Poïétique

logique formelle, ainsi appelée car elle traite de la forme des raisonnements indépendamment de leurs contenus ou des objets sur lesquels ils portent. La logique se distingue en ce sens de la science - qu'Aristote divise en théorique, pratique et poïétique - : elle en constitue l'instrument (organon), la condition de possibilité (d'où le nom d'Organon que l'on a donné à l'ensemble des écrits logiques du Stagirite). C'est à partir des problèmes et des apories que posait la dialectique et dans le souci

semble que la ST soit actuellemnt le seul domaine où la linguistique puisse être tolérée. Ses concepts sont mis au service de l’explication du texte. Les orientations des recherches stylistiques aujourd’hui • • • • • • • • ST de la forme – poiétique ST génétique ST comparée ST des thèmes – la critique thématique (Bachelard) ST du texte ST du récepteur ST structurale – la sémiotique ST de la narration – la narratologie 3. L’objet d’étude de la stylistique • Stylistique résultat) : style

ouverte à tous les doutes et ce doute peut soit déstructurer le lecteur, soit au contraire le libérer : dans ce cas, toutes les portes s’ouvrent alors à de nouvelles interprétations, de nouvelles hypothèses, à tous les schémas possibles – concept poiétique s’il en est – mais elles s’ouvrent aussi sur des fantaisies inadmissibles. Cependant, “Bible” omniprésente, “latin” impérialiste, s’écroulent et d’autres hypothèses sont permises en sautant par dessus les frontières et à travers ce que sont devenues

(le moi écrivant) et le moi biographique (le moi mondain), « dans la dynamique de l’écriture elle-même » (Michel Contat, L’Auteur et le manuscrit, Paris, PUF, 1991, p. 24). Ce dernier aspect nous paraît fondamental pour les approches génétique et poïétique qui observent l’écriture et la création de l’intérieur, in statu nascendi, avec les tâtonnements, les essais, les repentirs, les ratures et les aller-retour entre différents états du texte. L’Avant-propos apporte quelques éclaircissements sur les

en lui. A son tour la cause finale se confond avec la forme ; la fin est la forme qui n’est pas encore réalisée. (((((, technè : art en général « Ensemble des procédés servant à produire certains résultats » intelligence poïétique : industrie, technique, métiers (((((((() intelligence théorique (((((((((, épistémè) Ethique à Nicomaque, VI, 4,114 : La science poétique est la science de la production ;

pratique de soi est précisément la forme la plus haute, celle qui fait l’unité des deux ? Hegel part du principe que l’homme a des rapports pratiques avec le monde extérieur. Il entend par là le fait de modifier le monde – ce qu’est la technique ou poïétique à proprement parler selon la compréhension d’Aristote dans l’Éthique à Nicomaque (VI, chapitre 2) – mais également de se modifier – ce qu’est la pratique à proprement parler toujours selon Aristote (ibid.). Or, ce rapport Hegel l’entend comme pratique

objets indépendants du sujet connaissant (mathématique, physique, théologie), les sciences pratiques (praxis = action), qui portent sur les actes dont le principe est dans celui qui agit (politique, éthique, économie), et les sciences poétiques ou poïétiques (poiésis = production), traitant des actions humaines dont le résultat est différent de l’agent, comme dans les techniques de fabrication. Il est ainsi possible de raisonner sur le politique, qui n’est pas qu’affaire d’opinion, mais a une nature

niveau : pratiques des sciences politiques et moral (relèvent de la prudence, principe contingent : le but de la vertu étant d'être vertueux et on ne fait pas de la morale et de la politique pour des objets qui relèveraient d'autres domaine) et poïétique de l'autre (production contingente d'objet : elles délimitent le domaine de la Techne et elle s'occupe de la production du particulier à partir de l'expérience). Disposition à produire accompagnée de règles. L'art correspond à une partie de cette

une société donnée ». De plus la théorie de la tripartition de celui-ci conçoit la musique comme un fait social qui se doit d’être étudié sous 3 aspects que sont:  L’aspect poétique  L’aspect esthétique  L’aspect neutre 1. L’aspect poïétique Le SIEDU ou « la retraite du tambour EDONGBOLE » est l’une des trois danses de L’ABISSA. Celui-ci est une danse qui précède l’ABISSA d’une semaine.la retraite de l’EDONGBOLE ou SIEDU représente la première partie mais surtout la phase mystique

« anticipations croisées ». Pour mettre en évidence les anticipations croisées, il convient d’analyser la langue, le champ littéraire, le genre pratiqué, l’auteur, l’imaginaire de l’auteur et le lecteur. C'est-à-dire ce qui se résume en un mot : la poïétique. Mais il convient aussi d’examiner dans le texte même, les représentations de l’auteur et du lecteur car ce sont elles qui nous renseignent sur la façon dont un auteur s’inscrit avec son texte et grâce à son texte dans la réalité du monde. La sociologie