Polyptote

défaire du non-dit de l'enfance : une fois que les choses sont dites, on n’a plus à les subir. La tirade se poursuit en dvéloppant le thème de la parole au sein de cette famille - le champ lexical de la parole domine largement la fin de l’extrait (polyptote dire, disait, se dit + verbe « avouait ») - mais la parole au sein de la famille est présentée comme laborieuse, difficile (des verbes dire, avouer… notamment) au sein de la famille est tjrs employé à la forme négative : accumulation de tours négatifs

d'exception qui prête au rêve, abrite une population elle-même remarquable. Ses habitants se caractérisent tout d'abord par leur grande simplicité et par leur mode de vie frugal. En effet, l'adjectif « simple » est répété et apparaît même sous forme de polyptote dans l'expression « les habitants, simples et heureux dans leur simplicité ». Surtout, le narrateur insiste sur le fait que cette société a cerné ses besoins et ne cherche à satisfaire que ceux-ci, renonçant à tout ce qui n'apparaît pas comme essentiel

D’AMPLIFICATION, D’INSISTANCE Hyperbole Figure d’exagération. C’est la mer rouge quand il saigne Gradation Usage de terme de plus en plus forts. Va, cours, vole et nous venge. Anaphore Répétition de termes en début de proposition. J’accuse Polyptote Fait d’utiliser une même racine avec des terminaisons grammaticales différentes. « Défendons… il est défendu… »

dans un combat qui est de l’ordre du vital. Le cœur est en effet l'organe vital par excellence, qui irrigue tout le corps, ce que transcrit dans notre texte le champ lexical physiologique (« veines », « sang », « cervelle », « oreilles ») et le polyptote : « bat », « battait », « battent », « battant », « battaient », qui est encore renforcé par les deux mots dérivés « combat » et « bataille ». Desnos joue aussi sur le double emploi de ce verbe : battre/se battre, qui souligne encore que ce combat

du bourreau Présent de vérité général et de description Nous dévoile que Clindor assiste à sa propre exécution « Je sors les fers aux pieds ; j’entends déjà le bruit » rêve éveille de son exécution « Et la peur de la mort me fait déjà mourir » polyptote (répétions de plusieurs termes de même racine). Clindor prend conscience qu’il a peur de mourir seul On peut voir à travers ce texte une dégradation des sentiments de Clindor peur, souffrance, mort qui fait référence à une descente aux enfers Clindor

personnage aussi machiste que le Duc. A d’autres reprises Lorenzo est assimilé à une femme, statut jugé infâmant par le Duc : « allons chère Lorenzetta »l.152. *« Qui sourit quelques fois mais qui n’a pas la force de rire »l.93 : le jeu de mots, polyptote sur « rire » et « sourire » (étymologiquement sourire=sub ridere) prouve que son comportement est caractérisé par sa faiblesse. *Le fait que Lorenzo soit le seul personnage que l’on tutoie « qui te cherche dispute, fais-toi emporter » marque une

thèse :La conception de la nature humaine Pour Pascal, l’homme est misérable et faible, malheureux car il se sait mortel « l.12 », constamment préoccupé par l’idée de la mort « l.19 » =>nbrs répétition du mot « malheur » et de ses dérivés, c’est une polyptote les hommes et le roi sont désignés, =>même le roi est malheureux Pascal à une vision négative de la nature humaine propre au courant Janséniste (courant du 18ème siècle déclaré hérétique : l’homme est misérable car corrompu par le péché originel

pas comme on peut le voir au vers 9 « Tout m'afflige et me nuit, et conspire à me nuire ». L'emploi répété du pronom personnel complément "me" souligne le fait que Phèdre ne fait que subir, elle est passive de ses actes. On peut voir également un polyptote avec l'emploi du verbe "nuire" à la fin de chaque hémistiche et encore les quatre verbes dans un seule et unique vers qui donne un effet d'insistance "afflige", "nuit", "conspire", "nuire". Ainsi que l'assonance en "i", et les allitérations en "n"

Polyptote: Ajoutant régulièrement une once supplémentaire de désespoir dans la soupe d'un désespéré. A l'attention des forces armées, ferventes utilisatrices de bombes, parfois à mauvais escient. Chaque jours , des pertes civiles inhérentes à un conflit armé sont à déplorer. Nés où il ne faut pas, ceux qui le peuvent subsistent la peur au ventre, entre feux croisés et famine associée aux dégâts engendrés. Qu'y a-t'il qui puisse justifier ces pertes ? En 2010, 1325 civils Afghans

pour en sous-entendre plus Métaphore : comparaison sans élément de comparaison Métonymie : désigner quelque chose par un terme différent Oxymore : mots opposés l'un après l'autre Personnification : attribuer des choses humaines à un animal/objet Polyptote : utiliser plusieurs formes grammaticales d'un même mot dans une phrase ex: Pères, mères, dont l'âme a souffert ma souffrance (V. HUGO Les Contemplations, livre IV) Synecdoque : assigner à un mot un sens plus restreint n pléonasme est une figure