Plaisir De Lire

MERIMEE, Prosper Mateo Falcone LA PREMIERE LECTURE Vous venez de lire Mateo Falcone, quels genres de plaisir y avez-vous trouvés ? Il est difficile de définir les plaisirs à la première lecture. On a découvert une histoire, des lieux, une époque, des personnages. -découverte des lieux où se déroule l’histoire : la Corse. -découverte d’une époque : l’accueil n’est pas le même pour le lecteur de 1830 et celui de 2011. -découverte des personnages : sympathie, antipathie, identification

Elena FisichellaSynthèseLecture : illusion ou plaisir La lecture est une activité ancienne qui a toujours passionné ceux qui aiment se détacher de la réalité pour découvrir des endroits nouveaux. L’ensemble de documents qui nous a été proposé montre l’impact diffèrent que la lecture a pour les auteurs, et nous permet d’identifier la lecture sous deux différents points de vue : la lecture comme illusion ou comme plaisir. Nous considérons d’abord les textes qui montrent la lecture comme une activité

Les paragraphes donnent au récit un caractère morcelé même si la narration qui suit la chronologie des faits mais surtout à travers ce récit un double plaisir, celui de raconter un plaisir savoureux et celui de faire état de ses talents de libertin. Il raconte ses prouesses et surtout il explique comment il a berné son hôte en le privant des plaisirs qu'il a achetés fort cher. Les marques du récit sont omniprésentes : Les indices chronologiques (adverbes et compléments de temps) sont nombreux

Pennac, dans lequel il explique pourquoi la jeunesse n’est-elle pas intime avec les livres. Pourquoi ces derniers sont pris comme un fardeau par l’élève et l’adulte qu’il va devenir. Enfant, nous adorions écouter nos parents lire une histoire, voire même, plus tard, la lire avec eux avant de nous endormir : cette envie du livre, une fois à l’école, disparaît : mais alors, pourquoi ? C’est ce que Daniel Pennac explique explicitement dans son œuvre au fil de ses soixante-sept chapitres. Selon l’auteur

Pennac, dans lequel il explique pourquoi la jeunesse n’est-elle pas intime avec les livres. Pourquoi ces derniers sont pris comme un fardeau par l’élève et l’adulte qu’il va devenir. Enfant, nous adorions écouter nos parents lire une histoire, voire même, plus tard, la lire avec eux avant de nous endormir : cette envie du livre, une fois à l’école, disparaît : mais alors, pourquoi ? C’est ce que Daniel Pennac explique explicitement dans son œuvre au fil de ses soixante-sept chapitres. Selon l’auteur

certains élèves prennent du plaisir à s'identifier a elle, alors que d'autres ne trouvent que peu d'intérêt à lire de grandes histoires soporifiques, jaunies par le temps et de plus, dans un jargon révolu depuis des siècles. Par ailleurs, le plaisir de la lecture n’est plus vraiment ce qu'il était, il est plus aisé pour nous de regarder la télévision ou encore de faire le tour du monde en allumant notre ordinateur. Actuellement, peut-on encore trouver de l'intérêt a lire une œuvre complètement dépassée

d’utilisation des fiches............................................................................................... 15 Présentation détaillée .........................................................................................................17 Lire des textes variés pour s’approprier diverses formes de lecture.............................. 17 Ecrire des textes variés pour s’approprier diverses formes d’écriture ........................... 22 Ecouter et parler pour s’approprier divers usages de

Freud apportera à son ouvrage des corrections nombreuses à l’édition première, en y intégrant des notes pour tenir compte des modifications nécessitées par L’introduction au narcissisme (1914), La métapsychologie (1915), L’au-delà du principe de plaisir (1920), La seconde topique (1923) et enfin Le problème économique du masochisme (1924). Il commence d’abord par prendre l’opinion la plus couramment répandue et reconnue de son temps sur les questions qu’il traite, pour les soumettre à l’épreuve

l’album a été mangée ce qui illustre parfaitement la passion dévorante de Léonie pour la lecture. Les deux versions évoquent déjà l’issue heureuse de l’histoire par la représentation en première de couverture de Léonie et de son prince, occupés à lire ensemble des contes de fées. Aucun résumé n’apparaît en quatrième de couverture, sans doute pour permettre aux enfants d’imaginer le récit grâce au titre et à l’illustration de la couverture. Dans la deuxième présentation, l’album est sans aucun

expression d’un libertinage. Ainsi, Valmont a passé la nuit avec une autre femme, Emilie, et c’est elle qui lui sert de pupitre. Dès lors, on peut lire la lettre d’une toute autre façon. En effet, nombreuses sont les allusions à cette nuit passée avec sa maîtresse. De cette façon, les expressions du désir sont presque omniprésentes et le Vicomte prend un certain plaisir à jouer avec la polysémie des mots qu’il emploie : « je n’espère pas jouir encore », « la table même sur laquelle je vous écris, consacrée