Polygynie

à un rapport différent. Les autres modes de parenté Dans l’alliance, il y a l’endogamie (obligation de s’allier à l’intérieur de tel ou tel groupes sociaux) ou l’exogamie (obligation de s’allier à l’extérieur) ; la monogamie ou la polygamie (polygynie : un homme avec plusieurs femmes ou polyandrie : une femme avec plusieurs hommes), la stratification sociale et la différenciation sociale (l’hypogamie ou l’hypergamie). Dans le lignage, l’espace familial est collectif, territorial ou politique

livrés à des pères ou des mères kambo : la tante devient la mère, ou l'oncle le père (ils étaient déjà nommés « mère » et « père » grâce à la terminologie classificatoire). Par contre, comme il est dit dans le Coran, un homme ne peut pratiquer la polygynie avec deux sœurs. Dans la culture comorienne, on n'accorde qu'un intérêt restreint aux tom beaux de famille. On prie plus souvent pour les morts aimés qu'on ne prend soin de leur sépulture. Il y a des cimetières familiaux en plein village, le tom

soit le fait de se marier avec un membre du même groupe social, et par la présence d’un fort pouvoir des hommes et des aînés, caractéristiques des sociétés patriarcales. Ceux-ci entretiennent parfois la pratique de la polygamie (ou plutôt de la polygynie) qui permet à un homme d’avoir plusieurs épouses, comme c’est le cas en Afrique noire. Enfin, de nombreuses sociétés traditionnelles forment une nation, même si elles ne disposent pas d’un Etat. C’est le cas des Touaregs, dont le territoire est

La diversité des formes familiales Définir les règles de filiation et de parenté. Connaître la diversité des formes familiales Alliance. Monogamie. Polygamie. matrilinéaire. Filiation patrilinéaire. Polygynie Polyandrie. Filiation indifférenciée Filiation _ Dans les sociétés occidentales La relation d'alliance unit au moins deux conjoints et, paI extension, leurs familles respectives. Dans les sociétés occidentales développées, les partenaires de l'union sont traditionnellement de sexe

chrétienne ou juive. * La femme musulmane ne peut pas épouser un non-musulman. Étant autorisé à épouser quatre femmes, les témoins doivent vérifier, à chaque mariage, si toutes les conditions sus-indiquées sont valables. En effet, la polygynie, sujet des luttes menées par les associations et mouvements féministes dans les sociétés musulmanes contemporaines, était révélée dans un contexte et limitée à certaines conditions. D’ailleurs Abou Hourayra et autres rapportent que selon Aicha, une

bienfait accordé bigamie •La polygamie désigne la situation dans laquelle une personne dispose au même moment de plusieurs conjoints de même sexe : pour une femme ayant plusieurs maris on parle de polyandrie, pour un homme ayant plusieurs femmes de polygynie dot Biens qu'une femme apporte en mariage encyclique Lettre du pape adressée aux évêques du monde et destinée à l'ensemble des croyants infamante Qui porte infamie irrémédiable •À quoi on ne peut remédier lapidée littéralement « tuer à

visiblement à rejoindre bientôt la civilisation. Ici la position du chef est différente, il a lui seul toute les femmes du groupe au détriment des autres hommes. Cependant deux mécanismes permettent de résoudre ce problème: « C'est donc une combinaison de polygynie et de polyandrie qui résout, pour les Tupi-Kawahib, les prérogatives du chef en matière conjugale[26].» Le chef conforte par ailleurs sa position et rend donc difficilement attaquable son privilège par son tempérament excessif, qu’il manifeste

socialiser la femme. Elle doit faire preuve de sa fécondité, accepter la dote qui est un élément symbolique de sa dépendance vis-à-vis de son mari. De même sa socialisation lui aura permise d’intérioriser la polyandrie comme fait normale alors que la polygynie et les relations extra conjugales elles, sont considérées comme des fautes extrêmement graves. Dans certaines sociétés africaines, les institutions sociales comme le lévirat apparaissent comme des mécanismes de culpabilisation de la veuve en lui

préoccupation est trop récente. Pour Lévi-Strauss, cette règle renvoie à la nécessité d’échange, le mariage doit étendre les relations sociales. Enfin, on peut ajouter qu’il existe des mariages secondaires aboutissant à la polygamie. On distingue la polygynie, un homme se mariant avec plusieurs femmes pour des raisons politiques, économiques entre autres et la polyandrie généralement dans les sociétés qui manquent de femmes comme chez les Toda en Inde. Mais certaines règles sont parfois impératives pour

s’échange sous forme de don. En aucun cas, les richesses ne s’accumulent. Société de circulation des biens, société d’abondance. Les gwayatis sont polygame (polygame à la fois polygynies et polyandries). Principalement les femmes ont plusieurs hommes, exception : tous les gwayatis sont polyandries sauf un homme qui est polygynies c’est le chef. La règle au sein des maisons, est celle de cette économie, d’abondance des richesses. Le « plus pauvre » est le chef, puisque c’est lui qui est en union avec