Polyphème

le registre utilisé est celui du merveilleux. On trouve aussi des effets de dramatisation comme dans la littérature de conte. Le registre comique (burlesque) est lui aussi présent, car Ulysse met les rieurs de son coté. Sur l’île des Cyclopes, Polyphème est le seul habitant doué de parole et de sentiments. On peut dire que les habitants de ces deux îles vivent entre deux mondes. 2) Différences. Phéaciens | Cyclopes | Palais | Grotte | Mets divins | Cannibalisme | Organisation clanique

héros national polonais et par John Brown (1800-1859), un américain abolitionniste réputé. On peut aussi remarquer le nom, « Nemo », du capitaine. Nemo signifie « personne » en latin, et renvoie au nom qu'emprunta Ulysse pour vaincre le cyclope Polyphème. Le plus évident reste bien sûr l'aventurier Michel Ardan. Ce personnage de de la Terre à la Lune fut directement inspiré d'un ami de Jules Verne : Félix Tournachon. Ce peintre, journaliste, écrivain et même photographe se présentait sous un pseudonyme :

voyage d’Ulysse sont purement imaginaires et il est impossible de les situer dans l’espace réel. Dans l’Antiquité grecque, il fut un temps où les épopées homériques étaient tenues pour véridiques. Bien sûr, personne ne croyait un jour rencontrer Polyphème ou tomber, en se promenant, sur l’entrée des Enfers, mais on ne pensait pas non plus à confronter le récit à son expérience réelle; (Dewulf, Coss et Bougy, 1992) Par exemple, Polybe dit que le voyage se déroule dans un espace bien réel à la Méditerranée

Calypso qui désire l'épouser : incapable de rentrer chez lui à Ithaque pour retrouver sa femme Pénélope, il se morfond en pensant aux siens. Tous les dieux sont favorables à son retour, sauf Poséidon qui lui en veut d'avoir rendu aveugle son fils Polyphème, le Cyclope (cet épisode est narré au chant IX). Alors que Poséidon est parti festoyer en Éthiopie, les autres dieux se rassemblent et Athéna demande à Zeus de permettre à Ulysse de rentrer. Zeus y consent ; Athéna réclame que l'on envoie Hermès

activité à l’université d’Erfurt. Quand il enseignait Homère, il faisait apparaître devant ses étudiants sans doute à l'aide de projections provenant d'une lanterne magique les héros de Troie et les monstres de la mythologie, notamment le cyclope Polyphème. Certaines de ces figures d'ombre tentaient de dévorer, avant de disparaître, quelques étudiants épouvantés. C'est à Erfurt que Faust aurait déclaré en présence d’un moine franciscain nommé Konrad Klinge : « Je suis allé plus loin que vous ne

entier chante toutes les ruses et porte aux nues la gloire » (Homère 163). Nous constatons qu’il est également très orgueilleux. Il ne doute aucunement de sa popularité ; ce qui explique pareillement le fait qu’il ait caché son identité lorsque Polyphème lui demande son nom et qu’il lui ment. En effet, s’il lui avait dit son nom, le cyclope l’aurait assurément tué tout de suite à cause d’un oracle qui prédisait qu’Ulysse le rendrait aveugle. Ulysse est passé maître en l’art de tromper ceux

navigateurs sont alors contraints de se rendre au sanctuaire de la déesse. Ils accostent sur la côte de Mysie. Hylas, le jeune ami d'Héraclès est envoyé chercher de l'eau à une fontaine. Mais les nymphes de celle-ci l'enlève de force et le noient. Polyphème entend les cris d'Hylas et se précipite à son secours accompagné d'Héraclès. Tous deux le cherche en vain toute la nuit. Le lendemain ils ne reviennent pas et l'Argo doit partir sans eux. Les Argonautes arrivent ensuite à Bébricie où Pollux affronte

cheval de Troie. Il est pour les grecs l’archétype de l’homme rusé, de l’homme qui sait employer des détours pour parvenir à ses fins, contrairement à la plupart des héros de l’Iliade qui se lancent dans l’action sans réfléchir. (Petite Histoire de Polyphème + Texte) Là où Ulysse subit son destin et est contraint au détour par ce dernier, c’est volontairement que Thésée s’en va affronter le Minotaure. Traversant ce multiplicateur de détours qu’est le Labyrinthe. (Textes : Ovide+ Dictionnaire des symboles)

; Ulysse, prévenu par Circé, demande à son équipage de se boucher les oreilles avec de la cire ; quant à lui, il se fait attacher au mât du bateau car il voulait écouter leur chant. Dans un autre épisode, Ulysse lutte contre le cyclope du nom de Polyphème, un fils de Poséidon, dont il crève l'œil grâce à un pieu après l'avoir enivré ; le cyclope, blessé, lance d'énormes rochers en direction d'Ulysse qui le manquent et s'abiment dans la mer ; on identifiait certains îlots de la mer Ionienne à ces rochers

Quasimodo ! - Diable d’homme ! dit Robin Poussepain, encore tout contus de sa chute. Il paraît : c’est un bossu. Il marche : c’est un bancal. Il vous regarde : c’est un borgne. Vous lui parlez : c’est un sourd. – Ah çà, que fait-il de sa langue, ce Polyphème ? - Il parle quand il veut, dit la vieille. Il est devenu sourd à sonner les cloches. Il n’est pas muet. - Cela lui manque, observa Jehan. - Et il a un œil de trop, ajouta Robin Poussepain. - Non pas, dit judicieusement Jehan. Un borgne est