Plaidoyer Requisitoire

personne coupable (on pourrait rapprocher cela de l’Inquisition), mais se désengage dès qu’il connaît le nom de la personne visée, en un revirement soudain et ridicule. Au regard de la situation sociale du coupable, il en excuse les pêchés, et son réquisitoire se transforme en apologie de Saint-Pouange (rythme ternaire, répétition de « bien » et « bon », allant même jusqu’à blâmer la victime (« il faut que vous ayez mal entendu »)). Suite à l’insistance de Saint-Yves, il se lance dans une parodie d’argumentation

texte par les discours rapportés et l’alternance des vers, et enfin les argumentations détournées du lion, du renard et du loup. Tout d’abord, La Fontaine délègue la parole à des animaux. Nous assistons à la confession d'un lion, au plaidoyer d'un renard, au réquisitoire d'un loup et à la condamnation d'un âne. Par ce procédé, l'auteur détient une plus grande liberté d'expression, très limitée à cette époque de censure. Un lecteur averti peut aisément reconnaître le monde de la cour avec les courtisans

tout ce qui dépend de leur constitution particulière doit être considéré faisant partie de leur perfection. C’est donc sans raison que quelques-uns s’imaginent que les femmes ne sont pas si parfaites que les hommes...». C’est un beau plaidoyer pour dénoncer le préjugé ancestral de l'inégalité des sexes que nous livre ici l’auteur. Certes la lecture est rendue un peu ardue par une langue très XVIIème siècle, un argumentaire un peu répétitif et parfois long et lourd. Mais l'auteur montre

Jour d’un condamné Le dernier Jour d’un condamné, Edition Hachette, Victor Hugo, 1829. I – Présentation ( titre , édition, genre) Le Dernier Jour d’un condamné est un roman de Victor Hugo publié en 1829 chez Gosselin, qui constitue un réquisitoire politique pour l’abolition de la peine de mort. Cette œuvre à succès de Victor Hugo, est un récit rédigé à la première personne. Il s’agirait d’un journal intime en particulier ou un condamné a mort, raconte, sous forme de monologue intérieur

valeur au fait qu’il soit trisyllabique : « le Berger ». La réponse des courtisans débute au vers 34 avec « Sire, dit le Renard ». On s’attend à un pareil examen de conscience, mais le Renard, fin courtisan s’en garde bien. Il se contente d’un plaidoyer des plus flatteurs pour le Roi, justifiant à la fois son comportement de prédateur et ses crimes : « vous êtes trop bon Roi, vos scrupules font voir trop de délicatesse, et bien, manger moutons, canaille, sotte espèce, est-ce un pêché ? Non, non

perdre » Analyse du film Persepolis est une évocation de l'histoire récente de l'Iran vue à travers les yeux d'une petite fille. Mêlant avec beaucoup d'humour l'histoire du monde à l'histoire personnelle, Persepolis apparaît ainsi comme un plaidoyer pour la tolérance et le respect, sans jamais tomber dans la leçon de morale. Persepolis est un film sur la mémoire familiale et sur l'éducation. La famille très soudée va permettre à Marjane de s'épanouir : si elle se pose des questions, des réponses

Les formes directes l'essai est un ouvrage, de forme assez libre, dans lequel l'auteur expose ses opinions (cf. Montaigne, Les Essais) ; le pamphlet est un écrit satirique, souvent politique, au ton virulent (Voltaire) ; le plaidoyer est la défense d'une cause, le réquisitoire est une accusation ; le manifeste est une déclaration écrite, publique et solennelle, dans laquelle un homme, un gouvernement ou un parti expose un programme ou une position (on trouve ainsi des manifestes de groupes d'artistes

préambule .Il démonte dans chaque argument esclavagistes son ironie. Montesquieu maîtrise aussi parfaitement tous les outils rhétoriques donc son texte plus efficace. Au 1er regard, on a l' impression que c' est un plaidoyer pour l'esclavage mais c' est en réalité un violent réquisitoire contre cela (tout est implicite) Montesquieu tente d’exposer d’une façon faussement objective les arguments des esclavagistes pour démontrer qu’ils sont spécieux, faux, irrecevables, inacceptables et immoraux …

finirons nous de travailler ? », ce qu’il veut c’est une vie simple, sans obligations puisqu’il dit « rien ne nous paraît préférable au repos ». De plus, la rédaction du récit est très différente, tout d’abord Diderot écrit un réquisitoire alors que Montesquieu écrit un plaidoyer, de plus, dans le Supplément au voyage de Bougainville, le texte est très structuré, effectivement nous voyons que le texte est séparé entre deux paragraphes, dans le premier, le vieillard s’adresse aux tahitiens avec un jeu

formes directes l'essai est un ouvrage, de forme assez libre, dans lequel l'auteur expose ses opinions (cf. Montaigne, Les Essais) ; le pamphlet est un écrit satirique, souvent politique, au ton virulent (Voltaire) ; le plaidoyer est la défense d'une cause, le réquisitoire est une accusation ; le manifeste est une déclaration écrite, publique et solennelle, dans laquelle un homme, un gouvernement ou un parti expose un programme ou une position (on trouve ainsi des manifestes de groupes d'artistes