Pluie de météores

parfois sanglant des rois. Peuples, jadis Noé sortit rêveur de l’arche ; Je sors aussi. Je pars. Et je me mets en marche Sur la terre, au hasard, sous le haut firmament, Dans l’aube ou dans l’orage, ayant pour vêtement, Si cela plaît au ciel, la pluie et la tempête, Sans savoir où le soir je poserai ma tête, N’ayant rien que l’instant, et les instants sont courts ; Je sais que l’homme souffre, et j’arrive au secours De tout esprit qui flotte et de tout cœur qui sombre ; Je vais dans les déserts

Prends-moi sur ton dos. Pousse-moi sur les balançoires. Quand je suis triste, reste au téléphone avec moi même si je ne dis rien. Regarde moi dans les yeux, pas plus bas et souris. Danse un slow avec moi même s'il n'y a pas de musique. Embrasse-moi sous la pluie. Dis-moi que tu m'aime. Que toi et moi ça va durer. Ne me fais pas pleurer. Aime-moi à en crever. Ne me déçois pas. Reste la auprès de moi. Si je tombe rattrape-moi. Aie confiance en moi. Aime-moi. Prends-moi. Choisis moi & ne me lâche pas." "

sous l’éclair fulgurant et l’un à l’autre liés, nous sommes descendus au fond des eaux sans desserrer l’étreinte. Aujourd’hui nos corps ont grandi, grandi, ils sont arrivés jusqu’au bout du monde et ils ont roulé, fusionné : goutte unique de cire ou météore. 15. Entre nous – toi et moi – une porte nouvelle 16. s’est ouverte où quelqu’un, encore sans visage, 17. nous attendait. Extraits de textes tirés du recueil de poésie Vingt poèmes d’amour et une chanson désespérée, suivi de Les Vers du capitaine

sur la destinée Les paires dans la création Particules subatomiques Les trous noirs Pulsars : étoiles pulsantes L’étoile Sirius La lumière et l’obscurité Combustion sans feu Le poids des nuages De la pluie en quantité déterminée La formation de la pluie Les pluies qui ramènent à la vie des terres mortes La formation de la grêle, du tonnerre et des éclairs Les vents fécondants Les étapes dans la formation du vent Comment le procédé de photosynthèse commence dès

|19 | Annexe 1 DES EAUX TRÈS EN FORME MAİS PLACÉES DANS DES LINÉAIRES TRÈS TROUBLES Le marché des eaux pétille de forme et l’offre croît à la vitesse d’un météore. Les dépenses publicitaires aussi, tandis que les designers rivalisent d’imagination. Dommage, cependant, que les linéaires ne soient pas à la hauteur. A la recherche d’une eau sympathique Reste que toutes les eaux ne sont pas logées à la

jusqu'ici impénétrables ou mal compris.      Malheureux rimbaldiens, pourtant, qui croisent toujours sur leur route quelque insolent poète pour leur déclarer, comme jadis René Char à Étiemble : "Ce labeur de ramassage n'ajoute pas deux gouttes de pluie à l'ondée, deux pelures d'orange de plus au rayon de soleil qui gouverne nos lectures."[2]     Je trouve, quant à moi, un certain mérite à ceux qui persévèrent dans l'effort d'interprétation sans se laisser intimider par ces gardiens du Temple, aux

depuis le commencement jusqu’à la fin. 3. Ils voient que chacune des créations de Dieu suit invariablement la voie qui lui est tracée. Ils voient l’été et l’hiver ; ils voient que toute la terre est remplie d’eau, et que les nuages, les vapeurs et la pluie en rafraîchissent la température. CHAPITRE 4 1. Ils considèrent et admirent comme chaque arbre se couronne de feuilles ; comment il les perd ensuite, à l’exception de quatorze arbres privilégiés qui reste toujours verts, et qui pendant plusieurs hivers

coloris intérieur Teintes de carrosserie Blanc ibis Noir brillant Rouge brillant * Argent glacier métallisé * Argent Sahara métallisé * Blanc glacier métallisé * Bleu abysse nacré * Bleu Aruba nacré * Bleu sphère métallisé * Brun teck métallisé * Gris météore nacré * Gris quartz métallisé * Noir fantôme nacré * Rouge grenat nacré Teintes exclusives S line * Argent Monza nacré * Rouge Misano nacré Peinture Audi exclusive * Couleur sur demande T9T9 A2A2 C8C8 P5P5 9T9T 2Y2Y 8A8A Q9Q9 9F9F 4U4U X5X5 Q4Q4 L8L8

des oranges qu'elles sont rondes ; est probable il ; parce qu'elles sont c'est aussi accrochées dans des arbres qu'elles sont plus lement comparées à des fruits faci- : Pas un passant sur ce pavage de petits cailloux ronds et noirs que pluie faisait reluire la comme des châtaignes mûres. Le Rhin, 248 (XXXVI). II, Partout dans les arbres on avait suspendu des lanternes chinoises qui ressemblaient à de grosses oranges lumineuses. Rien de plus étrange que ces fruits de feu éclos tout

dit « Ecoute ce qu’il fait » au lieu de « regarde ». Quand Terlinck part vers Ostende et commence à trouver que sa vie ne se passe pas aussi bien ; le narrateur (Chapitre V) prend la parole en parlant de la cadence rapide des personnages sous la pluie. Les personnages changent, on a un autre regard, un « œil qui devenait rêveur ». Le livre bascule avec une illusion, Terlinck voit quelque chose qu’il ne peut pas voir ; il croit voir le fantôme de Jef Claes. Les polarités de regard vont changer