Placere Et Docere

ainsi utilisées (comique de geste, de mots, de situation…). La comédie met principalement en scène des bourgeois dont les préoccupations sont l’argent, le mariage, la dot, etc. Dans les comédies de Molière, le rire a aussi une fonction morale : docere et placere => plaire et instruire. Extrait du corrigé : Exemple de Mithridate : - Le choix de l'action : une lutte de l'homme contre son destin et pour une fidélité à une valeur qui donne un sens à sa vie. Un enjeu terrible : une question de vie ou de

au XVIIIème siècle Parcours : Imagination et pensée au XVIIème siècle 1. Deux séquences pédagogiques au choix à partir du volume des Fables de Folio + Lycée : Première séquence : Éveiller la pensée critique du lecteur : Les Fables et le docere Problématique : Comment La Fontaine pose-t-il dans les Fables un regard critique sur la société du XVIIème siècle afin d’instruire son lecteur et de le faire réfléchir ? Séance Titre (et support) Objectif Pages du livre Production des

métonymie de la ville - « entre eux »  : se mélange pas => ETHNOCENTRISME - l.9 d.d => + vivant => apologue, aspect placere 5e l.9  : antiphrase non verbale exclamative => registre satirique 6e phr l.10-11-« partout », « toutes » x2 : hyperbole => critique les réactions exagérées => bête de foire 7e phr l.12-14

dialogue qui n’est souvent pas direct, c’est ce qui fait l’efficacité de celle-ci. Elle permet de capter l’attention de chaque lecteur en les laissant libre de leurs jugement et en les amusants. II- Vous ferez un commentaire du texte C « Placeres Doceres », plaire et instruire ; une expression qui pourrait définir cette fable de Jean de La Fontaine. En effet, ce dernier nous livre un récit court et versifié sous lequel se cache une moralité. Au XVIIème siècle, fidèle à ses modèles dont Esope

« La guerre est un fruit de la dépravation des hommes » et qu’elle nous fait du mal : «  c’est une maladie convulsive et violente ». Pour faire passer des idées l’auteur peut aussi persuader le lecteur comme le faisait si bien Rabelais avec le « placere-docere » technique d’écriture qui consiste à plaire mais pour instruire. Dans Gargantua, Rabelais utilise parfois un vocabulaire grossier mais derrière ceci ce trouve des idées bien conçues sur l’humanisme ou la religion. Néanmoins, on peut constater

trois unités. Les registres priviligiés sont le tragique et le pathétique. La gravité et la tension n’empêchent pas l’ironie tragique. 3) Fonctions de la tragédie Comme la comédie, la tragédie a un double objectif : plaire et instruire (placere et docere), mais avec d’autres moyens. a) Crainte et pitié : La tragédie suscite, selon Aristote, « la pitié et la crainte », la crainte pour soi-même, la pitié pour autrui. Paradoxalement, ces sentiments sont source de plaisir. b) Une fonction morale

examen approfondi à propos d'une question, c'est le principe de la dissertation. Un apologue est un court récit en vers ou en prose qui vise à faire passer une opinion, une thèse sur quelque chose. Elle suit généralement le principe Horacien du placere docere, c'est à dire d'enseigner tout en plaisant. On le retrouve dans les fables mais aussi dans le roman et le conte. Utopie : L'utopie vient du grec, le U peu signifier deux choses : EU le meilleur et U, le préfixe privatif. Associé à topos, qui signifie

ressentir et partager des émotions, comme dans les salons délicats de l'époque où l'on dissertait sur l'amour. Conclusion La Fontaine s'engage fermement dans la fable et nous demande de nous interroger et donc a bien suivi la formule latine Placère et Docere. La portée analytique est une réussite. Ce texte a pour but de convaincre le lecteur par les sentiments et non par la persuasion. Les fables ont connu de grands succès à son époque mais avec le vrai développement de la littérature; l'apologue(2)

des trois unités. Les registres privilégiés sont le tragique et le pathétique. La gravité et la tension n'empêchent pas l'ironie tragique. FONCTIONS DE LA TRAGEDIE Comme la comédie, la tragédie a un double objectif : plaire et instruire (placere et docere), mais avec d'autres moyens. CRAINTE ET PITIE La tragédie suscite, selon Aristote, «la pitié et la crainte», la crainte pour soi-même, la pitié pour autrui. (Crainte devant la fureur de Cléopâtre abandonnée par ses fils dans Rodogune de Corneille

Sponde=la mort est la seule vérité, ne pas l’assumer par des divertissements) c)Science : découverte de procédés d’approche ( scanner, osculations) d) nuancer : voir claire, s’instruire peut ne pas être forcément douloureux :utopie, fables (placere i docere) : besoin de noir pour y voir clair ? e)On peut voir noir et peindre en rose =agir (Roosevelt, Obama…Révolutions…) - Ce qui nous permet de voir clair nous permet de remédier, nous empêche de -nous endormir sur nos lauriers : ironie, critique