Placement Familial

de grandes valeurs (motif de liquidité) IV / Les affectations de l’épargne Généralement trois affectations sont possibles : * La thésaurisation * Le placement * L’investissement Cependant, il faut préciser que les emplois définitifs de l’épargne sont la consommation et l’investissement. La thésaurisation et le placement ne sont que des affectations provisoires. V / Les déterminants de l’épargne Les déterminants de l’épargne constituent les facteurs qui favorisent et encouragent

unes avec les autres. Elle se manifeste par des décisions qui forment une hiérarchie en 3 étapes. a) L’allocation stratégique : L’allocation stratégique réside dans la définition de l’allocation type du portefeuille en fonction de l’horizon de placement et de l’aversion au risque de l’investisseur, qui sont les paramètres clés. Afin de mesurer plus facilement les performances du gérant, on peut définir un benchmark qui servira d’étalon.  Les principes de base de l’allocation stratégique L’allocation

en début de période. Si l’on observe l’évolution de la rentabilité d’un titre au cours du temps, on peut estimer la rentabilité moyenne ainsi que le risque qui lui est associé tout au long de la période d’observation Le risque associé à un placement financier se traduit le plus souvent par une dispersion plus ou moins forte de la rentabilité effective par rapport à la rentabilité moyenne observée, et peut se mesurer par un indicateur de dispersion tel que la variance ou l’écart – type. Illustration

25//02/2013 a) Taux de rdt sans risque : Un taux de placement sure qui se caractérise par une rentabilité certaine (titre de placement de l’Etat) Schéma La variance est valeur de résumer le risque de marché d’un portefeuille d’un instrument correspondant au montant de perte qui ne doit pas être dépassé par la banque qu’avec une prob donnée sur un horizon temporel donnée. • Le risque opérationnel ( risque d’erreur humaine, risque de catastrophe naturelle

tels que le livret A et le livret jeune, sont très attrayants grâce à leur rémunération importante et à leur défiscalisation. En effet, s’agissant d’épargne réglementée et limitée sur le plafond des placements, les clients les utilisent également pour leurs enfants afin de varier leurs placements et d’optimiser leur rendement. • Augmenter le PNB L’épargne à vue est très favorable dans l’augmentation du Produit Net Bancaire puisqu’elle permet, en plus de sa collecte, d’être associée avec la

Un spéculateur est enfaite une institution-banque, fonds de placements, fonds de pensions, fonds spéculatifs, fonds souverains qui gère des fortunes et des épargnes en les plaçant de telle façon qu’elles rapportent à leurs détenteurs et en évitant que ceux ci perdent leur argent. Spéculer consiste à acheter ou vendre, généralement en bourse, une certaine quantité d'une marchandise, d'un actif financier, immobilier ou de collection, ou d'un contrat dérivé : dans l'espoir que son prix évoluera par

capital des entreprises. Elles se caractérisent par des rendements variables, dans la mesure où leurs cours varient. De ce fait, leurs détenteurs sont exposés au risque de voir leurs cours baisser. C’est la raison pour laquelle, on considère que le placement (investissement) dans les actions se fait selon un arbitrage rendement – risque. Les obligations, quant à elles, sont des emprunts financiers et ne génèrent aucun risque à leurs détenteurs. Le rendement des obligations est tout simplement un intérêt

plus tard = 19 400 x (1,0325)3 = 21 353,64 € (réponse D) QUESTION 4 X On place 4 000 € sur un compte rémunéré. Quatre ans plus tard, on dispose de 4 509,31 €. Sachant que la capitalisation est mensuelle, quel est le taux annuel équivalent du placement ? A 3 % B 3,04 % C 3,18 % D 2,98 % Vact (1+i)n = Vacq = 4 000 (1+i)4 =4 509,31 donne i = 3,04 % (réponse B) Remarque : Comme les taux

par la Fédération française de sociétés d’assurance (FFSA). A l’opposée, la mauvaise année de l’assurance vie en 2008 avait occasionné un recul de 6,4% des revenus du secteur. Boudée par les épargnants lors de la crise financière, au profit de placements à plus court terme comme le Livret A, l’assurance vie a retrouvé des couleurs courant 2009 avec la stabilisation des marchés financiers. La collecte en assurance vie a ainsi augmenté de 13% sur l’année, pour atteindre 138 milliards d’euros, un regain

M)) B. Le taux d'utilisation des capacités de production – Si le taux d'utilisation est inférieur à 100 %, l'investissement est freiné car les entreprises n'ont pas besoin d'investir pour produire plus C. L'arbitrage entre investissement et placement – Si les taux d'intérêt sont élevés, l'entreprise peut préférer placer son épargne plutôt que l'investir