Plage de Bondi

je me fis tout petit et refermai les yeux, certain que si je venais à les rouvrir, je surprendrais la statue à quatre pattes en train de me dévisager. J’avais tellement peur que j’ignore si je m’étais assoupi ou évanoui… — Mahi ! Le cri me fit bondir ; ma tête heurta les lames du sommier. — Jonas n’est pas dans sa chambre, hurla Germaine. — Comment ça, il n’est pas dans sa chambre ? s’emporta mon oncle. Je les entendis courir dans le couloir, claquer des portes, dévaler les escaliers. Il n’est

Qu'est-ce qui lui faisait dire que j'en valais le coup ?Elle ne me connaissait pas.Moi non plus.Et pourtant elle avait choisi de me sauver, malgré ma puanteur future.- Qu'est-ce qui te fait dire ça ?- Toi tout entier. Dès que je t'ai vu, là, sur cette plage, j'ai su que tu étais différent et je ne pouvais pas te laisser mourir comme ça. Est-ce que tu te contrôle assez maintenant ?- Depuis que tu es là, oui. Dis-je en rigolant. C'est étrange d'ailleurs. Tu sais pourquoi ?Et là, sans que je comprenne pourquoi

sur le sujet. - Et..., commença Charlie avant de s'interrompre. - Quoi ? - Rien. Je... je me demandais juste quels étaient les plans d'Edward pour l'année prochaine. - Ah. - Donc? On frappa soudain à la porte, ce qui me sauva. Mon père soupira, je bondis sur mes pieds. - J'arrive ! criai-je, tandis que Charlie marmonnait dans sa barbe quelque chose qui ressemblait à « Qu'il aille au diable ! ». L'ignorant, j'allai ouvrir, tirant le battant à la volée avec un empressement ridicule. Apparut alors mon

relève, sans parler de rien, et on est venu vous l'amener, chef. Voilà. CREON __ Et cette nuit, la première fois, c'était toi aussi? ANTIGONE __ Oui. C'était moi. Avec une petite pelle de fer qui nous servait à faire des chââteaux de sable sur la plage, pendant les vacances. C'était justement la pelle de Polynice. Il avait gravé son nom au couteau sur le manche. C'est pour cela que je l'ai laissée près de lui. Mais ils l'ont prise. Alors la seconde fois, j'ai dû recommencer avec mes mains. LE GARDE

savez-vous ce que je fis, monsieur ? Une chose bien simple, à laquelle j'aurais dû songer tout de suite : je mis les mains dans mes poches, et sifflotant un petit air de Marseille, je m'en retournai tranquillement à mon canot, qui m'attendait sur la plage. •— Eh bien ! et le singe ? — Le singe? Il s'en alla de son côté comme je m'en allais du mien. Je l'avais pris par son faible. — Quel est donc ce faible? — Vous ne le savez pas ? — Non. — C'est l'imitation. LE MATELOT ÉCOSSAIS Un matin

la relève, sans parler de rien, et on est venu vous lamener, chef. Voilà. CRÉON Et cette nuit, la première fois, c’était toi aussi? ANTIGONE Oui. C’était moi. Avec une petite pelle de fer qui nous servait à faire des châteaux de sable sur la plage, pendant les vacances. C’était justement la pelle de Polynice. Il avait gravé son nom au couteau sur le manche. C’est pour cela que je lai laissée près de lui. Mais ils lont prise. Alors la seconde fois, j’ai dû recommencer avec mes mains. LE GARDE

passé la relève, sans parler de rien, et on est venu vous lamener, chef. Voilà. CRÉON Et cette nuit, la première fois, c’était toi aussi? ANTIGONE Oui. C’était moi. Avec une petite pelle de fer qui nous servait à faire des châteaux de sable sur la plage, pendant les vacances. C’était justement la pelle de Polynice. Il avait gravé son nom au couteau sur le manche. C’est pour cela que je lai laissée près de lui. Mais ils lont prise. Alors la seconde fois, j’ai dû recommencer avec mes mains. LE GARDE

relève, sans parler de rien, et on est venu vous l'amener, chef. Voilà . CRÉON Et cette nuit, la première fois, c'était toi aussi ? ANTIGONE Oui. C'était moi. Avec une petite pelle de fer qui nous servait à faire des châteaux de sable sur la plage, pendant les vacances. C'était justement la pelle de Polynice. Il avait gravé son nom au couteau sur le manche. C'est pour cela que je l'ai laissée près de lui. Mais ils l'ont prise. Alors; la seconde fois, j 'ai dû recommencer avec mes mains

dimanche, il fut frappé par un infarctus. J'étais présent à l'enterrement. Calbez fit un signe de tête et prit un air grave. Puis il dit lentement : — Remarquez qu'Anita Almiranda appelle cet inconnu Fernando. — Vous êtes fou! (Le commissaire avait bondi hors de son fauteuil et jetait le dossier de la contrebande des stupéfiants sur une table de machine à écrire placée contre son bureau.) Voulez-vous insinuer par là que ce Dr Albez ne serait pas mort? — Peut-être... — Calbez, vieil idiot, j'ai

passé la relève, sans parler de rien, et on est venu vous lamener, chef. Voilà. CRÉON Et cette nuit, la première fois, c’était toi aussi? ANTIGONE Oui. C’était moi. Avec une petite pelle de fer qui nous servait à faire des châteaux de sable sur la plage, pendant les vacances. C’était justement la pelle de Polynice. Il avait gravé son nom au couteau sur le manche. C’est pour cela que je lai laissée près de lui. Mais ils lont prise. Alors la seconde fois, j’ai dû recommencer avec mes mains. LE GARDE