Policy Mix Dans La Zone Euro

du commerce international 168 67. La compétitivité d’une économie nationale 170 68. Le choix d’un régime de change 172 69. La dévaluation 174 70. Les interventions sur le marché des changes 176 71. L’évolution du cours euro/dollar depuis 1999 178 72. La théorie des zones monétaires optimales 180 73. Le triangle des incompatibilités 182 74. L’étalon-or 184 75. Le système de Bretton Woods (1944-1971) 186 9. La mondialisation 190 76. Le

l’Association Marocaine de l’Intelligence Economique 23 40 La veille stratégique dans l’entreprise Abdelhanine BENALLOU Directeur Général de l’Office National des Aéroports 13 INTELLIGENCE ÉCONOMIQUE ET DÉVELOPPEMENT TERRITORIAL La Zone Industrialo-Portuaire de Fos Hervé MOINE - Port Autonome de Marseille Philippe CLERC - Directeur de l’Intelligence Economique et des TIC. Assemblée des Chambres Françaises de Commerce et de l'Industrie Henri DOU - ESCEM (Tours) et CIWORLDWIDE organisation

Chine. => ces acteurs imposent une restructuration profonde de notre économie. Durant cette période alternance de politique de relance et d’austérité et de la résurgence de la guerre des monnaies (la Chine sous évalue sa monnaie pour exporter, euro sur évalué fragilise nos exportations) 4.2.1 La synthèse de HICKS : le modèle IS-LM (2 courbes) 1937 « Mr KEYNES and the classics : A suggested Interpretation » Faire une synthèse entre la pensée néoclassique et keynesienne pour réconcilier la théorie

les dépenses de l’Etat, le gouvernement peut ralentir la demande, la hausse des prix et les importations. On parle alors de politique de rigueur budgétaire, destinée à éviter la « surchauffe » de l’économie. Les gouvernements peuvent utiliser un « policy mix » associant simultanément une politique budgétaire et une politique monétaire. 3) La politique sociale Son objectif est de réduire les inégalités et d’assurer la cohésion sociale en modifiant la répartition des revenus. Elle repose sur le principe

de ce système de surendettement. Cette crise financière se prolonge, depuis 2010, par une crise des dettes souveraines (particulièrement virulente en Europe- Cas de la Grèce, du Portugal, de l’Espagne, de l’Italie notamment), une crise monétaire (zone Euro), dont les manifestations sont encore en cours et par des crises sociales diverses (alimentaire, énergétique, Printemps arabe...). Ce qui est certain, c’est que cette crise ébranle fortement l’économie de marché, tirée par un capitalisme financier

sont sources d’inefficience et limitent la concurrence ; ils empêchent le développement des marchés financiers. (b) Dès lors, la banque centrale intervient essentiellement par les instruments de marché : taux de réserves obligatoires (2% dans la zone euro), mais surtout par les taux directeurs sur le marché monétaire : appel d’offres (ces appels d’offres sont des prises de pension : les banques de second rang échangent provisoirement (de semaine) des titres contre de la monnaie banque centrale selon

dette (OAT). 3/ L’épargne salariale : PEE PERCO. Investissement mini 5 ans ou jusqu’à la retraite. 2 objectifs : financement privé des retraites et bien être social au sein de l’entreprise. 4/ l’assurance vie : produit préféré des français. Mix entre l’épargne disponible et investit. Répond à une problématique patrimoniale et sociale (protection de ses proches). Intègre la partie financière : gestion d’actifs (fd en euros) et UC. Des supports aux conséquence différentes : En fonction

biens de consommation Δ+ Demande de biens de consommation de la part des salariés du secteur. Il est possible de calculer très exactement la valeur de cet effet multiplicateur, c’est-à-dire le supplément de revenus généré par l’injection d’un euro d’investissement dans le système économique. Partant de la relation : L’analyse du sous emploi : John Maynard Keynes - 8 - Enseignement des connaissances T°ES R=C+S A l’équilibre : I = S => R = C + I On peut donc écrire : ; avec

construction), l'augmentation de l'emploi peu qualifié (productivité inférieure à la moyenne), le passage aux 35 heures mais surtout le manque d'investissement (TIC). En 2007, la croissance de la productivité du travail est de 4 % aux USA et 0,8 % dans la zone Euro. Cependant, la productivité horaire française reste supérieure à l'Allemagne et aux USA (103, 101, 100). Pour mesurer l'efficacité générale d'une économie, il n'est pas réaliste d'isoler la contribution de chaque facteur (W ou K). C'est au contraire

effets de l’inflation. 2. Entre 2000 et 2010 le PIB en volume des Pays de l’Asie en développement a augmenté de 120%. 3. Entre 2000 et 2010, le PIB en Volume des économies émergentes a augmenté de 80% contre seulement 13% pour les économies de la zone euro. 4. En 2009, le PIB chinois représentait environ 18% du PIB mondial, le PIB indien environ 8%. 5. En 1700, le PIB chinois représentait déjà plus de 20% du PIB mondial (estimations) tandis que le Brésil lui ne participait pas de manière significative