Poids De La Pme Dans Le Tissu Productif National

l’ensemble des entreprises et des personnes ayant participé à l’enquête et partagé leurs expériences sur les obstacles au commerce. Ce rapport a été écrit par M. Guillaume Gnamien, Directeur du Département des études économiques et financières du Bureau national d’études techniques et de développement (BNETD), sous la direction de M. Mathieu Loridan (ITC). L’étude a été révisée par Mme Antsa Rajaonarivelo (ITC). L’enquête fut mise en œuvre par Mme Poonam Mohun et M. Mathieu Loridan avec le soutien de l’équipe

fiscal marocain, développement économique et cohésion sociale LISTE DES ABREVIATIONS CGI : Code Général des Impôts CGNC : Code Général de Normalisation Comptable CL : Collectivités Locales CLT : Commission Locale de Taxation CNRF : Commission Nationale de Recours Fiscal DGI : Direction Générale des Impôts DE : Droits d’enregistrement DT : Droits de Timbre IS : Impôt sur les Sociétés IR : Impôt sur le Revenu LFL : Loi sur la Fiscalité Locale TVA : Taxe sur la Valeur Ajoutée TSAVA : Taxe

(économie sociale et solidaire). B) Les trois dimensions indissociables de l’entreprise 1° Dimension technico-économique : L’entreprise est un agent économique. Elle va participer à la vie de notre pays (98% des entreprises sont des PME, elles constituent le tissus économique) 2° Dimension sociale :  L’entreprise est un agent social Compte pénibilité : c’est une mesure phares de la réforme des retraites, mise en place à partir du 1er janvier 2015. Principe : les salariés exposés aux facteurs

encadrement et ses orientations basées sur un niveau supérieur de compétences, d’expérience, de professionnalisme et sur une pédagogie moderne. Nous exprimons également notre gratitude et estime pour le corps professoral et administratif de l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion - Kénitra, pour leur implication dans le cycle ainsi que pour la qualité de leurs cours. Nous tenons, aussi, à adresser notre gratitude à Mr Faik Mounir et Mr Lahmine Youssef, responsables d’agence respectivement à ATTIJARIWAFABANK

redevable à un grand nombre de personnes : D’abord à notre encadreur pédagogique le Dr KANGUE ODELI Anselme pour ses conseils et sa disponibilité dans la réalisation de cette production scientifique Ensuite à l’ensemble des enseignants de l’Institut National des Sciences de Gestions (INSG)en tête des quelles le Professeur Herve NDOUME ESSINGONE, Monsieur Flavien HEEKELLA, Monsieur Brice MABOUNDA qu’il trouve ici l’expression de notre profonde gratitude pour la qualité des enseignements reçue tout au

nécessaires à la réalisation de leur plan d’investissement qui semble plus difficile à mobiliser auprès des établissements de crédits, étant donné l’exigence forte de fourniture de garanties. Selon la situation au 30 juin 2008 présentée par le Conseil National du Crédit, le système bancaire camerounais a eu à accorder seulement 2,34 % des crédits à long terme destinés à l’investissement. Le problème de financement des besoins d’investissement rencontré par les entreprises au cours de ces dernières années

industries des équipements et machines (machines-outils, machines d’usage général, etc.) ou encore du bâtiment. Le tissu industriel est composé de près de 1 700 établissements d’au moins un salarié, dont plus des trois quarts emploient moins de 20 personnes. Ces TPE et PME sont souvent spécialisées sur des segments, comme l’automobile ou l’aéronautique. Notons que cette dernière décennie, le tissu industriel s’est érodé, pénalisé par les stratégies de délocalisation des donneurs d’ordres, mais également

sur les sociétés :………..17 I) Comparaison de l’IS avec d’autres impôts (TVA, IR)……….17 A. Définitions :……………………………………………...17 B. La contribution des trois taxes en 2008 et 2009(en milliards de Dirhams). ……………………………………………………17 II) Poids de l’IS dans les recettes fiscales de l’Etat marocain :……………………………………………………….18 III) Comparaison de l’IS au Maroc avec d’autre pays :……20 A. L’IS des pays concurrents du Maroc :….................................21 B.

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE CONSEIL NATIONAL ECONOMIQUE ET SOCIAL Commission « Perspectives de Développement Economique et Social » Rapport Regards sur  la politique monétaire en Algérie SOMMAIRE Préambule Introduction Chapitre I : ELEMENTS METHODOLOGIQUES ET DEFINITIONS I.1- Définition, formulation et consistance de la politique économique I.2- La politique monétaire : objet, objectifs, instruments

grâce à un tram-train rapide (80km/h) en grande partie aérien, circulant 24/24h : le « Métrophérique ». Enjeux de mises en pratique Penser la métropole parisienne comme une ville durable suppose de mettre en œuvre une politique de densification du tissu urbain et de réduction des déplacements. Les cabinets d’architectes mettent l’accent sur la création de noyaux denses de taille restreinte au sein de l’agglomération reliés par des moyens de transport collectifs peu polluants. Ville de Paris (commune)