Poeme Inconstance Amoureuse

d'un libertin fidélité condamnée * privation de tous les autres plaisir * Fidélité = mort : s'ensevelir pour tjrs, être mort : perdre désir amoureux, passion * « La constance n'est bonne que pour les ridicules » = inversion des valeurs inconstance exaltée * DJ ne supporte pas la "tranquillité", le plaisir de l'amour est dans le changement * Apologie de la liberté de mœurs : "se lier" est inconcevable pour DJ : en étant infidèle, il affirme sa liberté : DJ est instable et insatiable *

mer qui me trouble et moleste. Ô mort ! si tu ne prends ma requête à dédain,Tire-moi des hasards de tant d'écueil mondain,Repoussant mon esquif dedans le port céleste. Estienne Durand, Stances à l'InconstanceEsprit des beaux-esprits, vagabonde Inconstance,Qu'Éole roi des vents avec l'onde conçutPour être de ce monde une seconde essence,Reçois ces vers sacrés à ta seule puissance,Aussi bien que mon âme autrefois te reçut. Déesse qui partout et nulle part demeure,Qui préside à nos jours et nous porte

l’amant avec sa maîtresse : Personnage essentiellement caractérisé comme un séducteur - Personnage comparé à Don Juan (métaphore). - Le champ lexical de l’amour est très employé pour le désigner : « sa maîtresse actuelle », « séduction » Inconstance amoureuse soulignée par : - l’adjectif « léger » - « toujours curieux et vite lassé », - le pluriel : « plaisait aux femmes », « son besoin des femmes », « il en changeât tous les 6 mois » - le verbe « changer » - Comparaison femmes / objets : «

comédie, mais dans ce sens qu'ils entretiennent l'ambiance comique tout au long du spectacle. Cette fonction en tant que telle n'est pas particulière à la comédie, elle est inhérente à l'idée de genre. Chaque vers d'un poème déclare, entre autres choses bien entendu: ceci est un poème. Seulement, dans le cas de la comédie, s'y connote une garantie peut-être plus précise que dans la plupart des autres genres. La comédié, chacun le sait, «finit bien». La fin a beau être factice, il faut qu'elle soit

dire que la Pléiade a joué un rôle important à l ‘époque de la Renaissance dans le développement et la standardisation du français plutôt que du latin et a ainsi sa place dans l’illustration de la langue française dans la renaissance littéraire. Poème : -Pierre de Ronsard «  Mignonne, allons voir si la rose » page 450 Ici l’auteur exprime un lyrisme évident où il magnifie la femme aimée comme un être divin. -Joachim du Bellay «  Heureux qui, comme Ulysse » page 448 Ici l’auteur exprime une

métamorphose. La domination du décor, c’est-à-dire la soumission de la fonction au décor, la substitution à la structure d’un réseau d’apparences fuyantes, d’un jeu d’illusions. […] Les thèmes chers au courant baroque :         Inconstance amoureuse Vanité de l'homme Folie Règne du hasard et de la Fortune (le sort) Jeu de l'illusion (procédés récurrents de mise en abyme, interventions du monde onirique, jeux de miroir, personnages déguisés, métamorphoses prodigieuses...) Illustration de

méchant homme ». (Scène 1) C’est alors qu’entre en scène Dom Juan, qui confie à son valet qu’intéressé par la seule conquête, il ne peut s’attacher à aucune femme (inconstance de l’amour) et que, tels les grands conquérants, il rêve de succès sans cesse renouvelés. Lassé de Done Elvire, il envisage désormais une nouvelle « entreprise amoureuse » ; il s’agit d’enlever une femme au cours d’une promenade en mer avec son fiancé. (Scène 2) Done Elvire apparaît, en colère et attristée. Elle reproche à Dom Juan

passe de l’étude des mœurs à l’analyse des sentiments, est un témoin essentiel de la société française de la première moitié du xviiie siècle. Le langage qu’il invente, à la fois libre et sophistiqué, est à l’image de sa conception des relations amoureuses, où les masques se jouent de la sincérité, et où la sincérité découvre les masques. Parfois jugé frivole ou superficiel – on parle de « marivaudage » pour dénoncer les excès de sa finesse –, Marivaux renouvelle l’approche de la psychologie humaine

la liberté le bon dieu ne montre pas a l homme une route tracé i est donc l homme est libre ils renient la fatalité et croient aux hasards les baroque sont toujours ouvert a la fréquentation des autres cultures Le baroque inspire aussi l inconstance amoureuse « l homme est infidèle On nom toujours de cette liberté on accorde une importance aux apparences en peinture ils choisissent l art de trempe l œil Le baroque n est pas seulement un art c est un mode de vie une philosophie il est attiré

tragédie profane. Ses deux ultimes pièces, Esther et Athalie, d’inspiration biblique, ne sont composées qu’en 1689 et 1691, à la faveur d’une commande de Mme de Maintenon, dans le but d’édifier 1 les pensionnaires de Saint-Cyr 2 par « quelque espèce de poème moral et historique dont l’amour fût entièrement banni 3 ». On ne peut s’empêcher d’interroger ce silence. Longtemps la tradition critique y a lu le signe d’un amer dépit, lié à l’échec de la pièce. On sait depuis que ce dernier fut très relatif, et