Pluviométrie

nommés ouragans dans l'est, typhons dans le nord-ouest et cyclones dans le sud-ouest. Près de l'équateur, on retrouve la zone de convergence intertropicale et les alizés dont la position changent avec les saisons, jouant un très grand rôle sur la pluviométrie de la région tropicale et la navigation maritime. Le Pacifique sud est parcouru par une oscillation thermique encore mal expliquée connue sous le nom d'El Niño (tous les deux à cinq ans, contrecarré par La Niña), qui exerce une influence importante

bâti sur l'environnement." Alain Liébard et André De Herde Au tout début du projet, les données du climat local sont prises en compte ainsi que les données du site. Les informations suivantes sont examinées: ensoleillement, température, humidité, pluviométrie, vitesse et direction des vents, géologie et hydrologie du sol. Le relief, la végétation environnante, les ombres en fonction des saisons sont également examinées. Il faut également tenir compte des informations urbaines: bruits, sources d'énergie

3ème étape : la mise en place d’horizons Les migrations et accumulation différencient des couches appelées aussi des « horizons ». Différentes mises en place sont possibles : ▪ Par lessivage des éléments solubles. Ce lessivage depend de la pluviométrie, la température, la perméabilité du sol, la nature de l’humus. Les éléments lessivés peuvent s’accumuler en profondeur ▪ Par migration ascendante (possible en cas de forte évaporation) Ainsi, différents horizons se forment : •

relief, l'état du sol et celui de la végétation naturelle. Le climat a une influence déterminante par trois facteurs agissant sur les phénomènes d'érosion physique et mécanique et les phénomènes de dégradation chimique et biologique. Ce sont la pluviométrie, le rayonnement solaire et le vent. Le relief intervient essentiellement comme facteur d'aggravation des phénomènes d'érosion hydrique. L'état du sol (texture, structure et richesse chimique et biologique) est un facteur prépondérant dans les zones

l’ensablement. La saison des pluies est très hétérogène, au plan spatio-temporel. Une grande partie du territoire national reçoit moins de 300 mm/an. Durant les vingt dernières années, trois grandes sécheresses ont été enregistrées au cours desquelles la pluviométrie était inférieure de 35 à 70% par rapport à la moyenne. Les principales ressources agropastorales du pays sont notamment: Les ressources en terres du pays sont estimées à 20.000.000 ha aptes à diverses activités économiques agricoles, pastorales

compte 2724 km de routes et deux aéroports. On peut dire que la Réunion ne manque pas d’eau, c’est même l’une des terres les plus arrosées du monde. Les ressources potentiellement exploitables sont comprises entre 3,2 et 3,9 millions de m3/jour. La pluviométrie très importante explique la présence d’un barrage hydroélectrique à Takamaka. B. Les attaques de requins Les nombreuses attaques de squales ne sont pas dues au hasard. Tout à la réunion est fait pour que notre océan soit peuplé de mammifères

terminerons en essayant de trouver des solutions afin de gérer cette ressource tant menacée, et convoitée par tous Conclu : L’eau est une ressource rare, car elle est limitée, et est inégalement répartie. Sa répartition dépend essentiellement de la pluviométrie, très inégale selon les climats, mais également des ressources superficielles (ex : grands lacs) et des réserves d’eau souterraines (nappes phréatiques) dont dispose le pays. L’accès à l’eau est lui aussi différent, selon le niveau de développement

sur le Golan (impliquant Syrie, Israël et Jordanie) et de la crise palestinienne. En Afrique, la frange sahélo-saharienne, depuis la côté sénégalaise jusqu’aux abords de la Somalie, connaît une conflictualité assez bien corrélée aux courbes de pluviométrie. Celles-ci entraînent des compétitions pour les pâturages en zone pastorale et, plus au sud, des confrontations entre agriculteurs et peuples pastoraux. En Somalie, la guerre des clans garde encore bien des caractéristiques des guerres pour l’eau

Canada, l'Autriche et l'Irlande, ont plus d'eau que ce qu'ils peuvent éventuellement utiliser d'autres, comme l'Australie, le nord de la Chine et le Moyen-Orient, ont trop peu. Dans de nombreuses parties du monde, comme l'Inde et le Bangladesh, la pluviométrie est très saisonnière: l'offre presque toute l'année peut arriver dans quelques mois. Il ya des variations, même au niveau local, comme un «indice de l'eau de la pauvreté» montre pour deux villages 20 miles de distance en Tanzanie,. L'eau est également

carbone dissous dans l'eau de mer ; le CO2 est 60 fois plus présent dans la mer que dans l'air (1,8 % au lieu de 0,03 %) pour un volume grossièrement estimé à 1 370 millions de km³. D'autres conséquences sont attendues, dont une augmentation de la pluviométrie, et la modification des courants marins, ce qui modifierait aussi le niveau moyen des mers avec des conséquences potentiellement désastreuses. Des conséquences plus ou moins difficiles à prévoir risquent de provoquer un véritable changement climatique