Plante Biologique

2010/2011 Table des matièresTable des matières 1.Introduction3 2.Prophylaxie et Prévention4 2.1.Un milieu sain4 2.2.Utilisation de semences saines et certifiées4 2.3.Rotations des cultures5 2.4.Culture mixte et plantes utiles5 a)Les plantes compagnes5 b)Les plantes sacrifiées 6 2.5.Santé des cultures 6 a)Régulation des Apports minéraux et d'humus.6 b) Eau7 c)Stress7 2.6.Mesure ministériel7 3.Lutte Curative8 3.1.Pièges à phéromones8 3.2.Les nématodes 8 3.3.Les filets

PROJET NO PSIH10-1-435 Amélioration du rendement par le greffage des plants de poivron en serre plein sol en régie biologique. PERSONNE CONTACT Nancy Briand REQUÉRANT Club agroenvironnemental de l'Estrie DATE DE DÉBUT 2010-2011 APERÇU DU PROJET Synthèse de la problématique Au Québec, la superficie de serres consacrées à la culture du poivron est de seulement 4 000 m2 contre 1 625 803 m2 en Ontario (Statistique Canada, 2007; MAPAQ, 2007). La production est donc très marginale. Il y aurait

La Protection Biologique Intégrée • Introduction Problématique : Peut-on réduire les pesticides dans les champs grâce a des moyens non polluants ? Motivations : Nous voulons préserver notre planète, en essayant de minimiser les dégâts causés par les pesticides sans en imprégner les plantes. C’est pourquoi nous avons décidés de faire de la PBI (Protection Biologique Intégrée) notre TPE. 1. Présentation de la PBI Pour avoir le minimum de problèmes dans les cultures

elles-mêmes subdivisées en plusieurs types (H. Humbert, 1965) :     –  Les formations primaires, ayant existé depuis les temps anciens avant toute intervention humaine :             -  Les forêts primaires (16% de l’île), ayant une forte diversité biologique               de la faune et la flore caractérisées par un taux élevé d’endémicité :                       . forêts denses humides sempervirentes (versant oriental,                          Sambirano et extrémité nord de l’île) ;                      

Définition d'une plante invasive : Une espèce est dite invasive ou envahissante lorsqu'elle se reproduise naturellement dans un domaine géographique dont elle n’est pas originaire, elle devient un agent perturbateur et nuit à la diversité biologique. Ces « invasives » peuvent perturber les milieux naturels et être source de désagrément pour les activités humaines (qualité de l’eau, irrigation, agriculture, pêche…) ou la santé publique (allergies, toxicité, transmissions de maladies…). Plantes invasives :

Principe de fonctionnement d’une piscine naturelle L’idée de base est de reconstituer un milieu “naturel” dans lequel un équilibre biologique va s’installer. A coté de la zone de baignade une zone de végétation va permettre d’entretenir la vie du bassin. La zone de végétation doit être d’une surface équivalente à celle de la zone de natation. Ce rapport est celui généralement admis et il y peut-être moyen de réduire la zone de végétation mais avec le risque de ne pas obtenir l’équilibre tant recherché

par bouturage, marcottage et greffage, permet de multiplier rapidement les plantes obtenus par ces technique la multiplication végétative par vitro permet d’obtenir des nouvelles plante La technique de la culture in vitro : 1 - culture in vitro par micro bouturage Cette technique consiste à prélever sur une plante performante une micro bouture renfermant un bourgeon .ce bourgeon renferme

résistance aux nuisibles permet de fait d'augmenter les rendements. La résistance aux herbicides permet aux plantes d'être débarrassées des mauvaises herbes sans dommage. Les pertes de culture sont donc limitées et les traitements chimiques des cultures sont réduits. * En premier lieu, elle permet l'obtention de nouvelles variétés plus performantes beaucoup plus rapidement que par croisement biologique. * En second lieu, l'introduction de nouveaux gènes dans le patrimoine d'une espèce peut lui conférer

rares douées de particularités biologiques remarquables pouvant permettre des avancées spectaculaires dans la compréhension de nombreux phénomènes biologiques essentiels. [pic] Bœuf musqué en voie de disparition on normalement il ni en n’a pas en France. Pourquoi protège-t-on les abeilles ? Pour le miel !!!Mais non on les protége pour que la nature et surtout pour les fleurs Elle est le mode de fécondation privilégié utilisé par les plantes angiospermes (plantes à fleurs produisant des fruits)

siècle, la principale théorie sur l’alimentation des plantes reste celle d’ARISTOTE, philosophe grec du IVe siècle av. J.-C. : les plantes reçoivent du sol une nourriture totalement élaborée appelée humus, « puisque la vie ne peut provenir que de la vie ». En 1553, le Français Bernard PALISSY affirme que les plantes se nourrissent d’eau et d’humus, mais aussi de certains « sels de la terre ». En 1804, le Suisse Nicolas SAUSSURE démontre que la plante absorbe les sels minéraux dissous dans le sol et qu’un