Plaine

Les plaines abyssales 1° Mais qu'est ce que c'est ? http://fr.wikipedia.org/wiki/Plaine_abyssale http://vie-dans-les-abysses.e-monsite.com/pages/introduction/ Le terme Abysses vient du grec άβυσσος (ábyssos) signifiant "sans fonds". Les abysses sont des étendues d'eau de plus de 1000 mètres de profondeur, elles représentent la moitié de la superficie des océans soit 35% de la surface de la Terre. Les abysses vont généralement de 2500 à 6000m de profondeurs. Une grande partie de cette surface

La plaine La plaine est morne, avec ses clos, avec ses granges Et ses fermes dont les pignons sont vermoulus, La plaine est morne et lasse et ne se défend plus, La plaine est morne et morte - et la ville la mange. Formidables et criminels, Les bras des machines diaboliques, Fauchant les blés évangéliques, Ont effrayé le vieux semeur mélancolique Dont le geste semblait d'accord avec le ciel. L'orde fumée et ses haillons de suie Ont traversé le vent et l'ont sali : Un soleil

Verharen , est un celèbre ecrivain né en 1855 et mort en 1916, il est connu pour les nombreux poèmes qu'il a écrit , et celui que nous allons etudier qui s'intitules "les villes tentaculaires". Le texte que nous avons étudier s'intitule la plaine . Le texte "la plaine" fut ecrit par Emile Verharen et extrait du recueil "les villes tentaculaires". Dans ce texte l'auteur nous présente la disparition de la campagne qui est mangée par la ville et l'essort de l'industrialisation , l'exode de la population

les petites filles blanches, comme des frères et soeurs. Je fais ce rêve aujourd'hui. Je fais le rêvequ'un jour, chaque vallée soit glorifiée, que chaque colline et chaque montagne soit aplanie, que les endroits rudes soient transformées en plaines, que les endroits tortueux soient redressés, que la gloire du Seigneur soit révélée, que tous les vivants le voient tous ensemble.

le climat est le plus humide, le relief est montagneux ce qui posentbeaucoup de difficultés. Dans le reste de l’Etat le climat est sec voir semi-aride, ce qui nécessite donc dans cette région une forte irrigation. Il n’y aurait que 200 mètres de plaines et vallées où leclimat est humide, mais cela est insuffisant pour subvenir aux besoins nutritifs de la population.

LA PLAINE De Verhaeren Emile Verhaeren (Belgique, 1855 - Rouen, 1916) est un poète flamand de la fin du XIXème siècle. Le poème "La Plaine" est extrait du recueil Les villes tentaculaires, publié en 1895. Dans ce recueil, il fait un blâme des villes qui s’agrandissent et vident les campagnes. Il veut démontrer que le monde moderne peut devenir une matière poétique. On y trouve aussi de superbes formules d'espérance et de confiance dans l'avenir. Mais c’est également une étude de la vie dans

REJOINDRE LE 173 C Dir. Porte de Clichy Arrêt Gare de Saint Ouen Stade de France Avenue du Ch B in R RE du Co rn illo PLACE DES DROITS DE L’HOMME n R u rg RE fa Arrêt : avenue du Stade de France France Avenue du Stade de Gare La Plaine Stade de France NE PAS JETER SUR LA VOIE PUBLIQUE 6 min ... Les autres lignes RER : des Chemin 239 François 01 Taxis Dir. Porte d’Auberviliers Arrêt Front Populaire - Praudhon > REJOINDRE LE Avenue Borne Taxi Rue Frederico > 01 48 26

une haute montagne glaciaire », etc.), les différents ensembles identifiés et les référencer sur le carton de localisation. 3- Reprendre chacun des ensembles identifiés et en faire une description détaillée. a- Pour les surfaces planes (plaines, plateaux, dépressions), mentionner : l'altitude moyenne, l'inclinaison de la surface, l'organisation et la géométrie (en plan) du réseau hydrographique, l'importance de la dissection et les caractéristiques des vallées dans le cas des plateaux.

Texte : Le pin des Landes On ne voit, en passant par les Landes1 désertes, Vrai Sahara français, poudré de sable blanc, Surgir de l'herbe sèche et des flaques d'eaux vertes D'autre arbre que le pin avec sa plaie au flanc ; Car pour lui dérober ses larmes de résine2, L'homme, avare bourreau de la création, Qui ne vit qu'aux dépens de ceux qu'il assassine, Dans son tronc douloureux ouvre un large sillon ! Sans regretter son sang qui coule goutte à goutte, Le pin verse son baume et sa sève

François Villon « Je plains le temps de ma jeunesse... » François Villon Je plains le temps de ma jeunesse, Auquel j’ai plus qu’autre gallé Jusqu’à l’entrée de vieillesse, Qui son partement m’a celé. Il ne s’en est à pied allé, N’à cheval ; hélas ! comment donc ? Soudainement s’en est volé, Et ne m’a laissé quelque don. Allé s’en est, et je demeure Pauvre de sens et de savoir, Triste, failli, plus noir que meure, Qui n’ai ni cens, rente, n’avoir ; Des miens le moindre, je dis