Politique Keynes Ou Monétariste

John Maynard Keynes (1883-1946) et les keynésiens 1883 : mort de Marx Ouvrages principaux : Essai sur la réforme monétaire (1923) Traité sur la monnaie (1930) Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie (1836) Biographie de Keynes : Nul économiste n’a sans doute davantage influencé la pensée économique contemporaine que John Maynard Keynes. Il reçoit, à l’université de Cambridge l’enseignement de Marshall et de Pigou (néoclassiques). En 1911, il est nommé

l'allocation des facteurs de production issue de l'équilibre sur le marché considéré. Cher à Alfred Marshall, est souvent opposé à l'équilibre général, la paternité revient à Léon Walras. • L'équilibre général : Dans son livre "éléments d'économie politique pure", Léon Walras explique que, si les conditions de la concurrence pure et parfaite sont réunies, c'est à dire si l'ordre naturel est respecté, l'économie se maintient automatiquement en équilibre. Par hypothèse, chaque agent économique est

la courbe de Philips. Cependant, la relation inflation-chômage doit être stable pour servir d'instrument de politique économique. Or cette relation va se dégrader avec l'apparition de la stagflation au milieu des années soixante dix. II. La critique monétariste de la courbe de Philips I. L'analyse keynesienne de la relation inflation, salaire, chômage Dans la théorie de Keynes, l'analyse de l'inflation est peu développée. La courbe de Philips va permettre aux keynésiens de la développer

conséquences sur l'économie? I - les deux approches ( tu peux parler de la genèse de la monnaie) A ) approches instrumentale (théorie qui domine la pensée économique) ===> Au début les hommes pratiquaient le troc définit par les monétaristes comme l'économie monétaire a l'état de nature (cf : Aristote) économie autarcique. Les individus étant rationnels (maximisation de l'utilité) ont un désir d'échange et accordent une valeur "intrinsèque" aux marchandises qu'ils possèdent.

communiste. IV. Courant Keynesien : John Maynard Keynes (1883-1946). - L’équilibre de plein emploi permanent est impossible. - Nécessité d’intervention de l’Etat (budgétaire) pour résorber le chômage.  Pour favoriser la croissance, il faut agir sur le niveau des investissements - Libre marché = grande instabilité. - Refus de la neutralité de la monnaie. Conclusion :  Père de la macroéconomie  Opposé aux néoclassiques V. Courant monétariste Milton Friedman (1912-2006) - Lutte contre l’inflation

d’encaisses monétaires La théorie quantitative de la monnaie reprise par Milton Friedman Théorie quantitative : néo-classique (depuis 1870), monétariste (M. Friedman depuis 1960), nouveau classiques (Luca 1970) 2) Le marché monétaire keynésien Résumé : - absence de marché de l’investissement chez Keynes * Rôle passif de l’épargne globale Mais Keynes : importance de la structure de l’épargne individuelle * La structure de l’épargne individuelle et la préférence pour la liquidité I-

en leur possession, il leur est aisé d'imposer leurs vues : grâce au Gold Exchange Standard (étalon de change-or), le dollar devient un titre de paiement universel aussi fiable que l'or. Les thèses de l'Américain White triomphent donc sur celles de Keynes qui était partisan d'une monnaie de compte internationale totalement détachée de l'or. Le rôle mondial des États-Unis : L'économie mondiale se reconstruit donc sous le leadership américain. Détenant la plus grande partie des moyens de paiement

Debreu), l'École des choix publics (James M Buchanan, Gordon Tullock), les Nouveaux classiques (Robert Lucas Jr, Paul Romer), l'École de Chicago (Frank Knight, Jacob Viner, George Stigler, Gary Becker) ou encore les monétaristes (Milton Friedman). Le keynésianisme L'analyse de Keynes La crise de 1929 met en exergue la portée limitée des enseignements de la théorie néoclassique : ce courant ne peut en effet appréhender et analyser l'existence dans les années 1930 d'un phénomène de chômage massif

d'emblée les relations entre les grands agrégats de l'économie, la macroéconomie cherche à expliciter ces relations et à prédire leur évolution face à une modification des conditions, qu'il s'agisse d'un choc (augmentation de prix du pétrole) ou d'une politique économique délibérée3. Contrairement à la microéconomie, qui favorise les raisonnements en équilibre partiel, la macroéconomie se place toujours dans une perspective d'équilibre général, ce qui l'amène à accorder plus d'attention au bouclage des

1. PRÉSENTATION monétaire, politique, ensemble des mesures prises par les pouvoirs publics, et notamment la banque centrale, visant à faire varier la quantité de monnaie présente dans l'économie afin d'agir indirectement sur la valeur de la devise nationale, sur la production, l'investissement, la consommation et l'inflation. La politique monétaire, qui a pour objectif de soutenir l'activité économique en fournissant des liquidités et des crédits indispensables aux agents pour consommer, investir