Plaie

d'un diurétique et d'un antihypertenseur avec une surveillance avant chaque administration un contrôle de la TA Diabète de type II administration d'un antidiabétique contrôle avant chaque repas du taux de glycémie. Problème infirmier à J 7 Plaie opératoire laparo : réfection du pansement tous les deux jours au serum psysiologique et à la bétadine dermique. Ablation ce jour du KTC surveillance du pansement sec. Déplacement limité suite à son opération ttt anticoagulant

tranchant|Incision franche, net, superficiel ou profonde|Douleur, saignement| Brulure|Source de chaleur, produit chimique|Phlyctènes, nécrose, cloques, couleur de la peau.|Douleur, saignement, plus odeur (odeur forte),hausse de température sur la plaie et autour| Frottement|Contact d'une surface dure et /ou poreuse|Rougeur, épanchement, détersion.|Douleur, saignement,épanchement, détersion| IV - EXAMEN COMPLEMENTAIRE => determiner la graviter de l'atteinte radio: atteinte osseuse (coupure profonde

APPROFONDIR : J’ai tellement voulu respecter toutes les règles de bonne conduite de ce soin que j’ai ouvert les paquets de compresses par peur d’en manquer. J’aurais dû en amont compter le nombre de compresses suivant le protocole et la taille de la plaie (3 petites plaies de cœlioscopie) avant de commencer le soin. VOUS SENTEZ VOUS SUFFISAMMENT AUTONOME et POURQUOI : Oui J’ai appris par l’encadrement à savoir calculer le nombre de compresses pour les différents protocoles et plaies. Avant d’aller

virales. A la suite de brûlures graves, d’une péritonite, d’accident violent, la transfusion permet de rétablir un volume à peu près normal de liquide corporel circulant. Dans le cas de l’hémophilie (sang trop fluide qui ne coagule pas, lors d’une plaie), dans le cas de cancer (leucémie) on utilise des élément sanguins qui contribuent à prévenir, à stopper une hémorragie, afin d’accélérer la coagulation. En grande chirurgie, la transfusion permet de compenser les pertes sanguines . III/ Intérêts

propres Avant de commencer la toilette je monte le lit à la hauteur de mon bassin, j’enlève la housse de protection de la barrière et je fais baisser la barrière qui est de mon coter. Sachant que la patiente n’a pas de maladie infectieux et aucune plaie ou de coupure sur toute la partie supérieur de son corps, je commence à main nue la toilette du vissage avec le gant du haut que je savonne un peu puis je rince et j’essuie avec la serviette pour le haut, ensuite j’enlève le draps jusqu’au niveau

donc, que le meilleur moyen de traitement des escarres est la prévention. Celle-ci permet d’améliorer d’autant plus, la qualité de prise en charge de la personne soignée. CONCLUSION L’escarre est une plaie chronique d’évolution lente, invalidante qui engendre des souffrances et donc une pathologie grave. L'escarre est révélatrice de la qualité des soins. Plus de la moitié des escarres (54 %) sont constituées de lésions au stade 1, rapidement réversibles

hôpital après seulement deux ou trois jours. Lui aussi s’en est sorti. Ces retards posaient toutefois des problèmes d’infection. Quand il s’agit d’une blessure causée par balle ou par un projectile, il faut prescrire des antibiotiques, ne pas fermer la plaie et pratiquer une fermeture secondaire trois à cinq jours après, en fonction de l’évolution. Or, de nombreux blessés ne pouvaient être correctement pris en charge, faute de ressources disponibles à proximité des combats. De graves complications s’ensuivaient

une respiration spontanée Anémie aigue -glasgow à 5 -ventilation contrôlée - hb à 6dl/l, hématies à 3M -polytraumatisme (hémo-pneumothorax), œdème cérébral, post-op immédiat - hémo-pneumothorax, épanchement sanguin intra-abdo, saignement plaie crânienne, intervention chirurgicale -paramètres machine et patient -surveillance drain en place ; en aspi, non obstruer Soins de bouche -Surveillance sonde : fixation, ballonnet, repère -transfusion, bilan sanguin, signe clinique : pleur FC/TA

mains (eau potable et savon) systématiquement : - Après contact avec les animaux, les déchets ou les déjections animales. - Avant les repas, les pauses, en fin de journée de travail. • Ne pas boire, manger, fumer… sur les lieux de travail. • Si plaie : laver, savonner, puis rincer, désinfecter et recouvrir d'un pansement imperméable. • Vêtements de travail, gants, bottes : nettoyer régulièrement. • En fin de journée de travail : changer de vêtements. 6. Réparation : La tuberculose est

antiseptiques locaux retardent la cicatrisation.les règles d'hygiène de base et les précautions standart doivent etre respectées lors des soins d'escarres.en l'absence de signes infectieux, les prélèvements bactériologiques ne sont pas justifiés.une plaie qui coule ou malodorante ne suffit pas a justifier un prélèvement microbiologique. les prélèvements par éouvillon a visée diagnostique ne présentent pas d'intérèts car ils ne recueillent que des germes de colonisation qui ne sont pas les germes responsables