Politique D Autofinancement

aux exigences de fonds propres applicables aux établissements de crédit et aux entreprises d’investissement Pourquoi et comment la Banque de France cote-t-elle les entreprises ? Cette activité est menée pour les besoins de la mise en œuvre de la politique monétaire1 pour procurer aux établissements de crédit des éléments d’appréciation du risque de crédit attaché à leurs engagements bancaires sur les entreprises2 , et pour fournir au superviseur bancaire des outils de contrôles utiles pour appréhender

provisions pratiquÈes au cours de la pÈriode, indÈpendamment Ègalement des choix en matiËre de financement et indÈpendamment de la politique fiscale. L’EBE reprÈsente ou mesure la performance Èconomique de l’entreprise. Ebe = VA – IMPOT ET MASSE SALARIALE Cette EBE est ‡ l’origine de ce qu’on appelle la capacitÈ d’autofinancement, il sous tend les choix en matiËre de politique/structure financiËre. L’EBE = Principaux produits encaissables – principales charges dÈcaissables En fait L’EBE, mesure

l’entreprise, On voit donc clairement pour l’actionnaire, le lien entre l’équilibre financier et la maximisation de la valeur. Aussi la plupart des auteurs s’accordent pour admettre que l’objectif financier de l’entreprise consiste à mettre en œuvre une politique propre à maximiser la richesse des propriétaire de l’entreprise. Quand l’entreprise est cotée en Bourse, sa valeur boursière traduit le jugement de tous les acteurs du marché. En théorie financière , la valeur d’une entreprise est égale à la valeur

Evaluation et sélection des investissements Introduction générale L’investissement est une décision stratégique et à ce titre s’insert dans la politique générale de l’entreprise. Ses définitions et caractéristiques permettent d’en comprendre les enjeux de la problématique (I). Pour évaluer des projets d’investissement il faut en déterminer les paramètres et les chiffres (II). La sélection de ces projets s’effectue ensuite par le recours à différents critères permettant d’apprécier leur rentabilité

Taylorisme:Organisation rationalisé du travail qui sépare la conception de la fabrication, elle-même divisé en taches chronométrés. → Fordisme: travail a la chaine. 3ème RI → Robotisation Développement du secteur financier; pour petit financement→ autofinancement, L'auto-financement ne suffit plus → Crédits (avant au 18è siècles, les crédits sont peu utilisé) → Les actions, appelè le capitalisme* boursier, naissance de l'actionnariat. Les actions sont achetés et vendues dans les bourses de valeurs* ,

d’occasion en 1977 pour une valeur de 500.000 F (valeur du neuf 1.500.000 F) Depuis 1980 des investissements ont été réalisés acquisition d’une fraiseuse programmable au prix de 50.000 F. financée par un emprunt à moyen terme ( 430.000 F) et par autofinancement (70.000 F). acquisition d’outillage divers entièrement autofinancés ; acquisition d’un tour à commande numérique; recherche pour rationaliser les chaînes de production Recours à la sous-traitance auprès d’entreprises régionales pour des travaux

Caractéristiques financières et stratégiques Faible besoin D’investissement = Excédent de liquidités Rentabilité faible Rentabilité Fort besoin d’investissement = autofinancement Rentabilité faible Favorable Fort besoin d’investissement Faible besoin d’investissement Défavorable Autofinancement Marginale Fort déficit de liquidités Démarrage 19/04/2011 Croissance M.Langlois Maturité EMN - U1 Forte Déclin 29 La Matrice de Mc Kinsey Intérêt

ces marchés et permettre aux entreprises de toujours trouver une contrepartie) Au niveau de l’entreprise Le fait financier permet l’accumulation de capital : un bilan est d’abord une accumulation de capital financier (fonds propres –actions, autofinancement- & dettes) afin de développer le capital économique (immobilisations, BFE). Capital Economique Ð Revenus Capital Financier Ð ≥ Coûts financiers Le fait financier est aussi l’instrument de mesure du risque, d’allocation des ressources financières

sont les effets des transformations ayant affecté le financement de l'économie française depuis les années 1980. DOCUMENT 1 Les transformations du financement des entreprises françaises 1980 1990 2000 Flux (en milliards d'euros) A. Autofinancement B. Emission d'actions C. Endettement sur les marchés D. Endettement auprès des banques E. Total financement (A+B+C+D) 28,2 7,9 2,6 18,2 56,9 97,6 33,7 15,1 59 205,4 126,7 113,7 42,7 59,9 343

 Salaires  ménages  Rémunération capital  ménages  Dépenses d’investissement (autofinancement) Les entreprises ne reversent pas intégralement la totalité des recettes aux ménages sous forme de salaires ou de revenu du capital, elles en gardent : une partie pour financer leur projet d’investissements directement  autofinancement (avec l’accords des actionnaires) ménages : à la fois travailleur et actionnaires dans une vision générale. En réalité :