Politique Monétaire Chez Les Keynésiens Et Les Monétaristes

plus à l’étranger qu’elle ne lui achète. Elle doit donc engager des excédents commerciaux au détriment des autres nations. Cette doctrine a été utilisée surtout par les économistes libéraux du 18ème pour dénoncer la politique d’intervention de l’Etat. A RETENIR : doctrine et politique fondées sur la croyance à la prééminence des matériaux précieux facteurs de puissance et qu’il convient d’accumuler. ------------------------------------------------- LE LIBERALISME DE BOISGUILBERT (17ème-18ème

monnaie peut être dû à une émission massive par l'État (l'illustration la plus marquante de ce facteur pourrait être la situation financière de l'Allemagne au début des années 1920). Le système de crédit est quant à lui un instrument de création monétaire moins direct que la "planche à billet". Dans ce cas, la création de monnaie est faite par les banques privées. Lorsque les banques prêtent de l'argent à un agent économique, ce dernier le dépense en achetant des biens et services à un autre agent

Politique économique Politique économique ! l'augmentation des bas salaires, ! l'augmentation de la demande publique par l'usage du déficit budgétaire, ! une action sur la politique monétaire (baisse des taux d'intérêt). Ce type de politique à des effets positifs sur l'emplois, les revenus des ménages, mais favorise les poussés inflationnistes et aboutis à une dégradation de l'équilibre extérieur. a – Les politiques de rigueurs. Elle privilégie la lutte contre l'inflation et l'assainissement financier

phases : les précurseurs (grec, romain, arabe), les pré-modernes (Mercantilisme, Physiocratie) et l'économie moderne (qui débute avec Adam Smith à la fin du XVIIIe siècle). « […] les idées, justes ou fausses, des philosophes de l’économie et de la politique ont plus d’importance qu’on ne le pense en général. À vrai dire le monde est presque exclusivement mené par elles. Les hommes d’action qui se croient parfaitement affranchis des influences doctrinales sont d’ordinaire les esclaves de quelque économiste

Chapitre 5: John Maynard KEYNES 1883-1946 Section I Les points importants de la théorie keynésienne * Raisonnement en termes de flux & circuit Fuites & injections Art de tourner en rond de manière efficace. * Fuite de l’éco : épargne qui est pour lui comme un résidu (ce qui reste quand on a consommer tout ce qu’on désirait consommer) A la suite d’observation il constate que plus les inds s’enrichissent plus la part de l’épargne augmente : loi psychologique fondamentale

du à une insuffisance de la demande (et donc de la conso, de l'investissement). Chez Keynes, la consommation est le début d'une chaîne qui mène jusqu'à l'emploi : plus de consommation signifie plus de demande, et donc d'emploi. Pour diminuer le chômage, Keynes propose une politique fiscale pour augmenter les revenus des plus désargentés, une politique de grands travaux absorbant des chômeurs et une politique monétaire favorisant l'investissement (baisse du taux d'intérêt). Les salariés sont incapables

lorsque le taux de croissance est négatif) ou de stagnation durable de l'activité économique. C’est également le point de retournement d’un cycle. On peut parler de dépression des années 30 car le taux de croissance est négatif pendant 3 années. Chez les historiens, on parle de dépression pour désigner une période longue de stagnation comme la dépression des années 1870, qualifiée de Grande Dépression allant de 1873 à 1896. On n'a pas une approche quantitative, on veut designer le fait que la

Partie 2 : L’intervention de l’Etat Les instruments de l’intervention étatique CH 1 La politique monétaire I. La monnaie A. Les formes de la monnaie 1. Définition : La monnaie est constituée de l’ensemble des moyens de paiement dont disposent les agents économiques pour régler leurs transactions. C’est un bien d’échange généralement accepté par une communauté de paiement. 2. La monnaie est créée pour faire face aux inconvénients du troc: - Problème de stockage des biens et leur détérioration

peut trouver est que les quantités produites, ainsi que les quantités de marchandises utilisées dans la production des différentes branches sont supposées connues. La question de leur détermination est donc entièrement ouverte. La théorie keynésienne permet de combler ce vide. S’opposant à la théorie dominante, Keynes affirme que le niveau de l’emploi, donc celui de la production, ne découle pas d’une quelconque confrontation entre offre et demande mais dépend des anticipations des entrepreneurs

Chapitre 7 : L’inflation : Introduction : inflation vient du latin « inflare » enfler. Au départ inflation signifie gonflement de la masse monétaire. Ce terme apparait dans les dictionnaires uniquement au XIXe siècle (avant il y avait quasiment pas d’inflation). Aujourd’hui inflation = c’est la hausse durable, généralisée (les prix de tous les biens augmentent) est auto-entretenue (la hausse a tendance à entrainer la hausse, on revient rarement au point initial) des prix. L’inflation est