Polytonalité

Samogitia et Ruthénie (1582) 2 Malheureusement uniquement en langue anglaise… https://www.youtube.com/watch?v=Wij_cgVGOxw&feature=emb_logotraditionnelles, la musique savante occidentale a cru inventer au 20ème siècle un concept (ici, la polytonalité) mis en pratique depuis des siècles… • L’ambitus révélé par les deux parties est toujours réduit (rarement plus d’une quarte ou d’une quinte). • Le chant est le plus souvent limité à deux, trois ou quatre femmes, se prêtant en même temps à

Petrouchka, créé le 13 juin 1911, marquera une rupture importante. Stravinsky y abandonne toute l'harmonie chaleureuse et « magique » de L'Oiseau de feu, caractérisée entre autres par l'utilisation abondante du chromatisme. Il utilise maintenant la « polytonalité » et la juxtaposition de séquences rythmiques. Les deux années suivantes, Stravinsky compose très peu de pièces : deux cycles de chants et une brève cantate mystique, Le Roi des étoiles. Cependant, il compose ce qui va devenir probablement son

néoclassique qui le voit copier, à sa manière, Bach, Mozart ou encore Tchaïkovski. Conclusion: Stravinsky utilise à la fois une technique de composition qu'il a héritées des grands compositeurs précédents mais apporte ses propres innovations (polytonalité, décalages rythmiques). On peut le rapprocher au peintre Pablo Picasso dont l’œuvre «Les Demoiselles d'Avignon» marque le point de départ du cubisme. J'ai choisi ce sujet car pour moi, Igor stravinsky incarne le changement dans le domaine de

mode, et leur harmonisation vient de la résonance intégrale du mode plutôt que l’harmonisation tonale. Ceci est d’ailleurs trop simple : chaque idée musicale peut porter son propre système harmonique, comme l’emploi d’accords parallèles, de la polytonalité parfois. L’harmonie des différents motifs se renouvelle constamment en une grande variété de styles. ‘Il pleure dans mon cœur’, musique symboliste d’Arthur Rimbaud, interprété par Léo Ferré et Paul Verlaine. {MUSIQUE} M-A : La distinction

au geste, au mouvement (danse) - Grand orchestre symphonique (120 musiciens) - Importance des percussions - Omniprésence et prédominance du rythme - Abandon de la notion de « thème » au profit de courts motifs. - Emploi de dissonances fortes, polytonalité - Contrastes très marqués, soudains, fréquents (changements de tempo, dynamique, caractère, orchestration). - Abandon de l'expressivité, de l’émotion au profit de la recherche de « couleurs sonores » (=le timbre) novatrices. - Une chorégraphie

au Brésil, il a été influencé par les rythmes et les mélodies entendues au Carnaval de Rio.  L'instrumentation est colorée et les timbres de l'orchestre sont variés.  Certains instruments viennent du Folklore Sud Américains. Il y a aussi des polytonalités c'est à dire différents mineurs ou majeurs ce qui va entraîne et des mélodies fausses.  Le refrain est présenté par les violons (cordes frottées ) et les trompettes (cuivre ). L'œuvre se termine de façon amusante par les clarinettes et les flûtes

des suites ou en faire des arrangements , entre autres pour violon et piano. Son oeuvre , très conséquente , est marquée par une originalité rythmique et orchestrale. Igor Stranvinski a navigué entre l'écriture néoclassique , le jazz , la polytonalité ou la musique sérielle , avec une virtuosité et une capacité d'adaptation remarquables , tout en conservant une empreinte personnelle reconnaissable entre toutes. Il compose entre autre Petrouchka (1911) et le ballet Le Sacre du Printemps (1913)

L'ordre d'alternance des deux notes semble lui aussi aléatoire. Pourtant cette ligne jouant le rôle de basse relativement fixe permet de se polariser, d'avoir un point de repère fixe, bien que l'ensemble des six lignes superposées produit une polytonalité, voire une polymodalité. Le tableau de cette cinquième voix se trouve à la page 9 de ce dossier. 7 8 9 * * * En guise de conclusion, nous pouvons affirmer que la superposition du statisme et de la variation, qui sont deux notions

premier thème est rustique et écrit en homophonie avec une seule harmonie par phrase. Le second est un semblant de fugue mais ratée. Tout deux présentes des carrures étranges et surprenantes. La cadence finale se termine par plusieurs accords en polytonalité. Mozart tombe le masque et fait ainsi un pied de nez aux musiciens et aux analystes qui ne l’auraient pas compris. Grâce à sa maîtrise du langage tonal, Mozart, en se détournant de ses propres exigences esthétiques nous montre que la composition

l’utilisation de modes construits indépendamment du système tonal, comme la «gamme par tons entiers» (Debussy) ou les modes dits «à transpositions limitées» (Messiaen); l’utilisation simultanée de deux ou de plusieurs tonalités classiques, dite polytonalité (Milhaud); le retour pur et simple à des formes d’écriture traditionnelles plus ou moins pimentées de notes étrangères (école dite néoclassique); l’évolution dans le sens d’une généralisation du chromatisme, évolution qui devait aboutir à ce que