Polder

milieu des années 1990, environ 200 millions de personnes vivaient à moins de 50 km du littoral européen, qui s'étend sur une bande d'environ 148 000 km et l'Europe ne disposait d'aucun système global de gestion des zones côtières6. Les zones de polders (Pays-Bas, Flandre Belge, Nord de la France sont exposées à un risque de submersion et en 2009, la pollution marine de ces zones reste un problème majeur dans toutes les mers européennes. La succession des accidents maritimes a rappelé qu'il n'y

très dense. La mégalopole constitue la deuxième façade maritime du monde avec un trafic annuel de plus de 500 millions de tonnes( pétrole, minerais, produits agroalimentaires...). L'espace réduit du Japon, pousse le pays à combler ce manque par des polders (étendue de terre artificielle), terre-pleins et îles flottantes pour gagner de l'espace sur la mer: sur ces îles se trouvent les industries et aéroports. Le Japon qui tente d'exploiter son territoire au maximum fait preuve d'une remarquable maîtrise

souvent favorables au développement de l'agriculture et de l'élevage : leur climat est plus tempéré qu'à l'intérieur des terres. Mais l'espace y est souvent limité. C'est pourquoi les hommes ont gagné des terres sur la mer, en créant notamment des polders. Ces aménagements ont nécessité la construction de digues et de canaux de drainage. • L'autre activité traditionnelle du bord de mer est la pêche. Elle nécessite la création de ports et d'infrastructures de stockage des prises. Cette activité est

densément peuplées entre les + grandes villes de l’armature urbaine de l’Europe du N-O. Cultures maraîchères sous serre de l’O des Pays-Bas ou de l’East Anglia produisent de très fortes valeurs ajoutées par ha. Les zones de polders Dans polders récents et dans très grands polders du XXè s., l’habitat dispersé et grands parcellaires réguliers se sont imposés. Poldérisations dessinent en général des systèmes de canaux serrés et étaient situées dans les zones les moins déprimées, l’eau pouvant être évacuée

à risque en France et dans ses territoires ultramarins est assez importante : Le risque d'inondation est le plus fréquent. Il concerne principalement des habitations situées à la proximité immédiate d'un cours d'eau ou construites sur des zones de polder en dessous du niveau de la mer. Or, les cours d'eau sont très attractifs, car ils concentrent hommes, activités et réseaux de transport. - Les risques sismiques et volcaniques sont également présents en France métropolitaine (Massif central), mais

Pays-Bas ou encore ceux mentionnés dans Don Quichotte. Ces moulins utilisent l’énergie mécanique pour actionner différents équipements. Les moulins des Pays-Bas actionnent directement des pompes dont le but est d’assécher ou de maintenir secs les polders du pays. Les meuniers utilisent des moulins pour faire tourner une meule à grains. Aujourd’hui, ce sont les éoliennes qui prennent la place des moulins à vent. Les éoliennes transforment l’énergie mécanique en énergie électrique, soit pour l’injecter

nouveaux corridors ferrés, taxer les poids lourds (comme en Allemagne), privilégié le ferroutage comme en Suisse avec le tunnel du Simplon en 2007, établir des zones 30 en ville, interdire l’extension des aéroports sauf s’ils relèvent de l’OTAN, dvpt de polders et renforcement des digues, CIPR = amélioration du Rhin en 2020. Le pc pbl est l’obstacle des Alpes. Les pbls de reconversion. La Lorraine est en déprise et très en retard par rapport au dvpt des autres régions rhénanes =) crise de reconversion. Pbl

très forte densité de population concentrée sur les littoraux et elle est caractérisée par une industrialisation massive. Les villes s'agrandissent et on assiste dans certaines d'entre elles à une artificialisation des milieux, avec par exemple les polders dans les villes portuaires (avancés artificielles sur la mer). Enfin, l'espace asiatique est un espace sujet à catastrophes naturelles à répétitions, comme les séismes ou les tsunamis, comme celui de décembre 2006 dans l'Océan Indien. Par tous

dispositif aérogénérateur comme une éolienne ou un moulin à vent. Pendant des siècles, l'énergie éolienne a été utilisée pour fournir un travail mécanique. L'exemple le plus connu est le moulin à vent pour la transformation du blé ou l'assèchement des polders en Hollande. Une éolienne de nouvelle génération développe en général une puissance d’environ 2 millions de watts. Chaque machine de 2MW est capable d’alimenter environ 2 000 foyers (hors chauffage). Aujourd’hui, la France en compte plus de 2 500

ainsi qu’une extension des submersions temporaires ou permanentes sur les espaces côtiers bas. Le Conservatoire du littoral et les autres acteurs concernés doivent tenir compte de ces perspectives en adaptant ses modes de gestion, notamment dans les polders aux digues fragiles, sans doute aussi, en revoyant localement ses projets d’acquisition. La sur fréquentation des espaces littoraux et les résultats de l’activité humaine provoquent les résultats fatals pour l’évolution des côtes. Aujourd’hui la