Platon Autorité Et Finalité

première forme de pensée symbolisant. Chaque fois que l’on parle, on a un rapport abstrait par rapport au monde. Rapport entre langage et vérité : Si dans le langage il y a de la pensée, alors le langage peut être vrai ou faux. Dialogue de PLATON - «Cratyle» - qui porte sur le langage et sur le rapport entre le langage et la vérité. Dans le Cratyle, il y a 3 personnages : - Le premier c’est Cratyle - Le deuxième Heirmogene - Le troisième Socrate Le problème qui se pose, est le problème

voisines. Une comparaison entre règle de droit, règle religieuse et règle morale peut être située à trois niveaux : celui de leur origine, de leur finalité et de leur sanction respective. A - distinction quant à l’origine La règle de droit émane d’une autorité ayant qualité pour l’édicter. La logique classique du droit désigne parmi ces autorités les représentants de l’Etat que sont ceux du pouvoir exécutif (Présidents de la République, ministres…), ceux du pouvoir législatif (députés) et,

s’imposant à toutes les sociétés et que tous les législateur devraient respecter. L’origine du dt nat varie selon les théories au départ les théories pensaient qu’il avait une origine divine puis l’origine a été la justice et enfin la raison humaine.  Platon estime que le juste est l’âme du droit (=> concept jus-naturaliste).  Aristote lui pense que le droit naturel est un principe supérieur inscrit dans la nature des choses.  St Thomas d’Aquin pour ca part a inscrit le droit naturel dans la conscience

ce mot découle du mot ‘’peser’’. Il signifie peser le pour et le contre. C’est pourquoi on ne peut dire pensé rationnelle. Quant on le dit on commet un pléonasme puisque les 2 concepts ont la même conception. Mais ce pléonasme est un héritage que PLATON a laissé à la réflexion. Disons que la pensée caractérise tous les phénomènes de l’esprit et a une dimension conitive. Ce mot se rapporte à tous les écrits regroupés dans un ou de plusieurs ouvrages. Il s’agit d’une connaissance spécifique qui permet

de concilier notre liberté avec l’obéissance aux lois. Est-il possible de donner naissance au pouvoir d’un Etat auquel il faudra obéir sans en même perdre sa liberté ? Il faudra pour cela inventer un système politique qui réussisse à concilier autorité et liberté collective : « Il s’agit de trouver, écrit Rousseau, une forme d’association par laquelle chacun s’unissant à tous n’obéisse pourtant qu’à lui-même est reste aussi libre qu’auparavant ». Autrement dit comment concilier égalité et liberté 

c’est la matrice du futur empire romain . Section II : Les Ecoles de pensée grecques §1 Platon ou la sophocratie (le gouvernement des sages) Personnage particulier né en 427 av JC mort en 348 av JC au moment où la démocratie athénienne va mal car elle est battue par Sparte qui y a imposé un régime aristocratique ; Platon appartient à une famille d’aristocrates et c’est l’élève de Socrate Platon quitte Athènes, il va a Syracuse et revient à Athènes ou il fonde l’académie . En 348 il meurt

l’univers mental des principaux représentants de l’humanisme. Ce n’est pas qu’ils fussent insensibles à cet aspect des choses, mais l’humaniste « idéal » – Érasme par exemple – pensait que la connaissance de l’Histoire naturelle de Pline, du Timée de Platon, de la Géographie de Ptolémée, de la Physique d’Aristote, des Questions naturelles de Sénèque, ou des Métamorphoses d’Apulée, était largement suffisante pour la formation intellectuelle de l’élite qu’il destinait à la direction des affaires

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nature, de son essence. Cependant, lorsque l'on associe le droit à la nature, on y retrouve alors plusieurs sens. C'est-à-dire le droit naturel, du latin jus naturale, qui est l'ensemble des normes prenant en considération la nature de l'homme et sa finalité dans le monde. On présume que ces droits seraient issus de la nature humaine et donc inhérrents à chacun. Le droit est-il naturel ou bien est-il issu de la nature ? Par ailleurs, cette étude nous pose un problème : nous nous demandons sous quelles

juste et injuste. Il exige un critère moral et politique (Platon) • L'anneau de Gygès La justice n'est pas un état naturel ; elle est un résultat de la loi ; elle n'est pas le produit d'un calcul d'intérêts., Après un tremblement de terre, Gygès viole une tombe, vole un anneau, par curiosité accomplit des actions injustes, s'empare du pouvoir. Tout repose sur une injustice primordiale (un homme juste serait resté berger). Platon • Justice terrestre et loi éternelle