Plan Paulson

Le Plan Paulson Le Plan Paulson, ou TARP, est l'une des mesures mises en place par les États-Unis à partir de septembre 2008 pour faire face à la crise financière de 2008, elle-même enfantée par la crise des subprimes qui a débuté en 2007 et qui menaçait le système financier international. Il s'appuie sur l’Emergency Economic Stabilization Act of 2008, une loi initialement proposée par le Secrétaire au Trésor des États-Unis Henry Paulson et par le président de la Réserve fédérale des États-Unis

milliards d'euros et espèrent redonner confiance aux investisseurs. Les plans de sauvetage des banques par les états Pour renflouer les banques ayant investi dans ces "actifs à risques" les états mettent la main à la poche : aux États-Unis, le plan Paulson à permis d'éponger 700 milliards de dollars d'actifs à risque. En Europe, les plans nationaux se chiffrent à 1 700 milliards d'euros. Permettant d'éviter les faillites, ces plans de sauvetages sont fait sous forme de prets que les banques devront

par la Reserve Fédérale Américaine. Le lundi 29 septembre 2008 le plan Paulson, un plan de sauvetage de 700 milliards de dollars est rejeté par le congrès américain, ce qui provoque de très fortes chutes dans les places financières américaines et européennes (Wall Street ferme avec une baisse de 7 %, le Dow Jones perd 777.68 points, le Cac 40 perd 5 %). Mais le marché remonte ensuite, en anticipant l'adoption du Plan Paulson adopté avec plusieurs amendements démocrates. Le vrai krach commence

réduire les risques d'instabilité financière. C’est pourquoi, il s’avère utile d’identifier la meilleure stratégie visant à préserver la stabilité financière dans la sous-région. Les indicateurs de base de la solidité financière retenus au plan international sont élaborés à partir du cadre de suivi des institutions financières, dénommé CAMELS. En effet, les « Carmels rating mis en place en 1987 », désigne un système américain servant à classer environ 500 banques américaines selon leur

des capitaux publics Fonds européens de stabilité financière (FESF) c'est-à-dire achat d’actions par la BCE ou l’Etat.at. Et pour financer cette opération l’Etat peut utilliser le conrubuable en partie comme le cas de USA: plan Paulson («TARP ) de 700 milliards et Angleterre: plan de 850 milliards. Brièvement, on trouve que dans cette période les banques européens peuvent se trouver face à face avec une crise de solvabilité, donc elle ne va pas être recapitalisé ou bien devant une crise

leurs taux directeurs et la Fed a élargi sa prise en pension de titres à des actifs risqués ; le gouvernement des États-Unis a repris via une structure de défaisance une partie des « actifs toxiques » détenus par les banques (première phase du Plan Paulson) ; des États ont élargi leur garantie des dépôts des particuliers et ont partiellement nationalisé des institutions bancaires en faillite ou proches de l'être (en particulier au Royaume-Uni, où huit banques ont été concernées). Les pays les plus

crédit font confiance. III. Mesures prises par le gouvernement et conséquences : Plan Paulson de 2008 : Le trésor devait racheter 800milliards de créances toxiques, mettre la main sur certaines banques et contrôler le crédit. Les fonds spéculatifs sont eux exclus du programme. Plan social financé par le trésor donc par le contribuable  critique importante pour son coût, et pour la plupart des économistes le plan n’est pas efficace puisque la récession est déjà présente. Green technology : Emergence

pour Hypo Real Estate le plus gros plan de sauvetage de son histoire.   Outre la nationalisation totale ou partielle de certaines banques, les gouvernements et les banques centrales des grandes puissances économiques sont également intervenus directement sur les marchés financiers. Début septembre, les banques centrales américaine, européenne et japonaise ont injecté des milliards de dollars, ce qui avait alors permis une accalmie des marchés. Le plan Paulson, adopté par le Congrès américain le

financiers, ils n'apportent/ne prêtent plus d'argent aux banques, celles-ci se retrouvent en manque de liquidités pour assurer leur fonctionnement. L’état est donc obligé de mettre la main à la poche pour aider les institutions financières (le plan Paulson (us) :700 milliards de dollars) 3/

pour Hypo Real Estate le plus gros plan de sauvetage de son histoire. Outre la nationalisation totale ou partielle de certaines banques, les gouvernements et les banques centrales des grandes puissances économiques sont également intervenus directement sur les marchés financiers. Début septembre, les banques centrales américaine, européenne et japonaise ont injecté des milliards de dollars, ce qui avait alors permis une accalmie des marchés. Le plan Paulson, adopté par le Congrès américain le