Pléonasme

que vous étudierez sont présentées ci-dessous, par ordre alphabétique Il existe des figures de répétition : ♥ L'anaphore : c'est la répétition d'un mot ou d'un groupe de mot en début de phrase ex: Je ne suis pas mécontent de ton travail ♥ Le pléonasme : Il s'agit de l'emploi d'un terme superflu (exemple : monter en haut) ♥ La gradation : des mots sont assemblés successivement de manière croissante ou décroissante Ex : Va, cours, vole, et nous venge. » (Le Cid de Corneille). « C'est un roc

certain nombre de termes. Exemple : Dans ma trousse, stylos, gommes, règles, crayons et compas s'amassent. IV. Exagération L'hyperbole Exagération dans le choix des termes. Exemple : Cet été un soleil de feu m'empêchait de réviser. Le pléonasme Répétition excessive de termes dont le sens est similaire. Exemple : Nous allons finir cet exposé en concluant que...

substitution sont utilisées pour induire une image valorisant ou dévalorisante et permettent le transfert de l’assentiment ou du refus sur un autre plan. -Les figures d’amplification et d’insistance (hyperbole, anaphore, énumération, répétition, pléonasme) confèrent d’avantage de force à un argument à une thèse. -Les figures d’opposition permettent de souligner des contradictions (antithèse, chiasme) de déprécier par l’ironie (antiphrase) ou de provoquer un effet de surprise (paradoxe, oxymore).

figures de style Il existe des figures d'insistance : L'anaphore : c'est la répétition d'un mot ou d'un groupe de mot en début de phrase. Par exemple : " Adieu la peine et le plaisir. Adieu les roses / Adieu la vie adieu la lumière et la vent " Le pléonasme : Il s'agit de l'emploi d'un terme superflu (exemple : monter en haut) La gradation : des mots sont assemblés successivement de manière croissante ou décroissante. Par exemple : " Je me meurs, je suis mort, je suis enterré " Le parallélisme :

tenait qu’à un fil. Ensuite, il exprimait un malaise profond «  Moi qui frémissais toujours je ne sais De quelle colère » (vers 2, 3 – strophe 2), on peut aussi remarquer dans un même temps une allitération en « r » qui imite le frisson. On a un pléonasme qui allonge la durée de ce malaise car il exprime dans son poème le temps avec « leurs couleurs perdues aux jours et aux semaines » (vers 2 et 3 – Strophe 2). Donc on peu penser qu’il était dans le noir, il n’y avait plus de couleurs d’après le texte

- Décor funèbre - Correspondance entre le paysage et l’état d’âme de Jeanne (l.5) : « elle courait, blanche comme la terre » → caractère glacé du paysage (terne, froid, sans vie) - Insistance à travers le pléonasme : « immobilité figée » - Le paysage est hostile, indifférent à la tragédie du personnage → accentue sa solitude - Il n’y a aucun réconfort dans cette nature - Opposition entre la noirceur du ciel et la blancheur du paysage - Absence de lune

adorateur, mais ne pouvant l’être sans douleur de la femme aimée, il devient alors l’adorateur de l’inconstance. 2) Il emprunte le langage de l’adoration religieuse  La tournure « O » est réservée pour invoquer un destinataire sacrée. « Divine » : pléonasme. La divinité est personnifiée.  Usage des impératifs : fréquents dans les prières « Aie pitié », « guéris » : demande, « change » : Désir de conversion, change : fin vers 8. V.6-8 : Strucuture en parallèle : « J’ai tourné le médire en langage

terme par une expression qui le défini - La capitale de la France - Le roi des animaux   PERSONNIFICATION n.f. Attribuer des qualités humaines à un objet inanimé - Cette rose aimable comme toi - Un soleil voit naître et mourir la rose   PLEONASME n.m. Répétition de termes superflue - Un géant vraiment grand - Descendre en bas

(paronymes). La mère se jeta dans la mer. Périphrase Remplacer un terme par une expression qui le Le roi des animaux. (le lion)définit. Personnification Attribuer des qualités humaines à un objet inanimé. Mon écharpe a essayé de m’étrangler. Pléonasme Répétition inutile, donc fautive Descendre en bas. Prétérition Feindre de ne pas dire ce que l’on dit. Je ne dis pas que ce travail est nul, mais il n’est pas brillant. Redondance Répétition utile donc acceptée. Enée descendit au plus bas des

implicitement le poète car il se « délivre » et est doté de sentiments humains. En effet, il « se souvient » et « s’ennui ». Ce cygne fait référence à l’exil du poète grâce au fait qu’il puisse voler et s’évader. Le « stérile hiver » qui est un pléonasme évoque une partie de la vie du poète où il n’a pas écrit avec « pour n’avoir pas chanté » qui renvoi à son absence d’écriture. La « blanche agonie » renvoi à l’angoisse de la page blanche qui nous confirme dans cette idée. Dans les Quatre vents de