 17 juin 1789 : Les députés du Tiers Etats se proclament Assemblée Nationale 14 juillet 1789 : Prise de la Bastille Nuit du 4 aout 1789 : L’Assemblée constituante abolit les privilèges. 17 juillet 1791 : Manifestation au champs de Mars : réelle déchéance du roi

penser que la Révolution est terminée à cette date ? La gravure que nous avons à commenter commémore la fête de la Fédération qui eut lieu à Paris sur le Champs-de-Mars le 14 juillet 1790. Cette fête devait célébrer l’anniversaire de la prise de la Bastille et le nouveau régime politique, la monarchie constitutionnelle ou parlementaire, qui succédait à la monarchie absolue. Ce régime politique, dans lequel le roi et les représentants élus du peuple se partagent le pouvoir, est inspiré du modèle instauré

Paume afin de ne pas se séparer avant d’avoir élaboré une constitution. L’assemblée nationale devient constituante. C’est la fin de l’absolutisme. Le 14 juillet 1789, la foule parisienne mécontente de la vie chère pille l’armurerie et s’empare de la Bastille, symbole royal de l’oppression. Dans les campagnes, c’est la Grande Peur car les paysans attaquent les châteaux des seigneurs et brulent les registres conservant les droits seigneuriaux. Dans la nuit du 4 août 1789, on abolit les droit seigneuriaux

Parallélisme entre " petits hommes " et " petits écrits ". Figaro fait une description humoristique de la censure. Il utilise l'ironie : " on me dit que… et que, pourvu que je ne parle ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l'opéra… je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs. " Anaphore de " ni " Cette ironie met bien sûr en relief l'hypocrisie des censeurs. De plus, la censure est contentée par des

éloge ". Parallélisme entre " petits hommes " et " petits écrits ". Figaro fait une description humoristique de la censure. Il utilise l'ironie : " on me dit que… et que, pourvu que je ne parle ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l'opéra… je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs. " Anaphore de " ni " Cette ironie met bien sûr en relief l'hypocrisie des censeurs. De plus, la censure est contentée par des

" . . Parallélisme entre " petits hommes " et " petits écrits " . . Figaro fait une description humoristique de la censure. Il utilise l'ironie : " on me dit que… et que, pourvu que je ne parle ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l'opéra… je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs. " Anaphore de " ni " Cette ironie met bien sûr en relief l'hypocrisie des censeurs. De plus, la censure est contentée par des journalistes