Platon Cité Idéale

Platon (v. 428-347 av. J.-C.), philosophe grec, à l’origine de la pensée philosophique occidentale. Le Vrai, le Beau et le Bien constituent l’essentiel de la réflexion platonicienne, articulée par la méthode dialectique, processus permettant d’accéder à la connaissance, au monde des Idées. 2 VIE DE PLATON Platon Buste présumé de Platon.Art Resource, NY/SEF Né d’une famille aristocratique athénienne, Platon reçoit une éducation artistique et littéraire, et manifeste un intérêt pour

La politique ne renvoie-t-elle qu'à elle-même ? Introduction : Politique vient du grec "polis" qui signifie cité. La politique est une notion protéiforme. Elle désigne à la fois : 1. Un art, une technique. 2. Un domaine, un ordre. 3. Un adjectif, un qualificatif. Les hommes politiques font de la politique sur ce qui est politique. Est-ce là une manière de signifier que la politique est un domaine clos, qui se ferme sur lui-même, qui s'auto-fonde et s'auto-justifie ? Faut-il considérer, à l'inverse

e Platon Principes Généraux * Elle représente un état, une structure indépendante. Les habitants peuvent y adhérer par réflexion pas par position. Elle repose sur 2 principes : La justice et l’Education. (L’équité et la justice ainsi que l’éducation sont des éléments fondamentaux que demandent les citoyens peu importe le siècle ou la décennie) * C’est une cité parfaite où s’exprime l’idée du bien. (En système d’évaluation, Platon a évalué cette cité sur lui-même… La cité parfaite doit être

purement social donne lieu au capitalisme. Jusqu’à aujourd’hui où la situation de notre monde actuel n’est toujours pas clair par rapport à cette question posé il y a quelque siècle sur la meilleur possible. Après tout, est-ce que société purement idéale, purement sociale, ne ferait-elle pas du tort au besoin économique de ces citoyens? Pour mieux introduire mon explication entre le juste et l’injuste, je ferai part de la citation à la page 105 du livre d’Alcibiade Majeur : «Souvent je t’entendais

dans les actions humaines et le cours des évènements. La vérité du mythe La philosophie ne refuse pas pour autant tout recours au mythe, à condition qu’il ne nous détourne pas de la vérité, mais nous aide, au contraire, à l’apercevoir. Ainsi, Platon (427-347 av. J.-C.) a souvent recours au mythe dans ses dialogues : dans le Phèdre, il évoque le mythe de Thot (ou Theuth), divinité égyptienne à qui on attribue l’invention de l’écriture, et, dans le Banquet, le mythe d’Eros, pour faire comprendre

philosophiques. La première est celle de Platon, puis celle d’Aristote (le Lycée), d’Epicure (le Jardin) puis Stoïcienne (le portique). Introduction Politique, rhétorique et éthique sont trois mots crées par les grecs à l’époque Classique et Hellénistique. Le mot politique repose sur la base du mot grec polis qui signifie la « cité » dans le sens de l’Etat ou cité-Etat. A été formé politès (citoyen, membre de la cité). Ne sont membre de la cité que les hommes, les femmes sont femmes de

l’homme : atteindre la vertu = la force physique, l’intelligence, valeur guerrière). L’homme grec est un homme qu’on peut qualifier d’égoïste dans la mesure où il faut développer au maximum ses propres capacités : il veut être l’homme le + écouté de la cité = héroïsme moral (cf Vernant) Il veut être vertueux non pas pour lui-même mais pour sa patrie, il veut être vertueux aux yeux de sa communauté ; il n’existe que par le regard qu’on porte sur lui. Il veut laisser une trace dans la mémoire de sa communauté :

Platon est généralement considéré comme l'un des premiers philosophes occidentaux, sinon l'inventeur de la philosophie. Une partie de ses dialogues aboutit à des apories philosophiques : apportant une solution aux problèmes posés, ils ne constituent pas une réponse unique et définitive. La République est son dialogue le plus connu. Dans ce dialogue Platon critique la démocratie dans sa dégénérescence en démagogie et en tyrannie. La République est considérée comme faisant partie du genre littéraire

Platon versus Aristote Eléments d’une esthétique théâtrale grecque Etude comparative Sources : · Platon, La République , traduction de Georges Leroux, GF Flammarion, 2002 · Aristote, La Poétique , traduction de Roselyne Dupont-Roc et Jean Lallot , Seuil, 1980 (C’est la traduction qui fait autorité aujourd’hui

GYGÈS  La République, II, 359b­360a  “L’anneau de Gygès donné au juste ferait de lui un criminel.    L’anneau de Gygès​  est une fable écrite par Platon au IV siècle av. J.C. Ce dernier ne  rédige pas cette anecdote en son nom propre, mais la fait raconter par ​ Glaucon​  qui est  un sophiste, le fils d’Aristote et le jeune frère de Platon et d’Adimantes. Il est un des  disciples de Socrate et est présent dans ​ Le Parménide ​ et apparait  également dans ​ La  République​  comme le principale interlocuteur de Socrate