Politique Monétaire Et Budgétaire

POLITIQUE BUDGETAIRE Champs théorique Champs empiriques / pratiques SECTION I : UN OUTIL DE POLITIQUE ECONOMIQUE CONTESTE I définitions et concepts de base ( déficits budgétaire Situation où les dépenses du budget de l’état sont supérieures au recettes de l’état. ( 2000 : loi de Finance : D = 1692 MMF R = 1473,7 MMF Solde = déficit de l’etat = -215,3 MMF Pour les Keynésiens = moyens de relance de l’économie ( déficit public Notion plus large car

POLITIQUE BUDGETAIRE Champs théorique Champs empiriques / pratiques SECTION I : UN OUTIL DE POLITIQUE ECONOMIQUE CONTESTE I définitions et concepts de base  déficits budgétaire Situation où les dépenses du budget de l’état sont supérieures au recettes de l’état.  2000 : loi de Finance : D = 1692 MMF R = 1473,7 MMF Solde = déficit de l’etat = -215,3 MMF Pour les Keynésiens = moyens de relance de l’économie  déficit public Notion plus large car au

La Politique Budgétaire I. Définition de budget : Un budget est un état prévisionnel des dépenses et des recettes d'une entreprise, d'un Etat, d'une collectivité territoriale, d'une institution, d'une association, de tout agent économique, d'un particulier. Le budget est la traduction exprimée en valeur monétaire des différentes hypothèses concernant l'environnement, l'activité, l'exploitation, les investissements et les plans d'action envisagés au cours d'une période déterminée, en général

feu des politiques économiques Remarque : La quantité de monnaie en circulation dans une économie ne doit pas être trop faible, car les agents seront obligés de limiter leurs activités économiques (consommation, production,…) -La quantité de monnaie ne doit pas être trop abondante car le pouvoir mis à la disposition des agents économique sera supérieur à la quantité des biens disponibles, ce qui peut provoquer une hausse des prix. -En conséquence : toute la difficulté de la politique monétaire

A. CYCLES NON SYNCHRONISES ET PRAGMATISME ACTUEL DES POLITIQUES ECONOMIQUES : 1. Le découplage conjoncturel des PDEM : mythe ou réalité ? Le découplage indiquerait que les PD ne suivent pas la même conjoncture. Les pays émergents pourraient rester à l’écart de la crise. Depuis les années 1980 et 1990, on constate pour les PD un certain découplage conjoncturel. a) Cycle, croissance à long terme et politique économique : On parle souvent des cycles d’affaires de JUGLAR d’une durée moyenne entre

avaient atteint des records. A cette époque, les régimes monétaires se concentraient essentiellement autour des taux de change fixes ou du ciblage de l’agrégat monétaire. Les économistes s’accordent aujourd’hui sur le fait que la stabilité des prix est une condition impérative à la bonne conduite d’une économie. A cet égard, on a revu les buts poursuivis par les banques centrales. Il est désormais couramment admis qu’une bonne politique monétaire poursuit l’objectif d’une inflation stable et peu élevée

fois, historique, théorique mais aussi actuel pour le cas de la Grèce par exemple. L’intérêt historique que nous apporte cette problématique nous amène à nous interroger sur les raisons de la création de l’union européenne sur le plan économique et politique. La formation d’ensemble régionaux dans le monde et notamment le cas de l’union européen nous montre qu’il est préférable de se rassembler pour faire face aux grandes puissances, et que l’union permet de fait de rivaliser dans l’économie mondiale

sur les liens avec la demande globale. En | | | |faisant référence au programme de première, on rappellera le rôle des | | | |politiques macro-économiques (nationales et européennes) dans la gestion | | | |des fluctuations conjoncturelles. | | |

Discutez de l’efficacité de la politique fiscale et monétaire en économie ouverte, en fonction du régime de change et des caractéristiques du système monétaire international. L’efficacité d’une politique fiscale et monétaire varie en fonction du régime de change et de la mobilité des capitaux. Ce sera par le biais de deux exemples, que nous déterminerons dans quelles circonstances il est préférable de mettre en place une politique monétaire ou bien une politique fiscale. Il s’agira donc de

Tout d’abord la politique budgétaire qui réagit sur la courbe IS correspond à des modifications soit de l'imposition ou des dépenses publiques, combinée à la politique monétaire qui réagit à son tour sur la courbe LM. il est question des politiques budgétaires pour la stimulation l’activité, dans les périodes de creux économique (ex: récession, crise ou redressement des comptes publiques…), sous la forme de baisse de l'imposition ou d’une hausse des dépenses G ou des transferts (dépenses sociales)