Plan Détaillé Scène De Bal

Registre : comique - satirique - dramatique - merveilleux - tragique - lyrique - Thèmes principaux suite à lecture rapide du texte : amour - séparation - guerre - solitude - Particularités du genre repéré : rencontre amoureuse, scène d'exposition, scène d'aveu, un descriptif, un poème. Fonction du texte : décorative / réaliste / explicative : poétique /symbolique / narrative / expressive Critères d’énonciation : Place de l’émetteur : auteur - narrateur - personnage principal ou

de Clèves 1678 Introduction - Ce que donne l’épopée dans le monde moderne. Monde du doute (comme dans Gargantua). Monde de la cour, monde de magnificences, alors qu’en réalité Mme de La Fayette va s’attacher à démolir cela, et mettre en scène les mensonges et les faiblesses de ce monde qu’elle semble célébrer. « Démolition du héros» Paul Benichou. (à propos de Molière et Racine) = Pessimisme fondamental, ambition moraliste qui s’inscrit dans cette démolition. Etre moraliste c’est décrire

résistance, lieu symbole. Plan individuel et plan poétique. Poème : 1 vers brutal, une scène poignante racontée par alternance récit-discours. Rappel de la question + axes : 1) Un tableau poignant. 2) La valeur argumentative du poème. II. Développement : 1) Un tableau poignant : a) Touche brutale dès le vers 1. Suscite notre indignation et de l'émotion. Une seule phrase : choc initial. Contraste enfant ≠ violence. Accentuation violence → 2 balles. b) Talent du peintre

précision dans la présentation du personnage, la perfection de la jeune fille est exacerbée, tendant ainsi vers l’idéalisation. On constate une imprécision du lexique visant à rendre compte de sa grâce : qualité physique dans sa globalité , vide de détail. Le peu d’indices donnés sur le physique de la jeune fille reste peu éclairant. La description se limite à « grâce » et « charme ». Grâce : charme, agrément, élégance. Charme : dans la langue galante, traduction de la fascination de l’amour, la

fi xe cette séquence inaugurale. LIRe L’ImAGe Page 16 Jean Béraud (1849-1935), Une soirée Le règne des apparences dans une soirée parisienne,  telle est l’accroche visuelle choisie pour l’étude de « La  Parure », outre le fait que ce tableau annonce la scène  centrale de la nouvelle : le bal lors duquel Mathilde  rêve de briller. Jean Béraud a peint de très nombreuses scènes de la vie  parisienne dans les rues, dans les cafés, à l’opéra ou au  théâtre. Il a représenté en particulier les divertissements  de la société mondaine

mouvement littéraire… :-Pièce de théâtre écrite et mise en scène par Joel Pommerat en 2011-Récriture complète et moderne du conte de « Cendrillon » Biographie rapide de l’auteur : Auteur et metteur en scène, Joel Pommerat fonde la compagnie « Louis Brouillard » en 90. Il a la particularité de ne mettre en scène que les pièces qu’il a lui-même écrite. D’après ses dires, il n’y a pas de hiérarchie : la mise en scène et le texte s’élaborent en même temps pendant les répétitions

(1879-1953) Traduit dans Udnie, jeune fille américaine ; danse, 1913, le souvenir d'une scène animée par une américaine durant une traversée de l'Atlantique. La composition éclatée repose sur l'idée de l' exaltation du rôle dynamique de la couleur étalée par plan, élément imaginaire, imbrication structurelle, souple et sentiment de musicalité. Picabia est un artiste complexe et cultivé, il s’intéresse à la musique, à la scène. Orphisme et futurisme s'entrechoquent. Diavghilev, chorégraphe tente de faire

siècle qui vise à reproduire objectivement la réalité. Dans ce dossier, nous allons étudier le naturalisme à l'aide de ces 5 œuvres : - L'aveugle-Guy de MAUPASSANT - Nana- Edouard MANET - Les Raboteurs de parquet- Gustave CAILLEBOTTE - Bal du moulin de la Galette, Montmartre- Pierre-Auguste RENOIR - La Toussaint- Emile Friant L'Aveugle, Guy de Maupassant. Guy de Maupassant est né à Fécamp ( Normandie ), en août 1850. Élevé

sens de la hauteur : dans la partie supérieure, on retrouve les cieux, les anges, les dieux, au centre les personnages qui se « purifient » en vue de leur « montée » aux Cieux, dans la partie inférieure le monde des Hommes. On y retrouve parfois une scène de l’Enfer. La technique de la tempera sur bois, employée par Dix pour ce triptyque, rappelle celle des anciens comme Jérôme Bosch (1453-1516) et son Jugement Dernier. C’est un procédé de peinture utilisant le jaune d’oeuf pour lier les pigments.

sens de la hauteur : dans la partie supérieure, on retrouve les cieux, les anges, les dieux, au centre les personnages qui se « purifient » en vue de leur « montée » aux Cieux, dans la partie inférieure le monde des Hommes. On y retrouve parfois une scène de l’Enfer. La technique de la tempera sur bois, employée par Dix pour ce triptyque, rappelle celle des anciens comme Jérôme Bosch (1453-1516) et son Jugement Dernier. C’est un procédé de peinture utilisant le jaune d’oeuf pour lier les pigments.