Politique Expansionniste Et Restrictive

transmission de ces chocs que nous présentons successivement. 1.1. Le canal du coût du capital (ou canal du taux d’intérêt) Le canal du coût du capital (autrement appelé, canal du taux d’intérêt) constitue le principal mécanisme de transmission de la politique monétaire dans tout modèle d’inspiration keynésienne. Dans un contexte de rigidités nominales des prix et des salaires, une baisse du taux d’intérêt, parce qu’elle diminue le coût du capital, se traduit par une hausse de l’investissement des entreprises

général des prix) * I : Taux d’intérêts (prix du capital) * W : Salaire Depuis le début du XXème siècle, le taux d’intérêts aux Etats-Unis est très faible ce qui a provoqué le marché des financiers et le crédit bancaire à développer. La politique de crédit favorise deux choses : - L’achat de biens de consommation ce qui provoque l’augmentation des dividendes. - L’achat de titres car les agents sont incités par les beaux résultats des entreprises. C’est le début de la spéculation boursière

2005 et 2007. On peut voir en 2009 l’impact de la crise actuelle. Cette crise financière a réduit l’activité économique, mais aussi pour l’entreprise qui investit à l’étranger le risque a augmenté. Cette crise a entrainé des conflits sociaux politiques, ce qui a provoqué des risques de destruction des filiales. Cette chute des IDE est d’environ 40 % en 2011. On a toujours pas retrouvé les montants d’avant la crise, on attend ces montants seulement vers 2015 (jamais connu auparavant). Sans

« deux semaines avant la chute du 24 octobre, les prêts de brokers pour les titres "autres" diminuèrent de $ 120 Mns, en grande partie à cause des retraits étrangers »[1]. D'un point de vue technique (il y a aussi, pour cet auteur, des causes plus politiques[N 1]) c'est le dernier maillon d'une série qui court de la hausse du taux d'escompte à New York en août, à la faillite de l'entreprise Hatry à Londres qui à son tour provoque une hausse des taux en Angleterre le 20 septembre (le lendemain du jour

à l’ensemble des places financières du monde   Globalisation financière Innovations financières, titrisation, montages financiers complexes  Intervention des autorités monétaires   Injection de liquidités Assouplissement de la politique monétaire Séminaire Master 2 Macroéconomie financière et développement, Université du Sud Toulon Var 2 Introduction (2/4)  Jusqu’où la crise ?   Défiance des intervenants sur le marché interbancaire Credit crunch → ralentissement

relativement habile jusque là mais qui va bientôt faire face à de nombreuses limites, la crise de 2008 en est un exemple. En effet la Chine doit une grande part de sa croissance à ses exportations et à l'accumulation de capital, elle pratique aussi une politique de sous-évaluation de sa monnaie pour réduire le prix de ses exportations pour les pays étrangers, mais elle reste très en retard au niveau social. La Chine est encore loin d'être un pays développé au sens général du terme. Car même si son économie

n’était pas possible de définir la notion de capital indépendamment des rapports de forces entre les agents. Les travaux de Arron et Debreu incite à conclure que les conditions dans lesquelles la loi de l’offre et de la demande jouent sont très restrictive : - absence de couts fixes -rendements constant ou décroissants -pas de discontinuité des demandes individuelles 4. Rémunérations et rapports de force 4.1 L’exemple féodal La société féodal

idéologique, spirituelle et intellectuelle. Nous considèrerons deux entités composant l’Occident: les Etats-Unis et l’Europe. Il est nécessaire de faire une distinction entre la relation Chine – Etats-Unis, relation très étroite à la fois économique et politique, et la relation Chine – Europe essentiellement commerciale. Malgré cette distinction, le point commun reste une forte interdépendance entre la Chine et ces deux entités. La question des relations de la Chine avec l’Occident est plus que jamais d’actualité

de la banque centrale Et l’efficacité de la politique monétaire Introduction La Politique Monétaire marocaine a fait l’objet, depuis l’accession du Maroc à l’indépendance, d’une multitude de modifications et de transformations. Ainsi, depuis la nationalisation de la Banque Du Maroc en 1959, le Royaume a connu deux grandes phases intégralement opposées dans la mise en œuvre de sa Politique Monétaire. D’abord, une phase qualifiée de

banque centrale n'est pas forcément un établissement public, Même si elle n'est pas forcément une institution publique, elle a toutefois comme mission de servir l'Etat dans le sens où c'est la seule institution à pouvoir battre la monnaie et sa politique monétaire (en général la lutte contre l'inflation) est menée dans l'intérêt de l'Etat.Elle contrôle l'émission de monnaie, c'est en effet elle qui émet la monnaie nationale. Elle a aussi la possibilité de contrôler la masse monétaire en circulation