Platon Euthyphron

question de l‘homme, renouvelée, voire même redécouverte à la Renaissance par les humanistes, à conduit des penseurs, des humanistes de toutes les époques à réfléchir sur l’essence de l’homme, à proposer une définition ontologique de l’homme. Ainsi, Platon définissait l’homme comme un bipède sans plumes, une conception réfutée par Diogène qui lui balança dans les pattes un poulet sans plumes. Aristote, lui, définissait l’homme comme « animal rationnel », capable de penser : les études récentes sur les

langage semble alors une entrave à la pensée puisque l'individu ne peut pas toujours contrôler ses expressions verbales. D'autre part, le langage peut conditionner la pensée. Il devient alors un moyen de manipuler l'autre. Au temps des Grecs, Platon interpellait déjà sur cette problématique par l’exemple des sophistes, qui de par l’excellente maîtrise du langage, arrivaient à manipuler les esprits. Plus récemment, l’histoire nous démontre une telle manipulation par l’utilisation de langage formaté

théorie husserlienne admet un statut complètement différent aux essences et à leur existence réelle. Leur transcendance est constituée proprement dans l’immanence du sujet. Afin de mieux comprendre la réelle nouveauté de Husserl par rapport à Platon, une section sera consacrée à l’explication de la théorie des formes platonicienne. Ensuite, on lui adjoindra une explication du principe fondamental de la phénoménologie : l’intentionnalité. Ce qui va contribuer à mettre en évidence la relation complexe

CONDORCET, Réflexion sur l’esclavage des nègres Pour le siècle des Lumières, la raison est le fondement sur lequel toute réflexion doit s’organiser. Le genre de l’essai, caractérisé par un « je » qui s’adresse à ses contemporains dans un discours argumenté trouve donc naturellement sa place dans la mise en question de l’esclavage des nègres. Dans Réflexion sur l’esclavage des nègres, Condorcet livres sa propre vision sur le problème notamment dans le deuxième chapitre intitulé « raisons dont on

peintres de suivre la nature comme norme et modèle,dans son œuvre – Le traité de la peinture -, où il fait l'éloge de l'imitation : « La peinture la plus digne d'éloges est celle qui a le plus de ressemblance avec ce qu'elle imite. ». Alors que pour Platon l'art n'est placé qu'au troisième rang dans l'ordre des réalités, car pour lui l’œuvre d'art n'est que la copie d'une copie. C'est à dire que l'art copie le monde sensible qui lui est également une copie de l'Idée. L'art n'est donc qu'une illusion

d’autre que "la partie qui pense en nous" – de nature intégralement corporelle ou matérielle. Idéalisme et matérialisme | Parce que la matière perçue est mouvante et périssable, un fort courant idéaliste privilégie dans la philosophie, depuis Platon, la connaissance de ce qui lui est étranger : l’univers abstrait des idées. Il se trouve historiquement renforcé par le spiritualisme d’origine chrétienne, pour lequel tout ce qui, comme le corps, participe de la matière, est par définition inférieur

Langage, il l'est à part entière : décoratif, narratif, politique, expression d’un sentiment, que cela soit volontaire ou non, il a depuis toujours été le reflet des mœurs et des sentiments d’une époque ou d’une civilisation. Le changement social s’est traduit essentiellement par l’évolution technique et idéologique du système de représentation. Devenu, avec le temps, une science au niveau théorique aussi bien que pratique, l’image s’est dirigée dans de multiples directions, celles que l’artiste

Pourquoi le juste (Socrate, son maître) est-il condamné à mort ? Pourquoi la cité est-elle sens dessus dessous ? Ce sont là des questions auxquelles Platon, grand philosophe grecque de l’Antiquité, a tenté de répondre durant toute son existence. Pour lui, tous les malheurs de l’individu et le manque d’éthique dans la cité viennent d’une mauvaise organisation politique et par conséquent de mauvais régimes. Aujourd’hui comme hier, nous sommes dans un monde où les vices ont pris des proportions

Dans le texte qui nous est proposé : Gorgias, Platon traite le thème explicite est celui de la rhétorique et l'implicite est celui de la démocratie. Les gens, en général, se font-ils plus persuader que convaincre? La question se pose parce que certains ont remarqué que beaucoup de personnes ( mais pas toutes ) se basaient plutôt sur leurs sentiments que sur leur raison pour répondre à certains questions ou problèmes qu'ils rencontrent. Cette question est très importante car quelqu'un qui sait bien

et privée sont interdites. Page 2 Fichier généré pour Visiteur (), le 14/12/2012 Culture Générale Culture Générale Les théories du contrat social Sujets de dissertation (comme le supposerait l’aristocratie philosophique imaginée par Platon) ? N’est-il pas plus rationnel de considérer que tout homme doit avoir le droit de manifester ses exigences propres, fussent-elles les simples expressions de son désir ? C’est ainsi que les théories du contrat substituent à une rationalité transcendante