Platon Hippias Majeur

I. Intro : II. Texte 1 : Hippias majeur, Platon 1. Qui parle ? a. Hippias Le sophiste, de sophos = savant b. Socrate Le philosophe, ami de la sagesse Socrate = rapporté par Platon 2. Le problème de l’ignorance a Socrate conscient de sa propre ignorance Pythie : « Socrate est le plus sage des hommes » Socrate n’y croit pas, parle avec des ‘savants’ et se rend compte qu’ils sont ignorants de leur propre ignorance (illusion). Illusion est la pire chose pour un philosophe car elle bloque toute

jugement des personnes peut être trompée et être influencé. Si la beauté est une illusion elle peut donc être utilisé comme outil de manipulation. c) Platon traduit le beau comme n’étant qu’ornement. Une chose peut donc en embellir une autre, faisant disparaitre sa valeur initiale. - Hippias Majeur , Platon La beauté finalement n’est qu’une illusion. Les pensées d’une personne au regard d’une chose peuvent être influencé, modifiant leur perception du beau

vous devez justifier votre pensée (argumenter).  NB : Bien sûr, plusieurs questions peuvent être posées.   III- L'UTILISATION DES EXEMPLES Défaut majeur de la plupart des copies : à partir d'une question, juxtaposer un grand nombre d'exemples, sans dégager l'idée, l'essentiel ; rien n'est plus anti-philosophique que cela !   1) Un défaut majeur des copies : l'accumulation d'exemples, le raisonnement à partir d'exemples  A ne pas faire :    A la question : " Qu'est-ce que l'expérience ? "

Premiers ouvrages de philosophie (pour les plus motivés) : Apologie de Socrate Platon G.F. Lettre à Ménécée Epicure Classiques Hatier Manuel Epictète Classiques Hatier On encore, initiation (au choix) : La philo en dix leçons Laurence Hansen-Love (en vente sur Internet http://lewebpedagogique.com/bac/la-philo-en-10-lecons/ ) La philosophie expliquée à ma fille Roger-Pol Droit Seuil Qu’est-ce que comprendre un philosophe ? F. Alquié Editions La table ronde

types de rapport, on peut attester l’existence d’au moins deux types de discours. Ceux qui cherchent à convaincre et ceux qui cherchent à persuader. Cette distinction classique a été tracée explicitement par Platon et on la voit à l’œuvre dans ses dialogues, par exemple le Hippias majeur[6]. Si Platon a attaché de l’importance à ces questions de discours, c’est que la démocratie grecque était un régime propice à la parole, le pouvoir démocratique dépendant en grande partie de l’usage du langage plutôt

choses sensibles (aïsthésis) aux choses intelligibles (noéta). PLATON est l’auteur de cette distinction, selon lui les choses intelligibles sont supérieures aux choses sensibles. On considère depuis PLATON que connaître c’est : s’élever d’une connaissance sensible (imparfaite) à une connaissance intellectuelle. Pour BAUMGARTEN l’esthétique est la connaissance sensible mais elle ne s’oppose pas à l’intellectuelle alors que PLATON c’est se détourner du sensible vers l’intellectuel. BAUMGARTEN

fois sollicités ? C’est ainsi par exemple que, dans un dialogue de Platon consacré à la recherche de la définition de la beauté, l’Hippias majeur, après avoir vu plusieurs de ses tentatives de définition du beau réfutées par Socrate, Hippias finit par proposer la définition suivante de la beauté : « Le beau… c’est l’agrément qui nous vient de l’ouïe et de la vue ». Mais l’apparente simplicité de la définition proposée par Hippias cache en réalité bien des difficultés, dont au moins ces deux principales

Ménon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher Le Ménon est un dialogue de Platon, dans lequel Ménon et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, sa nature, afin de savoir si la vertu s'enseigne ou, sinon, de quelle façon elle est obtenue. Dans un premier temps, la question examinée est donc celle de l'essence de la vertu. Néanmoins, après plusieurs vaines tentatives de réponse, Socrate et Ménon examinent la question plus générale encore : la

couleurs, discutons-en ! Séance 2 : LA BEAUTÉ EST-ELLE UNIVERSELLE ?… Texte 1 : Platon (Ve-Ive siècle avant notre ère), Hippias Majeur. Socrate : Récemment, en effet, dans une discussion où je blâmais la laideur et vantais la beauté de certaines choses, je me suis trouvé embarrassé par mon interlocuteur. Il me demandait, non sans ironie : « comment fais-tu, Socrate, pour savoir ce qui est beau et ce qui est laid ? » *…+ Hippias : Ce qui est beau, Socrate, sache-le bien, à parler en toute vérité, c’est

Platon Pour les articles homonymes, voir Platon (homonymie) et Plato. Platon (Πλάτων) Grèce Antiquité Copie d'un buste de la fin du IVe siècle av. J.-C. Naissance vers 428/427 av. J.-C. (Athènes) Décès vers 348 av. J.-C. (Athènes) École/tradition Fondateur de l'Académie Principaux intérêts Métaphysique, cosmologie, éthique, politique, esthétique, rhétorique, sophistique, langage, dialectique, Idées remarquables Dialectique, Maïeutique, Allégorie de la caverne, Théorie des Formes, Participation