Pluie verglaçante

J'aime pas l'odeur du vernis ni du dissolvant, elle prend au nez. J'aime pas me projeter dans l'avenir, cela me fait peur. J'aime pas perdre des amis qui sont chers à mes yeux car je m'attache vite. J'aime pas quand la neige se transforme en pluie ou en verglas parce que les routes et les trottoirs glissent. J'aime pas le chlore qui pique les yeux dans l'eau de la piscine. J'aime pas ne plus avoir de batterie à mon téléphone portable quand je ne suis pas chez moi. J'aime pas partir en colonie

est pauvre et fragile puisque tous les nutriments sont captés par la végétation abondante. Les éléments se décomposent rapidement et en totalité, pour être immédiatement remis à la circulation soit par les racines des arbres ou entraîné par la pluie vers les eaux souterraines. Végétation arborescente dense à stratification verticale : une première strate est constituée d’arbres géants émergents, la seconde d’arbres de grande taille filtrant la lumière et la troisième d’espèces ombrophiles. Présence

heurt d' un tronc à la dérive avec une ceinture car quand l'eau était fort haute ,elle lui arrivait jusqu'aux tétons. Il touchait les pierres et sentit des crabes lui pincer le doigt. Tout à coup il entendit des cris (une pirogue une pirogue) mais la pluie lui brouillait la vue. Le maire arriva et on lui montra une pirogue avec la marque de chercheur d'or. Elle flottait encore que parce qu'elle était en bois. Au bord de cette pirogue se trouvait un homme mort. Ses mains étaient mordues par les poissons

 Pluie Rouge au Kerola KOMBO Jonathan Entre le 25 juillet le 23 septembre 2001, une pluie rouge tomba dans la région du Kerala au sud-ouest de l'Inde. Selon certaines sources, cette pluie rouge-sang colore les vêtements en rose et brûle les feuilles des arbres. De la pluie jaune, verte et noire aurait également été signalée. De telles pluies ont été rapportées depuis 1896

souvenait parfaitement de son premier jour chez Monsieur Littote. Ce jour là ,quand elle entra dans le magasin il pleuvait des cordes dehors. Elle avait encore oublié son parapluie mais ce n'était pas grave, elle était trempée oui, mais elle adorait la pluie et par dessus tout le bruit des gouttes d'eau sur les carreaux. Quand elle regarda autour d'elle, elle eu un sourire sur les lèvres. La boutique de Monsieur Littote était comme un grand parc d'attraction pour les enfants. Partout des trains électriques

sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom Sur la lampe

le bonheur de la vie. Vers les hauteurs de la forêt, on ne voit que toute cette clarté qui a été mise en or. Aussitôt que les feuilles tombent, et que l’odeur de la terre cesse de monter, dont l’humidité laissée du matin par la rosée, et par la pluie qui s'est émergée dans cette terre si pleine de gaîté, cet automne a répandu son charme sur cette forêt. La forêt est presque déjà fanée mais la vie ne cesse de s'intérioriser dans le cœur de la terre et je ne peux que voir ce bonheur qui n'a pu

noir sur blanc dit ce n'est rien d'autre qu'un affreux velléitaire21:00 Publié dans Très long texte | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Littérature, Poésiemardi, 03 octobre 2006 ... au creux de tes reins ...     texte          comme la pluie comme les pierres s'attardant traînant son absence d'inspiration au cours de deux longues semaines un texte se meut ou se meurt sans le mouvement des lignes ou des doigts sur la page ou des doigts sur le clavier ou du mercure dans la caboche pas moyen

s'abriter sous les auvents des portes. Cependant la pluie tombait à flots. On ne voyait plus dans la cour que les forçats nus et ruisselants sur le pavé noyé. Un silence morne avait succédé à leurs bruyantes bravades. Ils grelottaient, leurs dents claquaient ; leurs jambes maigries, leurs genoux noueux s'entrechoquaient ; et c'était pitié de les voir appliquer sur leurs membres bleus ces chemises trempées, ces vestes, ces pantalons dégouttant de pluie. La nudité eût été meilleure. Un seul, un vieux

de choisir le parcours le plus court. Je passai alors par la rue du cimetière. Je n'avais jamais emprunté cette rue par le passé mais je n'avais qu'une hâte: rentrer au plus vite à la maison. Soudain, le ciel s'assombrit, les premières gouttes de pluie firent leur apparition. Qu'est ce que cela signifiait ? Sur le moment, je ne me posai pas beaucoup de questions. Je traçai ma route. Un éclair retentit. Cela me fit sursauter. A ce même moment, j'eus comme l'impression qu'une personne me suivait, d'une