Plaidoirie Robert Badinter

responsable de l'attentat du Petit-Clamart contre le général de Gaulle, fera de lui, le dernier condamné à mort à être fusillé. Vers l'abolition Le 28 novembre 1972, Claude Buffet et Roger Bontems sont exécutés, c'est le début de la croisade de Robert Badinter pour l'abolition totale de la peine de mort en France. Le 12 mai 1973, l'exécution d'Ali Benyanès à Marseille passe quasiment inaperçue. Pour la troisième fois en moins de six mois, Georges Pompidou (pourtant défavorable à la peine capitale)

juristes et d’hommes politiques. Victor Hugo en est l’un des plus ardents représentants : il publie par exemple en 1829 Le dernier jour d’un condamné à mort, accompagné d’une préface prenant vivement position en faveur de l’abolition écrite par Robert Badinter qui aura par la suite une grande influence pour l’abolition en 1981 . Lamartine partage ce combat, publiant en 1830 un poème intitulé Contre la peine de mort, et usant de sa qualité de député pour convaincre ses collègues. Élu pair de France,

capitale est une peine prévue par la loi consistant à exécuter une personne ayant été reconnue coupable d'une faute qualifiée de « crime capital » La peine de mort en France qui existait depuis toujours et a été abolie en 1981 à l'initiative de Robert Badinter, faisant de la France le dernier pays de la Communauté européenne à l'abolir. Ceula est fruit d’un effort multiple , plusieurs écrivains français ont critiqués la condamnation a peine capitale et parmi eux le géant VICTOR HUGO qui a

continuera à tuer dans les prisons américaines. Rien n'évoluera si, aux Etats-Unis même, une puissante volonté politique ne se manifeste. Il n'en a pas été autrement en France où la volonté de François Mitterrand et le combat inlassable de Robert Badinter et de tant d'autres ont permis de mettre un terme à la peine capitale. Il n'en sera pas autrement pour tous les pays qui l'appliquent encore. Nous pouvons et nous devons, cependant, contribuer à leur évolution. A Strasbourg, les 21 et 22 juin

valeur dissuasive de la peine de mort méconnaissent la vérité humaine. La passion criminelle n’est pas plus arrêtée par la peur de la mort que d’autres passions ne le sont qui, celles-là, sont nobles. » Telles sont les paroles du célèbre Robert Badinter, lors de son discours du 17 Septembre 1981 à l’Assemblée Nationale. Si, grâce à lui, la peine de mort en France est abolie depuis le 09 Octobre 1981, ce n’est pas le cas dans tous les pays du monde. Pourquoi cette condamnation persiste-t-elle

Texte 2 : Discours à l'Assemblée Nationale Robert Badinter 17 septembre 1981 → p. 310 Objectif : Un modèle de l'Art Oratoire. Vote de l'abolition de la peine de mort : 363 votes Pour contre 117 votes Contre avec 6 abstentions. Problématique : Faut-il voter pour l'abolition de la peine de mort ? Thèse soutenue : Il est urgent de voter pour i de la peine de mort, il ne faut pas culpabiliser. Argumentaire : Referendum → non. Ne pas déroger la démocratie. La peine de mort est hasardeuse

particulièrement l’attention en 1977 et une dizaine de personnes sont condamnées à mort cette année, mais toutes seront graciées. En septembre 1981, après l’élection de François Mitterrand qui se déclare contre la peine de mort, le ministre de la Justice Robert BADINTER propose un dépôt  de loi tendant à l'abolition de la peine de mort. Ce projet de loi est adopté en première lecture par l'Assemblée nationale et le Sénat, avant que la loi ne soit promulguée le 10 octobre 1981 ; la France est alors le dernier

s’appelle « Discours à l’Assemblée Constituante », il date de 1848. Le deuxième document est de Aristide Briand, il date de 1908 et se nomme « Discours à l’Assemblée ». Le dernier document s’intitule « Discours à l’Assemblée » et a été déclaré par Robert Badinter en 1981. Ces trois auteurs s’engagent contre cette peine capitale, dans chacun de ses discours. Ces trois textes utilisent le discours argumentatif pour se manifester contre la peine de mort. Nous passons donc à l’analyse des principaux arguments

Dernier jour d’un condamne (1829) • Au XXe, Albert Camus dénonce un assassinat légal dans son œuvre l’Etranger (1942) • Abolition de la peine de mort en France en 1981 sous LE GOUVERNEMENT DE François Mitterrand, à la suite du discours de Robert Badinter à l’Assemblée Nationale. L’antisémitisme 2. Le discours Antisémite refait surface a la fin du XIX, surtout avec l’affaire Dreyfus (1894-1906). Un capitaine du nom d’Alfred Dreyfus, d’origine Alsacienne et de confession juive est accusé

Espagne 1978 France 1981 Badinter Comment parler de la peine de mort sans évoquer l'un des principaux acteurs de son abolition en France, Robert BADINTER, Ministre de la justice sous Mitterrand, qui avait lui -même déclaré avant son élection qu'il abolirait la peine de mort alors qu'une grande partie de la population française y était opposée, Robert BADINTER fit voter l'abolition le 9 octobre 1981. Robert BADINTER commença sa carrière professionnelle en tant qu'avocat