Placere Et Docere

ainsi utilisées (comique de geste, de mots, de situation…). La comédie met principalement en scène des bourgeois dont les préoccupations sont l’argent, le mariage, la dot, etc. Dans les comédies de Molière, le rire a aussi une fonction morale : docere et placere => plaire et instruire. nécessaire : * Est nécessaire ce qui ne peut pas ne pas être, ou être autrement. S'oppose à contingent. * Sur le plan logique, est nécessaire ce qui est universellement vrai, sans remise en cause possible. savoir-faire

étudierons ce texte selon trois perspectives. Nous verrons tout d’abord qu’il s’agit d’un exposé didactique, puis nous observerons que cet exposé est aussi très vivant et enfin nous noterons qu’il n’en demeure pas moins ambigu … I- Un exposé didactique (docere) Souhaitant instruire son destinataire, Machiavel emploie de nombreux procédés propres au registre didactique. Ainsi son premier souci est celui d’être clair. Pour cela, il déploie un jeu de question / réponses qui structure tout notre extrait

problèmes de l’Homme ont les mêmes partout. C’est le Monde tout entier qui est à soigner selon Rabelais. Conclusion : Nous avons ici un exercice de l’écriture de Rabelais qui développe des ressorts comiques pour donner un sort critique et un placere associé à un docere. L’auteur porte un regard parodique sur le monde et la situation de l’gomme tel qu’il est aujourd’hui. Rabelais est un écrivain très moderne car il remet en cause sa fonction de narrateur avec Alcofribas Nasier en visitant sa créature. Il

ainsi utilisées (comique de geste, de mots, de situations. La comédie met principalement en scène des bourgeois dont les préoccupations sont l'rgent, le mariage, la dot, etc. Dans les comédies de Molière, le rire a aussi une fonction morale : docere et placere => plaire et instruire. (Par le tragique, l’auteur cherche à rendre le sentiment de l’homme qui prend conscience que des forces le dominent, et, le cas échéant, l’écrasent malgré la résistance qu’il leur oppose. La comédie, quant à elle, est

genre argumentatif que l’on appelle « l’apologue » (= court récit à portée morale implicite ou explicite) -> « Je vous conte une petite historiette », « plaire… qui vous divertira », « moi qui aime tjrs à faire des réflexions, je voudrais » =docere et placere : divertir pour donner à penser. * Situation de comique dépeint par Mme de Sévigné : Elle utilise une structure théâtrale. Par un avis au lecteur, elle pose le choix du genre comique car elle dédramatise d’emblée une saynète. l 2 à

d'une idée dans un récit fictif à valeur symbolique permet de la rendre attrayante, l'apologue donne chair à des situations parfois lointaines ce qui permet une identification aux personnages: l'apologue séduit avant de faire réfléchir (Latin = Placere Docere). De plus,la brièveté du récit évite l'ennui. Le schéma narratif est élaboré pour mettre en évidence une idée, le récit est orienté selon l'axe à démontrer. Quelques auteurs célèbres[modifier] * Fable : La Fontaine, Esope, Phèdre, Florian

Introduction :La Fontaine est un auteur du XVIIe siècle qui appartient au mouvement littéraire et culturel du classicisme. Sa devise était « Instruire et plaire » ( placere et docere ) et pour atteindre ce double objectif il va reprendre un genre antique utilisé par Esope et Phèdre, celui de la fable. Cet extrait est une de ces fables, un genre relevant de manière plus générale de l’apologue, un court récit ici en vers dont on tire un enseignement moral. La fable prête à l’animal les qualités

entreprise que celle de faire rire les honnêtes gens. » Puisqu’il faut « joindre l’utile à l’agréable », les divertissements que sont le cinéma est le théâtre ne se contentent pas d’amuser et de divertir. Ils répondent à la devise latine « docere placere » : instruire en amusant. En effet, les deux arts ont souvent pour but de faire réfléchir le spectateur sur un sujet de société et/ou de délivrer une morale. Cette devise est constamment respectée au théâtre tandis qu’elle l’est un peu moins au

                 Les livres 7 à 12 présentent des fables plus amples (le 12° a été édité en 1693) que celles du premier recueil composé en 1668 à l'intention d'un enfant, le Dauphin. Comme toute fable, elle allie le récit à l'enseignement (docere et placere=instruire et plaire). Hérité de l'Antiquité, ce genre, illustré notamment par Esope en Grèce et par le fabuliste latin Phèdre a été repris et développé par La Fontaine qui en est devenu le maître Cette mise en scène d'un procès autour du Lion

étudierons donc la philosophie de Rousseau, son point de vue sur l'éducation, puis celle de Jean de La Fontaine dans ainsi que plus généralement l'enseignement qu'ils veulent nous faire tirer, et ce grâce aux deux facultés de l'apologue qui sont placere et docere, soit . Selon Jean de La Fontaine, dans sa préface aux fables, l'enseignement tiré peut être moral. En effet, cela est indiqué au vers 4 "on ne saurait s'accoutumer [...] à la sagesse et à la vertu", au vers 5 "corriger nos habitudes [...]