Platon Et L Art

(a) Le kitsch (Kundera) 14 (b) Le beau est toujours bizarre (Baudelaire) 15 (c) Dionysiaque et apollinien (Nietzsche) 15 (d) Beauté et utilité (Gautier) 16 (e) Beauté et mysticisme (Platon, Baudelaire, Mallarmé…) 17 B. Le vrai 18 1. L’art nous éloigne de la vérité car les apparences sont trompeuses (Platon, Nietzsche) 18 2. L’imitation de la nature est un moyen d’accès à la vérité (Aristote) 19 3. Mentir pour faire vrai (impressionnistes, Maupassant) 20 4. L’expressionnisme (Van Gogh) 21

comme Dieu ferait surgir les choses par sa parole à partir de rien[.] Pour élucider la conception de l’acte de production artistique chez les Grecs, il faut partir de deux concepts, TECHNé et POïESIS. Ces deux termes pourraient être traduit par art. Cela prouve bien que l’on a pas du tout les équivalents conceptuels en français. Il y a souvent une polysémie en grec, qui ne correspond pas du tout au découpage des concepts dans la langue latine. Cette élucidation de l’acte de production artistique

Platon (en grec Πλάτων), est né à Athènes, vers –427 et est décédé vers -346. Il fut un philosophe grec, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes, qu'il critiqua. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate et Pythagore, afin d'élaborer sa propre pensée qui explore la plupart des champs importants, notamment la métaphysique, l'éthique, l'esthétique et la politique. les mythes inventés par Platon dans le but de faire comprendre certaines

MERLEAU PONTY ; Eloge de la philosophie. → PLATON ; Apologie de Socrate. Socrate : décédé par ciguë maître de Platon « accoucheur d'idées » → maïeutique. Maïeuticien → masculin de sage-femme. I/.. Essais de définition. → Ce que la philosophie n'est pas. Elle n'est pas une matière de connaissance comme les autres.'Il n'y a pas de philosophie que l'on puisse apprendre, on ne peut apprendre qu'à philosopher' Kant. Elle n'est pas un art de vivre. Elle n'est pas une forme

représente une réalité mais elle en donne une image trompeuse. Puis nous verrons que l’art ne représente rien, il manifeste une pensée du sens de l’être et enfin, nous verrons que le rapport entre l’art et la réalité va modifier ou va réveler la vérité. Platon dit dans L’allégorie de la caverne que on trouve des prisonniers enfermés dans une caverne, avec le fond de la caverne qui est le monde des prisonniers, ce fond est alimenté par la lumière qui elle même est alimentée par un feu, des personnes jouent

reproduit la nature : L’art est plutôt dévalorisé chez Platon en tout cas en partie . Platon compare l’art  au sens éthymologique la  technique et les beaux arts . On a donc cette représentation de l’art chez Platon ou il distingue 3 aspects ou il parle de l’art par l ‘artisan en donnant l’exemple du lit : Que fait l’artisan en construisant un lit ?  Il se réfère l’idée de lit , ce qu’est un lit et il va réaliser un lit en particulier . Quand Platon veut faire un lit il se réfère au monde sensible ,

L’acte de questionner ouvre-t-il la voie à un art de penser ? [Introduction] Hume : philosophe anglais, dont l’empirisme débouche sur un scepticisme. S’interroger par exemple sur la validité de l’idée de causalité : lien nécessaire entre cause et effet. Cette nécessité est mise profondément en question par Hume, ce qui « réveille Kant de on sommeil dogmatique ». Rien, pour Hume, dans la succession des constats opérés ne permet de conclure à un lien nécessaire. Ce n’est que par habitude qu’on

c’est de prendre deux élements vrais et de les confondre, de considérer la définition de l’un comme celle de l’autres par exemple. Il n’est donc pas encore strictement déduit du vrai, il est simplement une erreur du vrai. C’est une idée que prend Platon dans Théétète, où justement il tente de définir le faux, et pour cela il prend l’exemple d’un bloc de cire, qui représenterait notre cerveau, notre entendement, il est donc logiquement différent pour chacun, avec des tailles ou des textures différentes

Méditations philosophiques[3] (1735), Baumgarten définit l'esthétique comme « la science du mode de connaissance et d'exposition sensible », puis dans Æsthetica (1750) : « L'esthétique (ou théorie des arts libéraux, gnoséologie inférieure, art de la beauté du penser, art de l'analogon de la raison) est la science de la connaissance sensible »[4]. En effet, Baumgarten considère l'idée du beau comme une perception confuse ou un sentiment et de ce fait comme une forme inférieure de connaissance, d'où l'usage

rhétorique vise donc à persuader une assemblée d’auditeurs sur les sujets les plus divers. Elle a progressivement laissé place à un art de bien dire plutôt qu’un art de persuader, se restreignant ainsi à un inventaire de figures relevant des ornements du discours. Depuis les Grecs, où l’art rhétorique était avant tout un moyen d’enseignement ainsi qu’un outil politique, cet art oratoire a tour à tour concerné la littérature, le théâtre, la philosophie, la justice… Quant au patriotisme, nous pouvons