Place Rouge

est souvent affaire de sensations. Dans le poème de Rimbaud, c'est à travers celles-ci que la guerre se trouve d'abord condamnée, puis l'indifférence de Dieu (ou de l'institution cléricale). VISUELLES = Les couleurs jouent un rôle primordial : le rouge est la couleur du feu, de la guerre, de la violence ("crachats rouges") ; c'est aussi la couleur ("écarlate") des soldats français : de même les Prussiens sont réduits à leurs uniformes "verts". Les hommes, vus de haut, ne sont plus que des pions,

toile de 65x100 cm (Fondation Barnes, Merion). Le tableau représente le village de Gardanne le matin, vu de la Planque. C’est une composition horizontale qui respecte la règle des tiers, avec le ciel dans le tiers supérieur, l’horizon étant placé sur la ligne de force, et la prairie du premier plan dans la partie inferieure avec le muret qui la borde au niveau de la ligne de force inferieure. On retrouve dans cette construction un contracte chaud froid entre les tons rouges orange bruns du

jours de fortes pluies. La couleur prédominante de ces cartiers est le noir, le noir du charbon qui alimente ces fourneaux. En poussant la porte de ces usines, les ouvriers pénètrent dans un lieux semblable aux enfers. Le noir de la rue laisse place au rouge écarlate de l'acier en fusion. Ici, un corps nu ne survivrait pas plus d'une minute tellement la chaleur est cuisante. Les ouvriers portent de lourdes tenues de travail ou ne doit pas dépasser un seul centimètre carré de peau. Dans cette usine

présente un cadre hostile , l'usine , où il y montre l'enfer du travail . La beauté du début de l'œuvre est remplacée de plus en plus par la noirceur de la vie des ouvriers . I/ Cadre spatiale 1/Un cadre hostile L'hostilité spatiale mis en place par Boris Vian dans le chapitre XVIII désigne une fois encore le monde du travail . A travers ces mots , l'auteur se moque de la classe ouvrière qui s'obstinent à aller travailler dans des usines délabrées . L'obscurité comme le montre le groupe nominal

On se déguise ? Pour se déguiser Ce n’est pas compliqué, Il faut juste faire preuve D’inventivité! Enfiler un t-shirt Trop grand, Garder son bas de pyjama, Se colorier le bout du nez Avec le rouge à lèvres De maman, Pour terminer Mettre les chaussures De papa. Oh, le joli clown que voilà ! Bonne fête, Maman! Pour ta fête, Maman, D’abord je promets D’être le plus gentil,

Anthologie de Poèmes Thème : Guerre Ce qui était surprenant, c’était qu’ils [ des enfants allemands à la recherche de leurs parents, dans une ville en flamme ] pleuraient exactement de la même manière que nos enfants. Général Maslov de l’Armée Rouge, 1945, rapporté par Antony Beevor, La Chute de Berlin Voici ce qu'à déclaré un général russe pendant la Seconde guerre Mondiale. Je trouve que cette citation, malheureusement réaliste, traduit ce qui m'a incité a constituer cette anthologie sur la

Analyse de l’acte de lecture ‘’ Bizarre ! Bizarre ! ‘’ de Roald Dahl Un jeune enfant, se trouvant devant un tapis noir, rouge et jaune qui celui-ci couvrait toute l’entrée, depuis l’escalier où se situait l’enfant jusqu’à la porte d’entrée. En sachant que les parties rouges du tapis, sont des braises et les parties noires des horribles serpents. Va-t-il y parvenir à traverser ce tapis en touchant seulement les parties jaunes du tapis ? Va-t-il y arriver et en survivre ou va-t-il échouer et

Métaphore péjorative, dévalorisante, négative : « Les crachats rouges » (v1).  Elle désigne le sang des soldats et « crachats » est un mot aux sonorités dures, terme très vulgaire et trivial, qui évoque le désagréable. De plus, la figure de style est placée au milieu du vers, à l’hémistiche, ce qui donne l’impression que l’auteur insiste. - Périphrase dévalorisante sur la guerre : « Folie épouvantable » (v5).  Folie = quelque chose d’absurde, qui n’existe pas ou qui ne devrait pas exister. - Beaucoup

Anecdote : Des films à succès tels que « Inception » ou encore « Un dernier tango à Paris », comprennent des scènes tournées au Pont de Bir Hakeim. Le Pont de la Concorde relie l’Assemblée Nationale à la place de la Concorde. En 1772, à l’achèvement de la Place de la Concorde (alors appelée place Louis XV) le projet est accepté par le roi Louis XVI. Inauguré sous le nom de Pont Louis XVI, il changera plusieurs fois de noms pour finalement prendre le nom de Pont de la Concorde en 1830 car, Louis-Philippe

qui convient. Il photographie ce deuxième dessin préparatoire et projette la diapositive sur la toile à l’échelle du tableau ainsi ill retravaille encore les tracés avant d’appliquer la peinture, zone par zone, à l’aide de caches. Pour peindre, il place ses tableaux sur un chevalet tournant, de biais ou à l’envers, pour mieux oublier le sujet et se concentrer sur l’œuvre. L’artiste résume cette étape avec cette formule légèrement provocante : « évacuer le sujet, afin de réaliser un tableau qui fonctionne