Plasmide Ti

d’intérêt. Il existe plusieurs techniques pour insérer le gène dans l’ADN de la cellule. La première requiert l’utilisation de la bactérie Agrobacterium tumefaciens, qui est capable de s’insérer dans le génome des plantes. Le gène est intégré dans le plasmide de la bactérie, qui le véhicule jusqu’à l’ADN de la cellule à modifier. Cette méthode ne fonctionne  que chez certaines espèces . La seconde méthode de transgénèse est  le canon à gène. Il s’agit de la méthode la plus utilisée en industrie biotechnologique

transcription des gènes, analyse globale des interactions protéines-protéines.... I. Souches et marqueurs • • Les marqueurs génétiques sont utilisés pour suivre une mutation lors de croisement de souches ou pour sélectioner les cellules ayant inégré un plasmide. Ce sont pour la plupart des marqueurs d’auxotrophie: HIS3, URA3, TRP1, LEU2, LYS2, ADE2 Comme chez E. coli certains gènes de résistance aux antibiotiques peuvent être utilisés: kanamycin resistance, kanR Il existe plusieurs souches de laboratoire

chocs électriques. Ce mélange est composé de protoplastes et d'ADN; le champ électrique provoque l'ouverture des pores membranaires du protoplaste, facilitant ainsi le passage de l'ADN dans le noyau. Les protoplastes baignent dans une solution de plasmides. Ces derniers passent donc dans la cellule qui se trouve ainsi à son tour génétiquement modifiée. Cette manipulation est possible car le phénomène d’ouverture des pores est réversible; donc la cellule reprend sa forme initiale seulement si le choc

1 copie 1 allèle de chaque gène 1 origine de réplication par Chromosomes Plasmides (ADN db circulaire et autonome) Transmission verticale à la descendance Ex: E.coli contient ≈ 5000 kb, soit 1 400 μm dans une cellule de 2-6 μm! S’il y a une règle, il y a des exceptions… 2 chromosomes circulaires 1 chromosome linéaire … Dans certaines bactéries ont un petit génome fait d’un chromosome mais aussi d’un plasmide qui fait partie intégrante du génome. Transmission verticale de la totalité

Laboratoire de Microbiologie et Biologie Moléculaire Extraction et digestion de plasmide d’Escherichia coli Réaliser par: Fatima zahra

la deuxième étape.  La fabrication du plasmide : Après avoir repéré le gène, les scientifiques doivent préparer un plasmide*. Dans ce dernier, on incorpore le gène d’intérêt que nous avons au préalable récupéré, ainsi qu'un autre gène (souvent un gene de resistance a un herbicide H) et un marqueur, ces deux derniers ayant comme rôle de contrôler la réussite de la transformation génétique  L’incorporation du plasmide dans la bactérie : Le plasmide préparé, il faut maintenant l'insérer,

fourches. Cette enzyme est inhibée la norobiocine (antibiotique). d\ Les plasmides. *Définition : ce sont des molécules d’ADN double brin, circulaire, qui, extrachromosomique, ne constituent pas le génome bactérien. Ils ont une réplication autonome (un pouvoir infectieux), une petite taille et codent pour une information génétique non-indispensable. Ils peuvent infecter des bactéries ou être échangés entre elles. Ces plasmides ont été découverts en 1952 sur Shigella dysenteriae. Shigella résistante

fragment d’ADN bactérien situé à l’extérieur et sur certains éléments mobiles du chromosome, tels les plasmides. Cette forme de résistance est transférable d’une bactérie à l’autre et même à des bactéries d’espèces différentes. Le transfert d’un seul plasmide augmente aussi le risque d’une résistance à plusieurs médicaments. Par exemple, le Shigella, responsable de la diarrhée, peut transférer un plasmide avec résistance à quatre ou cinq antibiotiques différents. Mécanismes de résistance Brouillage

autonome dans une bactérie : PLASMIDES. d. Techniques d’insertion stable d’un gène étranger dans l’ADN d’un organisme : TRANSGENESE. Vrai ou faux ? a. Tous les organismes possèdent dans leurs cellules des enzymes de restriction : FAUX, elles existent chez les bactéries mais pas chez les animaux ni les végétaux. b. Les plasmides présents dans toutes les bactéries d’un clone ont la même molécule d’ADN : VRAI. c. On peut récupérer une séquence clonée dans un plasmide en découpant celui-ci avec l’enzyme

fabriquer un OGM. Nous allons nous intéresser à deux d’entres elles : la transfection biologique et l’éléctroporation. a) Technique directe : La transformation directe consiste en l'introduction dans l’ADN d'un gène véhiculé le plus souvent par un plasmide* classique, par le biais de techniques physico-chimiques. Il existe plusieurs techniques de transfert direct que nous allons citer : l’électroporation, la micro-injection et la biolistique. Nous allons en expliquer une seule. L’électroporation :